" Le bébé n'est pas vivant, pas conscient, je fais ce que je veux de mon corps et j'ai le choix d'avorter si je ne me sens pas en état de le garder"
Si vous êtes d'accord avec le fait que l'on tue un enfant parce qu'il n'est pas conscient, en diriez vous autant d'un homme qui vous viole parce que vous n'êtes pas consciente ? Cela ne reflète pas ce qu'est l'enfant à naître, ou la personne violé : ça reflète ce que vous êtes vous-même. C'est comme si vous disiez je peux parler à la place de cette personne muette parce qu'elle ne peut pas parler, ce n'est pas parce que l'enfant ne peut pas l'exprimer qu'il n'a pas de conscience et que vous devez lui imposer votre point de vue sans vous souciez du sien, parce que vous êtes égoïste ou avez un problème de santé mental, une détresse psychologique (cette phrase n'est pas un jugement, mais une constatation) . Ce n'est pas l'avortement qui vous soignera si tel est votre cas, mais de ne plus vivre comme des assistés qui se bercent de fiction et qui ne savent plus ou il mettent les pieds dans la réalité. C'est de grandir et d'être conscient vous-même de ce que vous faites, une relation conjugale c'est pour avoir un enfant, ce n'est pas un caprice pour qui veut faire ou avoir ce qui lui plaît quitte à être égoïste. Grandir c'est comprendre qu'il n'y a pas que nous, qu'il n'y a pas que notre point de vue qui compte. Moi-même j'ai eu une dépression, si j'avais eu un enfant, qu'est-ce qui aurait été mieux, que je l'avorte à cause de cela et que je reste dans ma dépression, avec peut-être une augmentation de cette dépression à cause, peut-être, de ce même avortement, parce qu'il ne faut pas regarder seulement le pour, seulement le contre, mais regarder lequel des deux prévauts d'un point de vue morale et non pas personnel, Ou alors je garde l'enfant, et je me dis bon maintenant tu ne pense pas qu'à toi, tes problèmes, tes opinions, et tu pense à ce que les autres vivent, tu ne mets pas ta personne sur un pied d'estal et les autres comme une consideration facultative, mais tu reprend ta vie, parce qu'elle ne concerne pas que toi mais qu'elle influe sur celle d'autrui et si tu fais de mauvais choix cela influence les autres, en les confortant dans leurs mauvaises voies, en les y conduisant, voir en les détruisant. On ne reste pas un bébé toute sa vie justement parce qu'il y a après nous des bébés qui ont besoins de parents, pas de semblables. Et c'est parce qu'il y a beaucoup de semblable que les enfants cherchent des soutients psychologiques tels que les jeux vidéos, les mangas, parce qu'ils cherchent une considération, une consolation, une compréhension, de l'amour, et surtout, ce que les parents sont censés être : des modèles. Mais ils se trouvent souvent face a des parents qui jugent, qui critiques, qui ne les comprennent pas, qui s'aiment plus qu'ils n'aiment leurs enfants, qui pensent à eux-même en permanence, qui n'ont de compassion que le peu qu'ils veulent bien concéder : qui ne sont plus les bons modèles, les anges gardiens terrestres qu'ils sont censées être. Si vous êtes parents et ne comprenez pas vos enfants, parlez avec eux de ce qu'ils aiment, pour comprendre pourquoi ils aiment cela, et les guider vers une autre bonne voie où il pourraient avoir ces sentiment, car c'est pour combler un vide réel qu'ils renflouent leurs émotions par la fiction, qui n'est qu'une fausse solution, comme une perfusion lorsque l'on a du mal a manger, elle ne crée qu'une dépendance au matériel en détruisant totalement toute morale et indepandance, parce que l'émancipation des parents, en réalité, mène seulement à la dépendance au monde, aux États, au mal. Le diable est un père adoptif, qui pour attirer les enfants critique les règles de ses parents et lui donne des cadeaux, des bonbons, qui ne servent qu'à l'eloigner de ses parents pour qu'ils soient sans défense, et encore plus fragile que ses cadeaux sont des poisons qui mènent à sa perte. Ses cadeaux, c'est l'emancipation, la fausse liberté, et les vices, la fiction : l'illusion. L'emancipation parce qu'elle ne sert pas à ce libérer des parents mais à s'en éloigner; la fausse liberté car elle vous fait croire qu'il est bon de choisir ce que vous voulez sans comprendre que, comme cet enfant, cela ne sert qu'à vous démunir de vos défensent morale face au mal, votre discipline; les vices parce qu'ils vous deviennent habitudes et vous font désespérer de vous en sortir; la fiction, car c'est un rêve éveillé qui ne prend jamais fin, qui n'a pas de but et ne mène qu'à l'errance; l'illusion, car elle se fait passer pour un miracle, comme l'illusioniste qui fait croire qu'il coupe la femme en deux dans la boite, alors qu'il s'agit d'un mensonge, car c'est de cela dont le diable est le père : du mensonge. Par conséquent, de même que lorsque l'on lance un frisbi il nous revient, de même en est-il de nos actes. Le problème de notre époque, c'est que les gens veulent péchés, mais ne veulent pas de conséquences, ils veulent être sots mais ne pas être punit : la punition est pour le bien des hommes, pour leurs inculqué la discipline (beaucoup veulent faire des régimes, ont des résolution et n'y arrivent pas, ne les tiennent pas, parce qu'ils n'ont pas de discipline. Dieu nous demande de ne pas péché pour notre bien, parce que celui qui péche ne fait pas ce qu'il veut mais ce a quoi il est soumis. D'où l'importance de la discipline, et de comprendre le mal dans son propre comportement. On ne peut pas coucher à gauche à droite, et avorter, faire payer le prix au bébé de notre propre immaturité, de notre propre indiscipline face à ses passions. La solution n'est pas d'avorter, mais de ne pas se soumettre à "je veux" mais à " j'ai le devoir " : d'assumer mes erreurs, de les comprendre et ne plus les commettres, de les dire à Dieu au confessionnal, de faire pénitence, et de pardonner aux autres comme Dieu nous a pardonner. Nous avons le devoir d'aimer les autres plus que nous même, pas comme une règle pénible qui ne sert à rien, mais parce que c'est en aimant les autres, en donnant de l'amour, qu'on en voie le retour. Notre vie n'est pas un but, mais une transmission.