histoire de mafia

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Fille d'un baron de la mafia, enfant tu t'es fait kidnapper plusieurs fois cependant il y a une fois, tu avais 7 ans le clan ennemie t'avait pris en otage dans le parc. Ils ne pensaient sûrement pas qu'il aller supplier la mafia russe pour venir te chercher.

Remise en contexte :

Il est 10h20 tu viens de sortir dans le parc derrière le manoir, sans prévenir tes parents, tu joues avec ton arc. Tu viens de faire un sans fautes sur toutes les cibles présentes sur les arbres. Il te reste une flèche à tirer, tu entends du bruit dans les buissons, tu n'y prête pas réellement attention. Tu fait un robin des bois (autrement dit tu tires sur une autre flèche et tu la transperce). Tu viens juste de mettre ton arc en bandoulière quand quelqu'un vient te mettre un tissus sur la bouche. Grâce aux entraînement tu prends le réflexe de retenir ta respiration, mais tu n'arrive pas à t'enfuir de son emprise. Tu finis donc pas t'évanouir.

Environ une heure tu te réveilles dans une genre de salle de sport, tu comprends ce qui se passe mais tu ne paniques pas. Avec un grand calme tu enlève le foulard sur ta bouche :

« euh monsieur madame les méchants je peux avoir à boire ? »

Pas de réponse, tu te mets à chanter, faire des bruits, pleins de petits trucs qui commence légèrement à énerver tes ravisseurs. Le temps passe mais tu n'arrêtes pas, tu t'es mis à chanter une chanson assez spéciale que peut de gens connaissent. Au plein milieu de la chanson un des kidnappeurs s'avance vers toi. Il te demande de te taire, mais tu n'en fait rien et continue à chanter, cela l'agace et il te baffe. Étant assez jeunes tu ne contrôle pas totalement des émotions, donc la première baffe tu ne fais rien, tu continue tout de même de chanter. Cependant la deuxième baffe commence à te faire mal, à l'arrière l'un de tes ravisseurs demande que le monsieur arrête car il estime que tu es qu'une enfant (ce qui au passage n'est pas totalement faux).

Le monsieur n'écoute pas et te mets une troisième baffe qui elle est plus forte que les autres. Tu commences à pleurer légèrement tu essaye de retenir tes larmes, mais cela devient compliquer quand le monsieur commence à te crier dessus et te faire tomber avec la chaise à laquelle tu es attachée. Cela te fait mal quand tu le métal de la chaise appuie sur ton bras une fois au sol. Tu sens quelques gouttes de liquide couler le long de ton bras. D'un coup tu te souvient ce que l'on t'as dit lors d'un entraînement, tu n'as qu'a appeler quelqu'un puis siffler juste après le prénom. Tu cris donc :

« Quentin » suivi d'un sifflement (un petit peu raté). Dans les minutes qui suivent un jeune homme apparaît, suivi de plusieurs hommes sculpter comme des armoires à glaces. Tu es rassuré, tu souris donc quand tu vois Quentin s'approcher de toi. Il est inquiet mais toi tu lui souris. Il t'emmène à l'hôpital. La chaise t'était rentré dans le bras besoin de 5 points de suture, tu es donc sous gaze pour pas que tu ne sente la douleur. Tu es donc dans un état second morte de rire et tu raconte des bêtises, jusqu'au moment où tu raconte à Quentin ce qu'il s'est passer. Quand il apprend que l'homme t'as baffé il s'énerve légèrement. Au même moment tes parents rentrent dans la pièce. Ton père a tout entendu et jette un coup d'œil à Quentin :

« Je conduit Quentin et appelle les gars

- d'accord monsieur, de suite »

Au moment quand tu sors de l'hôpital, un vanne débarque devant l'entré quand la porte s'ouvre tu vois tes oncles, tu es donc très heureuse. Tu supplie ta mère de monter avec eux, elle te laisse y aller sans soucis.

Bien sur tu es leur petite protégée, il décide de t'emmener au resto pour te faire plaisir.

Voilà comment ça se passait quand certain gens s'en prenait à toi, le seul truc qui à changer ce jour et qui t'as fait une réputation c'est quand les gars (qui t'avait au préalable kidnappé) on débarquer chez toi et t'ont pris en otage en te pointant une arme sur la tempe. Tu venais juste de rentrer de l'hôpital et donc toujours un peu dans les vapes tu t'es mise à rigoler surpris, le monsieur qui te tenait t'as lâcher tu t'es donc retourner et tu lui as prime son arme, et avec un calme extraordinaire tu l'as pointé sur ses bijoux de famille. Tu lui as demandé de s'excuser auprès de tes parents pour les avoir inquiété. Il a refusé, comme toute personne avec un égo surdimensionné, sans pression tu as donc appuyé sur la détente.

Je te laisse imaginée la scène, le monsieur plié en deux, ta famille (oncles, parents, tantes...) fière, et pour finir le camp ennemie très stupéfait même flippé. N'ayant que 7 ans tu te rends pas réellement compte de la situation mais par réflexe tu pointes l'arme vers les autres gens, qui partent, si je puisses dire la queue entre les jambes.

Voilà donc aujourd'hui une de tes signatures : comme on s'en prends à ta famille, homme ou femme, c'est une balle dans les bijoux de famille.

Bien sur depuis ce jour-là tu as une sacrée réputation, déjà car tu est issu d'une grande famille réputé mais en plus grâce à ton « coup de grâce » ce fameux jours.


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