𝐉𝐄 𝐕𝐄𝐔𝐗 𝐋𝐄𝐒 𝐕𝐎𝐈𝐑 [ 𝐎𝐧𝐞-𝐒𝐡𝐨𝐭 ]

Quand les yeux d'Hinata furent libérés de ce tissus blanc, elle n'osa quand-même pas les ouvrirent.
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— Hinata je suis rentré ! Prévint le blond qui venait de faire irruption dans sa demeure.

Ça faisait plusieurs mois qu'il était partit en mission. Il n'avait donc pas pû se voir durant. Le blond devait avoué qu'elle lui avait horriblement manqué. De ses rougeurs à ses magnifiques perles nacrées qui étaient le miroir des sentiments de sa moitié.

— Bienvenue à la maison Naruto-kun...

Le sentiment de satisfaction d'enfin l'avoir sous les yeux n'eu même pas le temps de s'installer en lui, qu'un tout autre sentiments avait prit le dessus : de l'étonnement et de l'anxiété.

En effet devant lui, un pied derrière l'autre et une main une appuyée contre le mur, Hinata se tenait debout avec un large bandage autour des yeux.

— Hinata ?! T'es yeux... Qu'est-il arrivé à tes yeux...

— J'ai abusé du byakugan lors de ma dernière mission... Mais si je me repose quelque jours ça va aller. Fit-elle doucement, légèrement souriante.

— Tu te sens bien ? Demanda-t-il avec anxiété tout en lui passant une de ses mains sur la joue.

Il savait bien que c'était une question bête, mais il n'avait pu s'empêcher de la lui poser. Son visage était toujours autant en proie à l'inquiétude, reflétant ainsi son état d'âme actuel.

— Aïe ! Tiqua la jeune femme au contact des doigts de son époux qui avaient légèrement effleurer le bandage autour de ses yeux.

Le jeune ninja retira brusquement sa main comme réponse au stimulus qu'était la réaction de sa compagne.

— Ha. Désolé. Avait-il au même moment.

— Non ça va. Fit-elle le faiblement pour le rassurer.

Elle avait dit bien aller, mais le blond ne pouvait arrêter le mélange d'angoisse et de peur qui grimpait en son être avec une rapidité et ardeur incroyable. En effet, il avait peur que ça ne dure trop longtemps. De la voir agoniser dans son sommeil, pendant qu'elle serait blottit contre lui alors qu'ils seraient endormi sur leur lit conjugal.

C'est alors qu'il se pétrifia d'horreur. Une pense venait de lui traversée l'esprit lui empêchant tout mouvement :

« Et si elle devenait définitivement aveugle ? »
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Le ciel était parfaitement dégagé. Les nuages donnaient l'illusion d'y flotter. Les chants d'oiseaux se glissaient dans les oreilles des villageois tel une magnifique mélodie.