une course après le temps qui pourtant m'est étranger, une autre bien plus infâme à faire reculer toutes ces années, une course, une fuite des visages et de leurs mots tranchants comme des larmes, une course fuyarde au milieu de cet infini, trop grand, trop froid, trop long, trop, trop,
j'étouffe, une seconde.