Chapitre 1 - L'arrivé

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Les grandes vacances viennent de commencer, et comme chaque été, je vais dans le plus paisible et magnifique camp de vacances, à une heure de Vancouver, accompagné de mes amis et de mon petit frère. Le camp longe un immense lac, entouré de montagnes remplies d'arbres, ce qui rend le lever de soleil encore plus magnifique.

Les chalets où l'on va dormir, par groupes de quatre, sont entourés d'une forêt remplie d'animaux sauvages. Malgré tout cet environnement sauvage, il n'y a qu'une seule chose que je redoute : voir le nouveau gérant du camp, Jonah, que je ne peux pas voir, même en peinture. Mon frère Hector, quatorze ans, et moi , Josh, dix-sept ans, sommes en voiture. Nous parlons en chemin des personnes que nous allons revoir et de ce qu'on espère faire cette année. Personnellement, j'ai hâte de revoir mon meilleur ami Ryan, qui est bi. On se dit tout et surtout, on fait tout ensemble.

Comme d'habitude, c'est Thibault, le surveillant de nuit, qui gère les entrées du bois menant au camp. Je le trouve canon. Après une quinzaine de minutes de marche dans cette forêt, nous apercevons l'entrée du camp. Il semblerait que nous soyons les premiers. Ma mère nous dit au revoir, puis nous partons à l'accueil et nous rencontrons Andrea : elle a dix-neuf ans et c'est son tout premier jour dans le camp. Mon frère dort dans le chalet maxi-junior 5 et moi dans le maxi-ado 4. Je me dirige vers mon chalet et y pénètre. En entrant, je sens l'odeur typique des jeunes qui étaient ici avant moi. Je choisis donc un lit et range mes affaires. Je décide d'aller prendre une douche car nous avions fait beaucoup de route. Je me dirige vers la salle de bains, entre et enlève mon haut suivi de mon jean et de mon boxer. La simple idée que des jeunes de mon âge se soient masturbés ou aient fait d'autres choses dans ces douches me fait vraiment bander.

Ma bite passe de dix à quatorze centimètres pour enfin arriver à dix-neuf centimètres. Je me demande alors si je dois me branler ou pas, de peur que quelqu'un n'entre pendant que je me branle. Je ne peux résister et, malgré ma peur, je commence à me caresser l'entrejambe, pour ensuite me masturber. Mon poignet prend vite le rythme et, pour éviter tout bruit suspect, je fais couler l'eau de la douche. L'eau coule tout d'abord goutte par goutte sur mon dos, mes tétons puis sur mon ventre jusqu'à arriver à mon bassin couvert de poils, suivi de mon chibre bien dur pour atteindre mes grosses couilles. La vapeur qui monte petit à petit depuis mes jambes, frôle mes poils jusqu'à mon bassin et monte vers mes cheveux mouillés et ma tête inclinée vers mon chibre. Mon excitation est telle que je ne m'aperçois pas que la porte s'ouvre lentement. 

Camp de VacanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant