"Une revanche royale "

Chapitre 2

Point de vue omniscient 

Assise sur le fauteuil Dans le bureau qui appartenait autrefois à son père, la jeune fille n'arrivait toujours pas à croire Quelle y est arrivée, sa a été dur mais elle y est parvenu. Ecrire cette lettre est l'une des choses les plus dures qu'elle n'eu à faire de toute sa vie. Sa a réveillé en elle tout se malheur et tout se chagrin que elle croyait avoir noyé au plus profond de son être. Ecrire cette lettre a réveiller en elle se sentiment inexpressif. Cette boule dans sa gorge qu'elle croyait disparu à jamais, refit surface. On pouvait facilement deviner qu'elle avait pleuré, son mascara, autrefois bien appliqué, avait coulé et avait atteins à peu près ses lèvres . Cette lettre et en quelque sorte une étape de son deuil. Il est temps que elle fasse son deuil, qu'elle accepte que ils ne seront plus de ce monde. Il faut que elle se rende à l'évidence : elle ne les verra plus jamais et il faut que elle s'y fasse à cette idée le plus vite possible . La résignation est tellement dur, mais il faut que elle accepte leur mort . Elle savais que elle ne pourra pas faire son deuil sans avoir à subir des effets néfastes comme par exemple l'isolement, l'ennui, la perte d'enthousiasme et aussi la dépression mais elle n'irait pas jusqu'à parler d'un suicide car bien que la vie sois cruelle , elle lui a donner un petit frère et une petit sœur que elle aime plus que tout au monde et même si la vie lui a retiré ses parents elle ne la remerciera jamais assez de lui avoir donner ces deux anges qui seront à partir de maintenant ses seuls et unique raisons de vivre. Elle ignore comme elle prendra sa revanche, mais elle le fera, elle le fera parce qu'elle le lui a promis. Elle déposa la plume sur le bureau ensuite elle plia la lettre en deux et la mis dans un enveloppe  qu'elle rangea dans un tiroir puis elle se leva de son siège , ajusta sa longe robe noir en la défroissant du bas , remis sa veste rouge sur ses épaules essuya le mascara qui a coulé et quitta le bureau ,mais avant elle ferma la porte du bureau avec délicatesse et tourna la clé puis la mis dans sa poche afin que à présent , plus personne ne puissent pénétrer de nouveau dans se bureau. De l'autre côté du manoir, au deuxième étage dans une chambre au fond d'un couloir, une jeune femme se regardais dans le miroir désespérément. Ses yeux tout rouge et ses cernes étaient visible à plusieurs mètres. Elle regardait a quelle point elle était devenu laide. Sa robe de nuit blanche était désormais toute couverte de tâche de mascara qui avait coulé lors des nombreuses nuits qu'elle avait passée à pleurer et à penser. Elle pensait a comment sa vie à basculée du jour au lendemain , elle pensait à comment allait- elle fait pour vivre maintenant que ses parents ne sont plus la , comment allait-elle faire pour traverser les longs couloirs du manoir ou sont accrochés tout les tableaux que peignait sa mère , où sont accrochés des photos de famille qui autrefois la faisait rire en les regardant , aujourd'hui la font pleurer et regretter de ne jamais avoir eu de bonne relation avec son père et de toujours l'avoir détester .depuis la mort tragique de ses parents , Elle passait toute ses nuits à réfléchir dans l'obscurité total et dès que le soleil se levait elle se précipitait vers le un petit jardin secret qui se situe a l'arrière du manoir et restait pendant plusieurs minute a regardait le magnifique paysage du « crépuscule matinal » qui s'offrait à elle . Quand elle était plus jeune, la vie qu'elle possédait lui semble telle un conte de fée, tout ses robes, ses couronnes, se personnelle nombreux. Mais maintenant cette vie lui semble un enfer, un enfer qu'elle ne peut pas fuir, parce que peu importe ou elle ira, il la suivra et il brûlera tout au passage. C'est tellement dur d'essayer de fuir une réalité, alors il faut juste s'habituer parce que fuir et encore plus douloureux que s'habituer. La jeune brune, tourna avec difficulté le robinet de l'eau chaude puis froide de la baignoire en la réglant a une température ambiante pour faire une bain mousseux tiède avec du savon au arôme de jasmin , comme lui avait appris à faire sa mère ,il y'a quelque années de là . Elle retira sa longue robe de chambre qu'elle laissa tomber au sol avec sois puis détacha ses long cheveux tout sale et se glissa dans la baignoire. L'eau chaude et mousseuse lui fit un bien fou, tout ses membres se décontractèrent, il n'y a pas un meilleur endroit pour se détendre que dans un bon Bain. Jusqu'à maintenant elle ne c'était jamais demandée quelle gout pouvait avoir l'eau du lac ,Elle n'avait jamais constaté que l'eau qui coulait du pommeau avait un goût agréable. et pour la première fois depuis plusieurs semaine elle s'autorisa a fermer les yeux et a voir les choses du bon côté bien qu'il n'y en est pas. Elle demeura immobile pendant de longues heures, jusqu'à ce que l'eau devînt froid et finalement elle se décida a sortir de la baignoire. Elle enfila son peignoir tout blanc et mis une serviette sur sa chevelure toute mouillée puis ensuite elle retourna a sa chambre et s'assit sur son lit . Sa chambre était devenu une vrai porcherie , sa chambre était devenu exactement le reflet de son soit même intérieur : désordonné, désorganisé , bordélique .Elle baissa le regard et vit des restes de verres cassés ,des cadres , des livres , des morceau de tissu déchiré , des papier froissés , des revus , des photos . Toutes sorte de choses traînaient par terre. Au loin sur son sofa , se trouvais des petit morceau de tissu qui étaient autrefois des robes, des robes qu'elle avais portait lors des funérailles , lors du petit repas de condoléance et lors de la soirée à l'église , des robes dont elle avait se besoin excessive de prendre une paire de ciseau et ensuite de les découper une par une jusqu'à ce qu'elle n'est plus aucunes formes . La jeune demoiselle , qui étais jadis très organisé , se mît alors à rangeait sa chambre , ou plus ou moins a mettre un peu plus d'ordre .Ensuite elle se dirigea vers sa garde de robe et en pris un pantalon de jeans qu'elle enfila et un chemisier de dentelle rose clair dans lequel elle nageait - au sens figuré- du au fait qu'elle a extrêmement maigrit car elle ne mangeait plus depuis la mort de ses parent ,ensuite elle chaussa une paire de talon a aiguille fin de la même couleur que son chemisier . A l'aide de sa serviette elle se sécha les cheveux correctement puis elle repassa sa brosse dessus et se les attacha en une natte qu'elle laissa retombé sur son épaule droite. Elle étais prête à sortir de sa chambre, elle étais prête à voir tout ses tableaux tout le long des couloirs , elle étais prête à affrontait les chuchotements et les paroles des employés , elle étais prête à entendre des personne lui dire qu'ils sont infiniment désolé pour se que c'est passer avec ses parents . Elle était prête à voir toutes ses salles, toutes ses pièces qui lui rappellerons à chaque fois plus à quelle point la maison sera calme et silencieuse dans les prochaines années à venir. Du côté opposé du couloir, juste après l'escalier sur la gauche, une porte fermé depuis plusieurs semaine ne c'était jamais ouverte, derrière cette porte un jeune homme de dix-sept ans lisait la dernière page du énième livre qu'il a lut depuis la mort de ses parents. Allonger sur son lit, il ferma le livre et le posa sur sa table de chevet et il profita de se moment pour fermer ses yeux par la même occasion. Ses yeux tout bleu qui ressemblaient il y'a quelque semaine de la à un vaste océan se sont transformée en une superficie infinie de banquise Gelée. Ce jeune homme avait décider contrairement à sa grande sœur, qui a noyé son chagrin dans sont plan de vengeance, et à son autre grande sœur, qui a pleurer tout le soir durant plusieurs semaines, de noyer son chagrin dans son travail, dans des passions réconfortantes ou dans diverses thérapies visant l'épanouissement personnel, Comme La lecture. La lecture lui permettais de s'évader, de ressentir les sentiments des autres personnages. Les livres lui permettaient de comprendre tout se que la vie ne lui a jamais permis de comprendre. A travers les livres il pouvait vivre dans d'autre circonstances, différencier le bon du mal et bien encore. La majorité des livres qu'il a lut ne parlaient pas que de mort, de l'haut de la, de la survit, mais aussi de l'amour, de l'épanouissement, de certain sujet qui vous font sentir bien meilleure Bien encore encore meilleur. Tout comme sa grande sœur, le jeune homme déteste la vie , il l'a haie du plus profond de son cœur pour lui avoir enlever la femme qui conte le plus sa ses yeux et l'homme qui lui a servit de repère et d'inspiration pendant dix-sept-ans de sa vie. Cette femme étais se qu'il avait de plus cher au monde et bien plus . Encore, aujourd'hui il aimerait tellement qu'elle soit encore là et qu'elle puissent analyser avec lui tout ses petit sujet tabou d'on parle toutes ses histoires et tous ses livres. Désormais il est le seul homme de cette maison et il c'est fait la promesse de veiller sur ses deux sœurs , bien qu'il soit le plus petit .Sa personnalité c'est renforcé et c'est solidifié au fur et a mesure des semaines qu'il a passé à Lire des livres et a essayé de comprendre la vie .Au final il en a conclu que la vie est juste incompréhensible et qu'Il faut juste la vivre ,c'est tout . Le jeune homme se leva de son lit lentement , tous son corps lui faisait mal , il avais l'impression que tout ses muscles lui envoyer des signaux d'alarme le menaçant de lâcher prise a tout moment , malgré tout , il se positionna devant son armoire , il sélectionna un pantalon noir parmi tant d'autre et un pull blanc collant qu'il enfila et il chaussa une paire de converse blanche que lui avait offert sa mère quelques mois auparavant .Puis il se fit coiffa rapide donnant plus du volume à ses cheveux en optant pour l'utilisation du gel. Mais avant de sortir, il inspira et expira fortement et franchit finalement le seuil de sa porte. Les trois adolescents se rendirent tout les trois au même endroit, cette endroit qui leur rappelle la majorité de leur enfance . Ce côté du jardin et le plus beau de tous ,pourtant aucun jardinier du manoir n'a jamais mis les pieds ici ,malgré tout se jardin reste éblouissant .les trois adolescents qui étaient autrefois encore de petits enfants ,avait passé plus de 7 ans de leur vie à mettre à place se magnifique petit Coin , dans le temps leur père refusait de mettre dans le jardin principale un petit parc et un piscine pour que les enfants puissent s'amusé des l'arrivée de l'été sous prétexte que sa gâcherais la vue . Alors leur mère avait eu la fantastique idée de faire leur propre coin à l'arrière du manoir. De nos jours ce coin et un chef d'œuvre .Il est simple et moderne à la fois. Ce jardin a un parfum intense et envoûtant. A peine rentrés dans ce paysage somptueux, nous pouvons sentir la joie, le bonheur, le paradis rien qu'en fermant les yeux , il y'a dans ce somptueux jardin De belles associations de couleurs, mais aussi de feuillages taillé en plusieurs formes et textures différentes, Un peu plus au loin , ils avait construit une grande maisonnette en bois munit de terrasses où trônent poteries ,statues et plantes , ce petit coin , est un coin zen , un coin tel le jardin où on dansait cendrillon et son prince charmant avant que les douze coups de minuit ne retentissent . Il y'a de splendide fontaines, un lac artificiel, une petite piscine, un petit parc et bien encore. L'eau de la gargouille donne l'écho aux chants des oiseaux .Des petit bancs en bois très originaux avant été installé sur les extrémité de la surface du petit jardin, invitent à la rêverie . Ce jardin leur rappelle tant de souvenir, tant de fou rire, tant de bon moment. Ici même, leur mère leur avait construit une sorte de grande balançoire sur laquelle ils pouvaient tout les trois se balancer en même temps pour qu'il n'y est aucun problèmes de jalousie ni que sa engendre aucune dispute. Les cordes de cette fameuse balançoire, étaient attachées à un chêne, un vieux chêne munit d'une beauté incroyable. Il est probablement le plus, long et ancien Arbre qui puisse y avoir dans cette zone de l'Angleterre. Venu tout les trois de plusieurs chemin différent, il ne se virent pour le première fois depuis l'enterrement de leur parents  que une fois sur place. Les deux sœur se jetèrent littéralement l'une dans les bras dans l'autre tandis que le frère les regardait, un sourire au lèvre .puis elle ouvrirent leur bras pour accueillir dans leur accolade, le benjamin de la famille. Ils allèrent s'asseoir tout les trois sur la balançoire de leur mère. Le silence régnait dans le jardin, on ne pouvait entendre que le son de la respiration des trois adolescents, le chant des oiseaux, et le bruit de l'eau des fontaines qui coule. Les bruits sont habituellement néfastes pour le système auditif, mais ceux de cette eau, de ce jardin, de cette nature, leur permet de relaxer et de retrouver leur bien-être. Le frère se trouvait aux milieux de la balançoire et à ses extrémité se trouver ses sœur qui, elles avaient la tête poser sur les épaules de leur petit frère. L'Aîné humait l'odeur de son frère, cette odeur particulière qu'elle adorait quand elle était petite, cette odeur pour laquelle elle se faufilait discrètement le soir pour aller dormir sur le tapis près du berceau de son petit frère uniquement pour la humer. Elle pouvait reconnaître son petit frère seulement grâce à son odeur. La cadette, compte à elle, elle repassait ses doigt sur les lignes des tatouages de son frère, mais elle adorait repassait ses doigts sur les lignes d'un tatouage en particulier , une sorte de cadenas et une clé sur laquelle il est écrit " une famille c'est pour la vie " . Les larmes lui montèrent aux yeux mais elle se Retint de pleurer devant se sœur, car elle savait très bien que si elle commençait, il allait tous finir en pleure. Les blessures du passé ne sont pas totalement guéries, je dirais même pas du tout guérie. Elle sont ressente et ne guérirons que dans quelque mois voir quelques années même. L'aîné brisa le silence et dit