Il regardait la fenêtre, condamnée part des barreaux et dont il était impossible de l'ouvrir. Condamné comme lui, comme eux. La fenêtre était sale mais sa n'était pas différent du reste de la chambre. Les seuls bruits qu'il entendait étaient les légers ronflements de 01, les hurlements de douleurs de 03 qui se faisait torturer dans une autre salle. Et le bruit de la pluie. Pluie qui s'abattait violemment contre les murs de la batisse.
Il se demandait se que sa faisait de rester sous la pluie. 03 disait que c'était comme rester sous une douche et que l'eau était tiède. Il était le seul à ce souvenir de cette sensation vu qu'il est arrivé ici il y a cinq ans. Lui était là depuis huit ans. 06 dit que si on restait sous la pluie on pouvait tomber malade et vu leur état ils en mourraient. Il admirait 06,il était si intelligent. C'était une qualité et un défaut dans son cas.
Il rêvait de sentir l'eau de pluie sur son corps. Car sa signifierait qu'il serait libre. Mais il ne voulait pas en même temps car il ne pouvait pas mourir tant que les autres n'étaient pas en sécurités.Il vit un trait de lumière à travers la fenêtre. C'était beau. 06 et 03 appelaient cela un éclair. Il ne savait pas si c'était le nom exact et comment cela fonctionnait mais il acceptait. Cet lumière qui n'apparaîssait que lors de grande pluie et qui semblait tranché le ciel s'appellerait "éclair".
Il sursauta lorsqu'il entendu un gros bruit. 06 lui avait dit une fois, "la lumière est plus rapide que le son, donc à chaque fois que tu verra un éclair tu entendra le gros bruit que après ". Il lui avait expliqué cela il y a un moment. 05 avait demandé si c'était un signe que le ciel était en colère et 06 à juste marmonné un "idiot". Il observait inlassablement la fenêtre attendant de savoir si 03 allait revenir vivant ou mort.
Il priait le dieu de 03 qu'il lui revienne vivant. 03 était le plus croyant du groupe, lui il n'y croyait pas, comment un être qui était censé être bon pouvait laisser des enfants au mains des hommes en blancs. Même s'il n'y croyait pas, il se disait que si cet personne existait vraiment elle protégerait 03 car il était croyant. Mais il ne donnait pas son point de vue de peur d'attrister 03. Il entendit du mouvement et vit 01 se lever. Il marchait lentement jusqu'à lui.
Ces cheveux noirs étaient emmêlés, et se frottait les yeux de fatigue. Il était adorable, voilà ce qu'il pensait.
-Tu n'arrives pas à dormir ? Questionne-t-il envers 01.
-Non c'est trop bruyant, répondit 01 en s'asseyant à coter de lui et posant sa tête sur les maigres cuisses de l'autre.
-Tu devrais te recoucher, conseilla-t-il en commençant à caresser ces cheveux abîmé.
-Car tu dors toi, rigola gentiment l'autre.
-J'attends de savoir si il va revenir, sa voix était dénué d'émotions.
-Alors j'attendrais avec toi, ce qui valut un rire de son compagnon de chambre.
-Toi. Te connaissant tu vas t'endormir avant que les expériences se finissent.
-T'es pas gentil, 01 fit une moue adorable.
-Mais c'est pour sa que tu m'aimes.Avant que 01 ne puisse répondre à son ami, une alarme sonna dans tout le bâtiment. 01 se redressa. Aucun des deux ne l'a connaissait, ce n'était pas celle du matin ou encore du couvre feu. Puis d'étranges bruits assourdissants ne fit entendre. Ils ne savait pas ce que c'était. Des personnes courraient dans les couloirs. Certaines s'arretèrent devant leur porte.
-Que fait-on d'eux ? Demanda l'un d'eux.
-Laissons les récupérons juste nos informations et fuyons avant de se faire arrêter par la police, répondit un autre.Police ? Les deux prisonniers ne savaient pas ce que voulaient dire ce mot.
-Bien docteur.
Et les deux s'enfuirent laissant les deux enfermés dans la chambre.
-Tu sais ce qui se passe 01 ? Questionna-t-il.
-Pas vraiment mais je crois que le docteur Kim et les autres nous ont abandonné.
-Pourquoi ?
-Ils fuient la "police".
-Et que va-t-il advenir de nous ?
-Je n'en sais rien.Rien de plus rien de moins, ils attendaient de voir ce qui adviendra d'eux et des onze autres enfants enfermés ici. Les étranges bruits se calmèrent et on pouvait de nouveau entendre des gens courir et parler dans les couloirs. L'alarme continuait de résonner. La porte s'ouvrit, les deux furent aveugler par la lumière étant donné s'ils étaient rester tout se temps dans le noir. Ils virent trois personnes. Habillé de noir et d'une étrange couleur jaune. Ils apprendront plus tard que cette couleur s'appelait ''jaune fluo.''
Il y avait une femme de trente ans aux longs cheveux noirs attaché, un homme, la cinquantaine, les cheveux poivrés. Et un homme la vingtaine aux cheveux rouge. Tout les cinq étaient choqués. Les enfants, ils voyaient pour la première fois depuis tres longtemps des personnes venant de l'extérieur de l'Orphelinat. Et pour les adultes, c'était l'état des petits. Ils ne devaient avoir pas plus de douze ans ans pourtant ils étaient bien amochés, ils étaient clairement en sous-nutrition leurs habits composés d'un t-shirt tellement grand que sa mettait à nue leurs épaules et de pantalon tout deux d'un blanc pur n'étaient clairement pas assez chauds pour les basses températures de janvier.
Leurs peaux pâles étaient tâchées de violet et de bleu à certains endroits. Et ils portaient autour du poignée droit un bracelet électronique noir. Leurs cheveux longs et sales encadraient leurs petits visages amaigris. On pouvait lire dans leurs yeux de la panique, de la curiosité et de l'incompréhension. La femme remarqua sur leur épaules droites un nombre tatoué. Celui au visage le plus efféminé et le moins torturés avait le chiffre 02. Et l'autre possédant des traits un peut plus masculin et qui cachait son ami derrière lui avait le chiffre 01 tatoué.
-Qui êtes vous ? Demanda 01.
-Nous somme la police nous venons vous secourir, expliqua l'homme le plus vieux.
-Et pourquoi on vous croirait, grogna l'enfant étonnant les adultes.
-Nous ne sommes pas des ennemis nous voulons juste votre bien, tenta la femme en tendant la main mais 01 tapa dessus.
-I-Ils disaient sa aussi, avant de nous faire du mal, expliqua 02.
- Que devrions faire pour que vous nous croyez ? interrogea le policier au cheveux rouge.
-Est-ce que vous pouvez guérir des blessures ? Questionna le plus efféminé.
-Oui nous guérirons vos plaies,assura le policier rouge.
-Même ceux des autres ?
-Des autres ? S'étonnerent les trois adultes.
-Oui on est treize cobayes, expliqua 01 d'une voix sèche tout en fusillant les adultes.D'un coup, le plus vieux des adultes sortie un objet noir que les enfants ne connaissaient pas. Il le plaça près de sa bouche et parla.
-Ici Byun, on a trouver deux enfants ils disent que onze autres sont présent dans l'orphelinat.
-Ici Do, Bien reçu, répondit une autre voix étonnant les deux enfants, on en a déjà trouver cinq , dont un qui se faisait torturé.
-C'est 03, s'exclama 02 faisant sursauter les adultes,dites moi qu'il est en vie.
-Le gosse qui se faisait torturé il est encore en vie ?
-Oui mais il est dans un état lamentable il a été drogué et on lui a perfuser des trucs bizarre mais qui ne devrait clairement pas être dans le corps de gamins. Où de quiqu'on que.
-Okay on ramène les deux qu'on a trouvé, cherchez les autres et arrêtez moi ces chiens.
-Bien capitaine.Le policier rangea l'objet et se tourna vers les deux prisonniers.
-Allez les enfants c'est l'heure de retrouver votre liberté.
-Messieurs est-ce que vous allez retrouver les autres.
-On fera tout ce qu'on peut pour que vous et les autres vivez une vie normale. Sa te vas ?Il eu comme réponse un simple hochement de tête et l'homme le porta dans ces bras pendant que l'autre policier prit 01. La policière elle les guida prête à tirer sur quoiqu'on que tenterait de les attaquer. Quand ils sortirent enfin de la batisse, de l'enfer. Les deux enfants purent voir ce qu'ils appelleraient plus tard des voitures de polices et des ambulances. 02 leva la tête, il sentait les goutte de pluies tomber par dizaines, centaines, milliers sur son frêle corps. Il souria. Ils étaient libres.
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Enchaîné
FanfictionIls étaient treize garçons enfermés dans cet "orphelinat". Ils étaient treize à subirent les tortures des "hommes en blanc". Ils étaient treize à rêver d'un monde où ils ne seraient pas des cobayes. Ils étaient treize à être modifier et à posséder...