Chapitre 5

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POV Ivy

*Lendemain matin*

J'étais assise seul dans un wagon du métro pour rentrer à l'appartement quand 3 hommes en costume trois pièces rentre dans celui-ci complètement saoul, ils commence à danser autour des barres, ils se racontent des blagues et ils chantent, mais viens le moment où ils me remarquent enfin.

- Hé salut beauté comment ça va ? Dit un des hommes en s'approchant de moi.

- Vous puez l'alcool. Dis-je amèrement. Vous voulez bien rejoindre vos amis ?

- Pourquoi est ce que je ferais ça alors qu'une magnifique donzelle est sous mes yeux ? Dit il en posant une main sur mon épaule.

- Si vous voulez rester en vie je vous conseils de rapidement enlever votre main de mon épaule. Dis-je sèchement.

Il ne me répond pas et s'assoit à côté de moi tout en glissant sa main dans le bas de mon dos.

- Je vous avez prévenu. Lui dis-je en le regardant droit dans les yeux. Gaïa. Chuchotai-je.

Comme si j'étais recouverte d'écailles celle si se soulève surtout mon corps. Ma peau autrefois blanche devient verte et mes cheveux blond miel devienne roux. Je laisse donc la place à Gaïa même si c'est risqué.

POV Gaïa

- Bouh ! Dis-je en voyant l'homme qui avait sa main dans le bas de mon dos, mais qui était figé.

Ils font tous les trois un bon en arrière.

- Vous savez, c'est extrêmement rare qu'elle me laisse la place comme ça sans que je lui demande d'habitude, il faut que je force. Dis-je en m'approchant doucement d'eux. Alors vous avez du sacrément l'énerver. Racontez-moi tout, je dormais, je n'ai pas suivi. Continuais-je.

Les trois me regardaient fixement un air effrayé coller au visage.

- Qui... Qui es-tu ?... Tu ?

- The Grinch ! Lui répondis-je avec un sourire carnassier avant d'éclater de rire.

- Qui es-tu vraiment ? Demande un autre avec plus d'aplomb.

Je redeviens sérieuse et regarde ces hommes qui ne tenaient à peine pas sur leurs jambes.

- Toi réponds moi avant ! Ordonnai-je en montrant du doigt celui qui venait de poser la question. Que comptais-tu faire à la dame tout à l'heure ? Hé oui, on m'a tout raconté. Dis-je en le voyant devenir tout pâle.

- R... R... Rien. Bégaye-t-il. Je parlais juste avec vous.

- Non non, tu ne me parlais pas à moi, je te rappelle que je dormais. Tu parlais à Madame. Es-tu sûr de toi pour ta réponse ?

- Oui... Pourquoi ne serais-je pas d'accord avec ma réponse ?

- Ok alors faisons un jeu. Celui de la roulette russe. Dis-je en sortant mon arme.

J'ouvre le barillet et en lève toutes les balles.

- Je vais remettre une balle dedans et tant que tu ne m'auras pas dit la vérité, je tirerais en te visant toi en premier puis tes collègues puis moi. Je vais remettre une balle dedans et tant que tu ne m'auras pas dit la vérité, je tirerais en te visant toi en premier puis tes collègues puis moi. Alors vas-y dis moi en chantant ce que tu voulais faire à la dame ? Dis-je en pointant mon arme sur lui.

- Mais mais rien du tout, je vous jure. Me dit-il paniqué.

Je tire.

- Oh oh coup de chance, il n'y avait pas de balle cette fois-ci. Et n'oublie pas en chantant, je t'ai dit. Ne m'énerve pas plus que je me suis déjà. Donc je ne me répéterai pas réponds à la question.

- Je vous jure que je ne comptais rien faire.

Je tire à nouveau.

- Oye mince, il y avait une balle, j'ai de la cervelle de partout maintenant. Pff.

J'ouvre le barillet et cette fois-ci, je mets deux balles.

- On va corser les choses deux balles, cette fois-ci. Je te conseille de répondre sincèrement à ma question maintenant.

Je pointe mon arme sur son collègue et attends une réponse, mais aucune ne vient. Je tire.

- Ah ah, dommage, tu es trop lent répond.

Je pose l'arme sur ma tempe et attends.

Toujours aucune réponse.

Je tire.

- Dommage pour vous aucune balle. Alors tu vas enfin me répondre ? Commençais-je à m'emporter.

Je le vise, il lève la tête vers moi et commence à chanter.

- Je vous jure que je ne voulais rien faire.

Je tire.

- Ah chiotte mec, tu chantes faux, c'est incroyable ça. Un de t'es collègue est déjà mort, mais tu continues de mentir comme un arracheur de dents. J'en ai marre de ce petit jeu et il ne reste plus qu'une minute. Dernière chance. Alors ?

- Je n'allais rien faire, je vous le promets.

- Tu m'énerves. Vous les hommes, vous êtes tous les mêmes vous n'êtes que des animaux à sniffer. Dis-je.

Je fais pousser une liane et leur transperce le crâne à tous les deux.

Je me poste devant la porte nettoie un peu mon arme et la range.

Quand on arrive en station, je descends et commence à monter les marches pour sortir lorsque j'entends les premières personnes crier. D'autre ce retourne vers moi sûrement à cause du sang et des morceaux de cerveau dont je suis recouverte bah ce n'est pas grave, j'irai me doucher à l'appart.

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Au début, je voulais attendre avant de poster, ces chapitres, mais je n'ai pas pu m'en empêcher alors voilà deux nouveaux chapitres. J'espère qu'ils vous plairont. N'hésitez pas à me le dire en commentaire et à voter. ; )

Ps: Le chapitre final est écris.

Memento MoriOù les histoires vivent. Découvrez maintenant