Mon chevalier

Je t'aime

                                                  ---ATTENTION, CE CHAPITRE CONTIENT DU LEMON---

                      Il est possible de lire le début sans problème, un second avertissement est donné.

L'année suivante, le roi Connor mourra au combat lors d'une bataille faisant rage dans le royaume. Le prince était anéanti, mais il n'avait pas le droit de se morfondre, dès le lendemain, il sera couronné roi.

A genoux devant l'archevêque, il préta serment, et délicatement, un lourd anneau d'or, se posa sur le haut de son crâne. Chaque jour, Noah était enfermé dans le bureau du château. Il élaborait la conquête de certaines terres dans le royaume de l'Est. Il ne passait plus de temps avec son chevalier. Chacun d'entre eux étaient triste. Le roi était mort, car la Lys n'a pu être ramené. Noah s'en voulu des jours, des semaines et des mois. Son père était mort, tandis que son ami vivait. En valait-il vraiment la peine ? Ou c'était il trompé. Il étudia longuement la question, et vint à conclusion, « Toute action, présente de grave conséquence... Joué avec la vie et la mort, est un fait, mais tu n'es pas Dieu... Je ne regrette rien. » Noah se leva précipitamment de son bureau et courut dans les couloirs, escaliers et l'enceinte du château. Il sorti, pris le premier destrier qu'il trouva et chevaucha jusqu'à la chaumière, qui n'avait pas changer, du chevalier. Il était si presser de le revoir, d'admirer de nouveau les grands yeux bleus, les cheveux d'une blondeur ressemblant au soleil et son magnifique corps. Les coups résonnèrent dans le petit habitacle, Elioce ouvrit, pensant qu'il trouvera une personne apeurer de l'autre coté de la porte. Mais au lieu de ça, Le prince attrapa le t-shirt du garçon en face de lui, et sans réfléchir, il attira le corps de son ami contre le sien, et sans gêne, colla leurs deux lèvres les unes contre les autres.

(Second avertissement, la scène suivante comporte du lemon et est une scène facultatif a l'histoire)

           Dans un élan de folie, Elioce entraina le jeune roi dans la chambre, ferma la porte et le poussa sur le lit avec fougue et envie. Noah, interloqué, le regarda avec curiosité, et demanda : « Pourquoi ? Je suis dans ton lit. » Le chevalier répondit simplement : « J'ai envie de toi. » Sur ces mots, sans perdre une seconde, Elioce dénuda le garçon devant lui. Encore un peut choquer, Noah le regarda, sans protester, au fond de lui il le savait, il en avait autant envie que lui. A peine quelque seconde après, se fut le roi qui déshabilla son chère et tendre. Leurs deux membres étaient dans l'excitation la plus total. Noah ressenti à cet instant, plus qu'une seule envie, celle de sentir son ami entrer en lui. Le plus grand se pencha en avant et embrassa l'homme devant lui, il lui demanda : « Tu le veux ? » Noah s'empressa de répondre : « oui... Fais le... » et ils s'embrassèrent de nouveau, profitant de cet instant de plaisir, Elioce fut entré son membre gonflé dans son ami, un soupir de plaisir s'échappa de ces lèvres, mais en un rien de temps, le chevalier le fessa taire en collant leurs bouches l'une à l'autre. En quête de plaisir, le blondinet entama de tendre coup de bassin, plus les minutes s'écoulèrent, plus les coups devenaient intenses. Les vagues de plaisirs parcoururent le corps de l'homme allongé. Les gémissements poussés étaient également d'une plus grande puissance. Pour Noah, le temps était interminable, son esprit se mélangeait entre plaisir et souffrance. Haletant, il s'agrippa aux draps pour supporter les vas et viens d'une puissance indescriptible. De longues minutes passèrent et sans prévenir qui qu'onc, le chevalier se déversa dans le corps du suppliant de plaisir. Noah, surpris, se déversa sur son propre torse dans un dernier gémissement. Elioce s'extirpa doucement, s'allongea aux côtés de son amour et le pris dans ces bras. Quelques secondes plus tard, les deux compères s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.