Chapitre 3

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Je lui dis: Va-t'en, faut pas que mon père te voit. Je me débrouillerai...» dis-je d'un air triste.
Il voit les bleus sur ma nuque et mon bras.

Javon: « Ça va aller ? » dit-il d'un air inquiet.

T/p: « VA T-EN ! »

La porte s'ouvre et mon père me voit assises parterre, il se met à renifler et sent une odeur qui ne lui est pas familière. Il s'approche de moi et me gifle..

Père: « De qui vient ce parfum !? »

T/p: « J..je ne sais pas. »

Il me re-gifle, mais plus fort cette fois ci. Il m'attrape par le cou et m'étrangle. Le souffle coupé, je tombe..
Je me réveille au beau milieu de la nuit dans les escaliers totalement inconsciente, je monte en essayant de pas faire de bruit pour voir si mon père dort. Oui, il dort sa s'attend au bout du couloir. Je ferme ma porte sans faire de bruit, je me couche et je pleure..

3 jours passent et toujours pas de venus de ce garçon prénommé Javon. La journée se passe assez bien il n'y a pas mon père. Il travaille, j'ai la maison que pour moi !
Arrive le soir, je m'assois sur le lit et je me mets à écrire. J'entends une voix assez familière.C'était Javon !

Javon: « Hé T/p, prend tes affaires tu vient chez moi ! »

Toujours aussi confuse tu lui dis,
« Mon père m'interdit de quitter la maison sans son autorisation. »

Javon: « Il n'est pas là ? Je me trompe. Donc prends tes affaires et suit moi. Tu crois que je n'ai pas remarqué les bleus sur ta nuques et ce de ton bras. »

Tu devien rouge et prends tes affaires, tu ferme la porte de ta chambre à clé et tu saute par la fenêtre, stressée.
( On est au 1er étages et y à une échelle )

T/p: « On va où déjà. »

Javon: « chez moi. »

On marche, sans qu'aucun de nous 2 ne disent un mot. Arrivés chez lui,

Javon: « Par contre, je n'ai pas de canapé, tu dormira avec moi. »

T/p: « D'accord. Si sa te dérange pas je pourrais avec un pyjama, s'il te plaît. » dis-je d'un air gênée.

Javon: « Sers-toi vas-y »

Il sent si bon..

Javon: « Tu as mangée. », « Si non, tu veux que je te fasse un truc à manger ? »

T/p: « Heu, bah je.. »

Javon: « Des pâtes bolognaise ? Bonne idée. »

Nous nous mettons à rigoler.
Après manger, je prend une douche, mais je vois que Javon avait pris toute la place. Je le pousse et il tombe parterre, je lui prend une couverture et la jette sur lui..

Un amour impossible ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant