Baku × Reader
//pause à durée indéterminé//
Tu t'appelle Tris Aïzawa tu es gentille, douce, agréable et ne t'énerve que sur Katsuki pour qu'il arrête ses conneries.
Tu es l'amie d'enfance d'Izuku et de Katsuki mais aussi, un peu plus tard, d'Eijiro...
Tu t'appelle Tris Aïzawa, tu as 15 ans, tu as les cheveux longs, ondulés et noirs, tes oreilles et ta queue de loup sont du même noir que t'es cheveux mais avec des reflets bleu nuit, les yeux bleus foncés, presque noirs, tu es très belle et possède 2 alters qui se complètent.
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Encore une journée enfermée dans ce putain d'endroit qui me file la gerbe. J'en est marre, j'ai mal, physiquement comme mentalement. Mes oreilles de loup sont baissées et ma queue de loup pend mollement derrière moi, j'ai les mains liées, ce qui m'empêche d'utiliser mon alter et je porte une sorte de collier pour chien ( en cuir ) avec une chaîne qu'ils tirent pour me forcer à avancer.
Mes journées se passent toutes pareil : torture, « opération », un petit truc à manger et retour dans ma cellule où je ne dors presque pas la nuit.
Jusqu'au jour où un gros BOUM se fait entendre dans les couloirs et un groupe de héros arrive en se battant contre tous les gardes en faction dans les couloirs.
Ceux qui m'emmenent, essaye de tirer sur la "laisse" mais même si ça fait vraiment mal je refuse de bouger de toute mes forces. Un des héros me voit entrain de luter pour les empêcher de m'emmener et il cours vers moi en poussant tout les soldats. Arrivé devant moi il casse, a l'aide de l'une des plumes de c'est ailes rouges, la chaîne de mon collier.
??? - Ça va Tris ? Me demande le Héros.
- Je crois, oui, mais comment vous savez comment je m'appelle !?
??? - Calme toi, Je m'appelle Hawks je suis un héros, nous sommes venus te sauver de cette enfer et te ramener chez ton père, et je sais comment tu t'appelle parce que c'est Shota qui me l'a dit.
- Ah ok, cool.
[ pense : enfin libéré de ce putain d'enfer !]
Hawks me détache de toute mes entraves puis me protège des gardes qui essaye - en vin - de me reprendre jusqu'au moment où tous les vilains sont a terre, ou en fuite, ce qui nous permet de pouvoir sortir du bâtiment dans lequel j'ai passé au moins 6 mois.
Je sors et vois le Soleil qui se couche. C'est beau, j'avais oublié cette vie. Je vois mon père au loin, ça fait si longtemps que je ne l'ai pas vu que je ne peux pas m'empêcher d'hurler.
Papa- Tris !!!! Me hurle t-il en larme. Je cours en sautant littéralement dans les bras de mon père.
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( Imagine qu'il n'utilise pas son alter )
Je reste comme ça même pas 30 seconde avant de reculer. Cette expérience traumatisante m'ayant fait fuire tout contact physique, je supporte plus qu'on me touche, même pour un câlin.
- Pa... papa s'il te plais... Pas de câlins...
Papa- Tris ... Je ... Désolé pas de soucis. Dit il d'un ton un peu plus neutre.
