Le nouveau poste

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Le lendemain, Julie m'a une nouvelle fois demandé si je pouvais lui rendre service en massant ses pieds, j'ai encore une fois répondu qu'il n'y avait aucun problème.
Et j'ai encore une fois sauter le déjeuner.

A partir de là, Julie a petit à petit arrêter de demander poliment, ça s'est plutôt instaurer comme une routine.
Finalement, c'était sa pause déjeuner et mon heure "soumis" .
Elle ne semblait pas être déranger du fait que je ne mangeais plus.

Parfois j'avais un peu faim, mais je n'aurais jamais refusé la chance que j'avais de la masser.

Cette petite routine aurait pu s'arrêter là, et j'en étais combler, mais je n'aurais jamais refusé de m'humilier toujours plus le beau sourire de Julie.

Quelques mois après avoir commencé à travailler, je suis appelé dans le bureau de notre superviseur, et il commence à me parler du service, du groupe de travail, et il m'explique que son rôle est de former les nouveaux pour qu'ils puissent travailler de façon autonome. Néanmoins, il faut toujours un superviseur à la tête du groupe pour organiser le travail, et il me considéré apte à prendre sa place à présent.

Je doit avouer que j'étais assez exciter par sa proposition,ma première promotion enfin.

Je l'ai remercier d'avoir pensé à moi, mais je lui ai demandé une journée pour y réfléchir. Il a bien sur accepter, en me précisant qu'il y aurait bien sûr plus de responsabilités, plus de travail, mais aussi un meilleur salaire et un bon tremplin pour monter dans la société.

Durant la pause déjeuner, tout en massant les pieds toujours en nylon de Julie, je lui racontais ma discussion avec notre superviseur, et là, elle se mit à réfléchir, en me disant.
Julie : j'ai une idée..., s'il t'a choisi c'est que tu es un bon élément du groupe, donc tu n'aura aucun mal à monter dans l'entreprise, ça te dirait, peut-être, de refuser et de me proposer pour le poste à ta place, tu vois, ça me donnerai un petit coup de pouce, et toi tu prendra la prochaine promotion qui ne devrait pas tarder, t'en dit quoi ? Dit oui....

Je ne suis pas très sûr si elle en était consciente, mais tout en développant son idée, son pied que je ne masser pas commencé à me frotter très légèrement l'entrejambe.

J'étais complètement hypnotisé, je n'ai pas pu réfléchir une seconde si ma carrière pourrait en prendre un coup, l'odeur de ses pieds, la douceur du nylon, et le bruissement du nylon sur mon pantalon, m'ont très facilement convaincu que je devais accepter.

Mais même sans tout ça, imaginer que Julie devienne ma supérieure surtout en prenant ma place, me suffisait.

J'ai donc bien sur accepter en rajoutant que c'était une bonne idée, et le lendemain comme prévu je conseillait Julie pour prendre la place de superviseur.

Heureusement, Julie a reçu le poste, elle était tellement excité, déjà de diriger un groupe de travail, puis de son augmentation de salaire, mais également de son nouveau bureau personnel.

Nouveau bureau qui nous a permis de continuer notre routine de la pause déjeuner mais cette fois plus discrètement. Elle m'appelait dans son bureau lorsqu'elle déjeuner, et je je ne m'embêtait plus à amener mon repas, je venais exclusivement pour lui rendre service au détriment de mon repas.

Après une semaine, Julie me fit venir dans son bureau pour m'avouer qu'elle avait un peu de mal à gérer toute la charge de travail en plus. Elle avait peur d'avoir des problèmes si elle ne se montrait pas excellente dans son nouveau poste.

Je lui ai proposé de l'aide, en lui affirmant que je pourrais faire n'importe quoi pour la soulager.

J'aurais peut-être du m'abstenir, mais après tout ce temps passé à ses pieds, je n'espérais qu'une chose, la servire encore plus.

En tout cas, elle m'a remercier en me disant que je pourrais peut-être m'occuper de quelques rapports pour elle, tout en gardant ça secret.

J'ai bien sur accepter, en ajoutant que je pourrais prendre les dossiers qu'elle voulait que je fasse, le soir et les lui rendre le matin.

Elle a donc remplie un classeur, en m'expliquant exactement ce qu'elle attendait de moi, en me demandant de tout lui ramener fait demain sur son bureau.

J'ai donc passé ma soirée à travailler pour Julie :) ......

J'ai d'ailleurs du faire une pause, je suis devenu vraiment trop exciter quand j'ai pensé que ça aurait pu être mon travail avec tout ses avantages, mais que pour l'instant, je travaillais pour Julie en ayant perdu tout ces avantages.

Le lendemain, Julie m'a remercier encore une fois, en me donnant un autre classeur à faire pour elle.
Je me suis dit que cette fois, en plus de l'humiliation quotidiennes de sacrifier mon déjeuner pour le bien-être de Julie, je devenais petit à petit son "esclave", à travailler pour qu'elle soit mieux vu par ses supérieurs, sans aucun bénéfice pour moi-même.

C'est comme ça qu'une semaine est passée. Je travaille la journée et le soir, je fait le travail de Julie, pendant qu'elle, sort avec des amies, postant ses photos sur instagram.

C'était tellement humiliant, quand j'ai appris qu'elle se détend pendant que je travaille pour elle. J'ai donc bien pris soin de liker toutes les photos des ses soirées où elle me faisait travailler. Comme ça elle savait que j'étais au courant qu'elle sortait et que je continue d'accepter son travail de plein gré.

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