Pascal :Je reste pour vous, pour vos deux beaux yeux...
Il était partit comme ça la laissant le sourire sur le visage, et les larmes au yeux.
Elle avait eu tellement peur lorsqu'il lui a fait croire qu'il avait accepté sa mutation.Finalement peut être que Jules avait raison, peut être qu'il était temps qu elle se laisse aller et être heureuse avec lui.
Elle se leva d'un bond et fila dans le bureau du capitaine.
Bien sûr qu'il était déjà partit.Elle en conclut qu'elle irait chez lui directement, avec les regards indiscrets qu'il pouvait y avoir au commissariat vaut mieux que ce soit chez un d'eux.
C'est comme ça qu'elle se retrouva devant la porte de Pascal a 21h30, elle en avait mît du temps à se décider de venir ce soir, mais le plutôt serait le mieux s'était elle dit.
Pascal ouvra la porte étonné de la voir à cette heure-ci un vendredi soir.Florence :Bonsoir Pascal.
Pascal s'effaça pour la laisser entrer.
Pascal :Commissaire. Qu'est ce que vous faites là à cette heure ?
Florence :Je peux vous parler.
Le Capitaine se rapprocha pour l'aider à enlever sa veste.
Pascal :Vous voulez un verre ?
Florence :Euh.... oui je veux bien.
Pascal :Dites-moi de quoi vous vouliez me parler ?
Florence :A oui, parler. Vous pensiez vraiment ce que vous avez dit toute a l'heure, par rapport à que vous restiez pour moi ect ?
Pascal voyant de quoi elle voulait parler se rapprocha et encra son regard dans le sien pour être sûr que son message lui semble le plus sincère.
Pascal :Oui, Florence, je reste pour vous et vos deux beau yeux.
Florence voulut répliquer mais Pascal ne lui en laissa pas le choix.
Non attendez s'il vous plaît. Et parce que je vous aime Florence, comme je n'ai jamais aimé quelqu'un, je vous jure Florence et ça me fait tellement...Pascal fut coupé par les lèvres de Florence sur les siennes, il resta bloqué plus par surprise par envie. Florence se recula en réalisant son geste. Mais Pascal la rapprocha de lui par les hanches et l'embrassa à nouveau. Leur baiser devient plus passionné et on peut dire que leur nuit aura été courte. Ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre, le sourire au lèvres.
Pascal se réveilla sur les coups de 10 heures Florence n'était toujours pas réveillé, il en profita donc pour la regarde dormir.
Quelques minutes plus tard Florence se réveilla. Et l'embrassa furtivement avant de loger sa tête dans le cou de son amant.Florence :Moi aussi je t'aime. Mais j'ai peur Pascal. Avoua-t-elle dans un murmure. Le tutoiement avait été naturel elle se surprit elle même.
Pascal :Peur de quoi ?
Florence :Et si ça marche pas tout les deux on fait quoi après, et qu'on peut plus avoir ce lien qui nous unis et que j'aime tant parce qu'on a eut tellement de mal à le construire ce lien. Hein comment on fait après ?
Pascal :Et pourquoi ça marcherai pas ? On peut pas penser à ce qu'il se passerait si nous deux ça marcherait pas, tant qu'on n'a pas essayé. Et puis je t'aime Florence, je refuse de passer à côté d'une aussi belle histoire d'amour.
Florence :Et les collègues, au commissariat tout va être plus compliqué.
Pascal :Non Florence. Crois-moi je crois qu'ils n'attendent que ça qu'on saute le pas tout les deux.
Florence :Tu me promet qu'il n'y aura jamais de difficulté, toi et moi ?
Pascal :Je ne peut pas te promettre ça, mais je peut te promettre de faire tout mon possible pour te rendre heureuse et de t'aimer jusqu'à la fin de ma vie.
Florence se releva sur un coude et posa une main sur la joue de Pascal, et comme pour scellé la promesse d'une vie remplie d'amour et de joie à deux, elle unit ses lèvres avec les siennes.
Florence :Avec vous, pour toujours.