J'aurais aimé sillonner avec toi cette pleine infinie, nous aurions marché main dans la main, jusqu'à la dernière des aubes.
En ces nuits glaciales en ta présence, y déposer au petit matin la rosée d'une inépuisable joie, au creux de tes mains.Au lieu de ça, j'ai charcuté, brisé, mordu ton aimable cœur, je suis parti, bien avant notre fin, te laissant seul sur ce triste chemin.
Blessé d'avoir blessé, j'espère souffrir autant que toi, ma douce et belle femme, merci pour tes si aimables flammes,
au revoir.