Chapitre 1

12 1 0
                                    

Il faisait nuit chaude, les fenêtres du palais n'avais pour seule fermeture de fin rideau translucide. Le chambranle et le balcon de la salle de bains était en bois vernis dans un style asiatique, décorés par une plante au grande feuilles verte de chaque côté de la fenêtre.

-Aether Victoria, levez les yeux s'il vous plait.

Victoria, assise dans la salle de bain, se faisait appliquer une crème sur le visage par sa shaha tandis qu'une esclave, accroupie, lui nettoyais les jambes. Elle regardait satisfaite le plafond et ferma les yeux.

-Finalement je pourrais bien m'habituer à ce genre de soins. Un petit temps s'écoula . . .

-Bon par contre c'est quand que je pourrais aller dormir ?!

-Quand vous serez prête.

__________

Plan du palais d'Ether vue de l'extérieur, Lucas cris depuis sa chambre (scène : dessins comique)

- Ha non! C'est bon ! Laissez-moi tranquille !!! Il s'accrocha à l'une des colonnes rouges de sa chambre, tandis que son shaha le tirait par le calçons.

-Aether Lucas s'il vous plait, juste pour la cérémonie de demain ! C'est votre première apparition publique ! Il finit par le lâcher et le supplia à genoux. Lucas désemparé le regarda d'un œil mauvais. Il lâcha sa colonne et se laissa tomber sur le parquet vernis,

-Ok... C'est bon/ Il n'avait pas fini sa phrase que son shaha le tira par le bras sur le sol, vers la salle de bain.

- HEY ! T'as intérêts à me laisser dormir au moins jusqu'au tiers de la monté du nuage athique! Sont shaha lèva les yeux au ciel.

- Après 1064luxus. 

-Je n'y comprends rien à ce charabia, on ne compte pas le temps comme ça dans mon monde.

-Oui mais maintenant vous êtes le dieu de notre monde, maintenant le masque ! Le shaha avec un grand sourire et des yeux plisser, plan suivant. Lucas se regarda dans le miroir avec son masque sur la tête, le visage inexpressif.

-Je hais ma vie. - ___ -

_________

Bureau de sa sainteté, cadre sur un cahier ouvert, l'écriture y est illisible, tremblante. Il y a des taches de sang sur la page. Cadre mi-cuisse, Le Livar qu'on voit de dos est face à un miroir. Il prend un tissu posé sur le rebord de la cheminé pour stopper son saignement de nez.

-Quelle veine j'ai. Sa voix fait grave et grésillante. Cadre : bas du visage, de son nez aquilin à sa barbe. Sa main appuie le tissu à l'endroit du saignement. Cadre visage à travers le miroir, il se regarde fatigué.

-C'est bientôt la fin. Quelques années encore... (se remet bien droit, un cadre est poser sur le rebord). On toqua à la porte.

-Entrez. La porte s'ouvrit sur un garde.

-C'est pour vous faire personnellement le rapport de la mission que votre sainteté m'a confié.

-Bien. Il partit s'assoir vers son bureau, Le garde tira sa chaise pour qu'il puisse s'y assoir. Le Livar regarda les mains du garde sur le dossier de la chaise et eu un air de dégoût. (1 : cadre mains sur le dossier, 2 : cadre regards/réaction pape.) Les mains du garde se crispèrent à la vue du mouchoir ensanglanté. Sa bouche s'entrouvrat légèrement, il hésita à dire quelque chose.

-Vous saignez pè.../ Le Livar l'interrompit.

-Ne m'appelez pas comme ça, Aurélien. Sa voix était dure et l'ambiance de la pièce s'alourdit.

AterreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant