Chapitre 17 : Tu m'as tellement manqué...

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PDV Kat


Nous sommes toujours en route vers " la villa " comme l'avait dit Spike. Je regarde l'extérieur défilé rapidement par la fenêtre. Depuis tout à l'heure, ni lui, ni moi avons parlés. C'est comme un silence de mort.


Cameron : Tu penses à quoi ?


Je vais pas lui dire que je penses à James sinon il va s'énervé, mais je préfère quand même lui dire la vérité, même si il va explosé.


Moi : ......À James......


Il lâche un long soupire, comme s'il était agacé.


Cameron : Pourquoi lui ? Pourquoi tu l'as choisie lui et pas moi ? Qu'est ce qu'il a de meilleur que moi ?


Moi : Pardon ? Désolé Cam, mais lui ! Lui il a pas essayé de me tuer. Non ! Lui, il a préféré me sauver. Si t'avais pas tout gâché en essayant de me tuer, tout ira bien. On serait même ensembles à l'heure qu'il est. Mais quand j'ai vu qui tu étais vraiment, j'ai compris que je me suis trompée à ton sujet...


La dernière phrase, je l'avais dis dans un murmure. Cameron soupire bien fort, mais ne répond pas. Pourquoi ? Parce qu'il s'est que j'ai raison.


Éclipse du trajet


On était devant une villa magnifique. Cameron me prend par la taille et me fait entré dedans. Il me ramène au salon et allume la télé. Moi ? Bah moi, je suis assise sur un sofa qui est bien loin de celui de Cameron. Je regarde la télé même si je suis enfaite dans mes pensées.


Cameron * voix cassée * : Tu penses à quoi ?


Je me retourne vers lui et je pouvais apercevoir de la tristesse dans ses magnifique yeux bruns.


Moi : T'es malade ?


Cameron : ...


Il est tout pâle et il me semble qu'il est fatigué. Je me lève du sofa et m'approche de lui. Je pose ma main sur son front pour voir s'il a de la fièvre et sérieusement il est brûlant.


Moi : Cameron, où est la cuisine ?


Cameron : Pourquoi ?


Moi : Je vais te faire une soupe que ma mère m'a appris pour les malades.


Il rit légèrement et secoue la tête de droite à gauche.


Cameron : J'suis pas malade.


Moi : Cameron tu es brûlant !


Il soupire et me dit finalement où est la cuisine, mais avant que je puisse aller là bas, il m'attrape le poignet.

Le jeux commence !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant