Recueil Genshin Impact : lemon 🍋 || Commande fermé

Xiao - Festival des lanternes

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20h 38
Près d'une forêt de Liyue.

Aujourd'hui, nous sommes le jour du festival des lanternes.
Xiao et moi nous y sommes allés à cause de mon caprice, mais vu la tête qu'il faisait durant la journée, je pense que j'ai quand même bien fais de le forcer à y aller avec moi.
Cette journée était absolument fabuleuse, non seulement car nous avons fait des tas de chose amusante, mais aussi car je l'ai passée au près de mon amoureux.

Alors que nous sommes sur le chemin du retour pour rentrer chez nous, main dans la main, en parlant de tout et de rien, Xiao s'arrêta d'un coup.

« - Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu t'arrêtes tout d'un coup ? » Lui demandai-je dubitative.

« - Rien de grave ne t'inquiète pas, mais... un jour tu m'avais bien dit que tu aimais voir les lucioles de nuit pas vrai ? »

« - Oh effectivement, tu te souviens ça. » Lui répondis-je touchée qu'il se souvienne de cette information que je lui avais lâcher au milieu d'une conversation lors de nos premiers rencards.

« - Si tu veux, il y a des lucioles ici, avec sa main de libre, me pointa du doigt un petit groupe de luciole qui se situait non loin de nous, vers l'entrée d'une forêt.
regardons les ensemble. Si tu le veux, bien sûr. »

« - Bien sûr que je veux les regarder avec toi abruti. Je ne vais pas te demander de partir juste pour les regarder tranquillement sans toi. » Lui répondis-je souriante tout en lui donnant un petit baiser sur ses lèvres.

***

20h 41
Entrée de la forêt.
Assise contre le tronc d'un arbre au côté de Xiao toujours avec nos mains liées, je contemplai devant moi la lumière verte jaunâtre des lucioles en train de voler dans tous les sens.

« - Eh bien, je me lasserai jamais de cette vue. » Lui dis-je tout en soupirant de satisfaction à la vue qui s'offrais à moi alors que je tournais ma tête dans sa direction pour le regarder.

« - Moi non plus. » Me répondit Xiao en me regardant dans les yeux.

Suite à cette remarque -ayant pour sous entendu qu'il ne se lasserai jamais de moi-, je rougis tout en remerciant les Dieux qu'il fasse assez sombre pour cacher mes rougissement et détourne le regard de nouveau vers les lucioles qui se trouvaient en face de moi. Toutefois, je sus aisément qu'il avait aperçu mes joues rouges car j'entendis un magnifique petit rire sortir de sa bouche. Suite à ça, il eut un moment de blanc, mais il n'était pas gênant, au contraire, c'était un blanc calme et reposant. Mais celui-ci ne durait que le temps d'un instant avant que je ne lance d'une voix timide mais sûre :

« - Je t'aime. »

D'abord surpris puis timidement souriant, il me répondit :

« Moi aussi, je t'aime [t/p]. Plus que tout au monde. » Avant d'attraper mon visage en bol pour la tourner dans la direction de sa tête et me déposer un baiser sur mes lèvres et de se détacher quelques secondes plus tard.

Voulant plus qu'un simple baiser, je me jetta à son cou pour avoir un baiser fougueux et passionel que j'eux rapidement. Je continuais à l'embrasser, entrouvant mes lèvres qui ont pu laisser la place à sa langue, me déplaça de sorte à que je me trouve entre ses cuisses et à califourchon sur lui et me mis à descendre mes mains qui étaient autour de son cou à ses épaules, ses pectoraux, ses abdominaux, puis remonta pour remettre mes mains baladeuse sur ses pectoraux pour les redescendre et refaire le même chemin encore et encore de son magnifique torse musclé.
Alors que je continuais de lui caresser le torse, j'entendais un petit grognement de satisfaction sortir de sa bouche quand ma main commençait lui pincer les tétons à travers ses vêtements, après cela, fière du son qui était sorti de sa bouche grâce à mes mains, je détacha mes lèvres des siennes pour récupérer de l'air en le fixant dans les yeux mais je ne tenue pas longtemps car je replongea rapidement sur ses lèvres, quand l'air m'étais revenue pour un baiser long, langoureux et sensuelle.
Pendant qu'on continuait à s'échanger des baisers, je sentis une petite bosse qui commencait à se former contre mon entrejambe.
Je ne tenais plus, je le voulais tout entier, dans cette forêt, pour seuls témoins de notre amour les arbres, les lucioles, la Lune et les petites bestioles de la forêt. Je commençais à entendre des grognements quand j'entrepris à me frotter contre lui pour le rendre dur.
Une fois bien excité, je remarqua seulement maintenant que la bosse de tout à l'heure n'était rien comparé à celle que j'ai actuellement sous mes fesses et contre mon entrejambe.
Ce fut après une lutte infernal contre moi-même, que je détacha mes lèvres des siennes et lança :