Il fit glisser ses mains de mes épaules lentement jusque mes mains, je sentais la douceur qu'il y mettais quand ses mains parcourais le long de mes bras jusque leur destinations. Je tressaillis légèrement lorsque je sentis la chaleur de ses paumes recouvrir le dos de mes mains.
Ses yeux ancré dans les miens je me perdis dans la nuance de couleur de ses iris, son regard descendit vers mes lèvres encore une fois, je le sentais se rapprocher mais étonnamment cette sensation me semblais familière, je ressentais une sorte d'apaisement alors je me laissa faire. Il prend mes mains pour les poser sur ses épaules toujours en s'approchant très lentement de moi, il doit sûrement hésiter pour être si long.
Il attrape ma taille et me sers contre lui, mes jambes autour de ses hanches on se regardais comme deux imbéciles assit en plein milieu de la route a 3h00 du matin. Mes pensées divaguaient ailleurs, imaginant une voiture nous surprenant dans cette position, je me sentis gêné. Livai abandonna l'idée de m'embrasser surement du au fait que je ne bougeait pas puis vint poser ses lèvres sur le haut de mon front.
Je ressentis une sorte de choc électrique qui me fis sursauter au même moment que ses lèvres touchèrent ma peau. Quelque image flou passe devant mes yeux clos sans que je ne puissent les comprendre.
Livai : T/p ? Tu vas bien ?
T/p : Oui oui
Je pose ma tête contre son torse nu, et ses bras vinrent serrer plus fort mon petit contre lui.
Livai : Tu as de la fièvre ? Ton front est brulant
Ah bon ?
Il est vrai que je sens la transpiration de mon front couler mais c'est moins dérangeant que ce foutu mal de tête et les interminables image qui passe devant mes yeux sans que je ne puissent les déchiffrer.
Il se leva est me porte dans ses bras puis retourne dans la direction opposé que nous avions parcourus. On entra dans la maison de Pierre, après avoir refermer la porte d'entrée on se dirige vers le salon et doucement il me pose sur le canapé.
Je transpirais beaucoup, ne savant pas se qu'il m'arrive je vous avoue que je panique. Livai reviens avec un plaide qu'il me posa dessus.
T/p : Merci Livai...
Livai : C'est rien, mais...- tch viens voir.
Il me reprend dans ses bras pour aller dans la chambre qui lui est réservé chez Pierre. Bon j'avoue que c'est bizarre d'avoir une chambre pour soi chez son pote. On pénètre dans "sa" chambre et il me pose sur son lit. J'analyse "sa" chambre tandis qu'il ferme la porte.
Il a même un dressing avec ses propres vêtements ? Son bureau ? Mais waa, moi aussi je veux des potes qui m'offre une chambre de chez eux !
D'un geste fluide il me retourne sur le coté et détache mes cheveux puis les recoiffes, mèche par mèche, il me tresse une natte. J'ignorais qu'il savait faire se genre de chose. Il se redresse et je pu me retourner sur le ventre.
Livai : T/p je- fin... tu-...
T/p : Oui ?
Livai : Tu dois te déshabiller tu transpires beaucoup
J'aurais rougis en temps normal mais il est vrai que mes vêtements me colle a la peau et ce n'est pas très agréable. J'acquise et essaie de bouger mes bras mais en vain, je me force a garder les yeux ouvert alors m'ôter mes vêtements c'est foutu, ca demande trop d'effort physique. Le regard insistant de Livai m'indique qu'il a comprit mon problème, ses joues se colorent légèrement mais assez pour que je le remarque.
Il se lève et retire la couette de sur moi, je lui souris pour lui montrer mon consentement pour qu'il continue et il attrape mon haut et le retirer, il descend et m'enlève mon bas. Je remarque qu'il essaie de ne pas me regarder et franchement ca me vas je ne m'en plaint pas. Il tourne son regard vers la porte pour m'adresser ensuite la parole.
Livai : Et ton truc tu le retire aussi ?
T/p : Truc ?
Livai : Ouais ton machin la-
T/p : ...
Livai : -sur ta poitrine...
Instinctivement je me mords la lèvre inferieur pour éviter de rire mais aussi d'épuiser mon peu d'énergie bref surtout je suis nerveuse. Sérieusement il ne me dérange pas mon "truc" mais c'est tellement agréable d'être sans.
Je racle ma gorge et tourne la tête de l'autre coté.
T/p : Oui
Il s'approche et attrape le plaid pour me couvrir avec. Avec son aide je me tourne sur le ventre, il recouvre le plus possible mon dos puis vint me le dégrafer. Ses doigts effleure malheureusement ma peau, déjà que je mord ma lèvre inferieure alors la j'espère ne pas l'exploser. Je le sens me le retirer et remonter en vitesse le plaid. Je me retourne et croise son regard.
T/p : T'as pas froid ?
J'essaie d'apaiser la tension dans l'air, ambiance pesante. Mon regarde dérive sur sa main, la ou il tient mon "truc". Je lève les sourcils gêné et regarde tout droit le plafond. Je le vois du coin de l'œil marcher vers son armoire ou il pose toute mes affaires et il en tire un tee-shirt.
Livai : J'ai pas froid
Oh
Il se rapproche de moi et me le tend, je pince mes lèvres tellement ma force en ce moment pour prendre le vêtement est ridicule. Il lève un sourcil et s'assoit au bord du lit. Il essaie lentement de me redresser sans que je perde le plaide en route et me tient fermement avec son bras mon dos pour éviter que j'entre en contact avec le mur. Son autre bras me fit passer dans son tee-shirt, il prit mon poignet et le passe a l'intérieur.
Parfais on y est presque sans encombre
Son autre bras relâche un peu prise et se foutu plaide eu le temps de glisser pour laisser mon dos a nu. Instinctivement il ressert son bras et je sens son regard qui cherchait le mien. Je suis occupé a être mal a l'aise Livai s'il te plait débrouille toi.
Je sens ses poils de bras s'hérisser, il se dépêche de me m'enfiler le vêtement. On souffla un bon coup sans oser se regarder. Il m'aide a me recoucher pour ensuite s'assoir au bord de mon lit et poser sa main sur mon front.
Livai : Ca va un peu mieux ?
A suivre →
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"TOME 2" Anata no yume no sekai - { livaixreader } pause
FanfictionChacun dans deux mondes différents qui leurs est eux-mêmes inconnu, réussiront ils a se retrouver ? Suite de "Anata no yume no sekai"