Dear Lexa

Chapitre 14: Une fin heureuse ?

PDV Lexa:

Après ma visite chez Clarke, je suis rentrée dans ma demeure familiale et j'ai regardé les armes de mon père. J'essayais d'y comprendre son obsession en les observant dans les moindres détails. Je ne leur trouvais rien de bien spécial. Puis une rage me vint. C'est à cause de ces fichus objets que j'ai perdu mon père et mon enfance en même temps.

Je décidai donc d'aller vendre toute cette collection, de toute façon je n'allais pas garder quelque chose qui avait fait que créer une frontière entre mon père et moi toute ma vie.

Magasin de collecteurs

Lexa:
- Je ne pense pas que vous vous rappelez de moi, mais vous vous souvenez certainement mon père, Titus Woods.

Monsieur:
- Oh oui, bien sûr que je le connais. Je ne l'ai pas vu depuis un moment ceci dit. Comment va-t-il ?

Lexa:
- Il est... décédé.

Monsieur:
- Je suis désolé. Mes sincères condoléances.

Je ne voulais pas m'attarder sur le sujet alors j'attendis quelques secondes puis reprit. Ce sujet restait sensible pour moi.

Lexa:
- Je crois que vous lui aviez proposé de lui racheter sa collection d'armes une fois n'est ce pas ?

Monsieur:
- Oh oui, plus d'une fois d'ailleurs.

Lexa:
- Juste par curiosité, combien pensez-vous qu'une collection pareil vaut ?

Monsieur:
- Ouff, une collection de cette ampleur, je ne sais pas il faudrait que je la vois.

On se dirigea alors hors de la brocante et je lui ouvrit mon coffre de voiture où était toute la collection de mon père.

Lexa:
- Écoutez je n'ai qu'une condition, c'est que je garde ce petit poignard.

Ce poignard que j'avais trouvé ce jour et que je ne le savais pas allait changer mon enfance à jamais. Ce poignard qui avait tout déclenché. Pas plus grand que ma main mais qui avait toujours cette inscription sur son manche ne une langue que je n'avais jamais réussi à déchiffrer.

Monsieur:
- Vous allez vraiment me vendre toutes ses armes ?

Lexa:
- Affirmatif Monsieur. Toutes sauf une, comme je vous l'ai annoncé.

Quelques jours plus tard de retour sur le terrain

J'étais de retour à l'armée, le poignard de mon père était constamment avec moi. Il me servait pour couper mon saucisson, couper du fromage ou plein d'autres petites choses. Je l'utilisai toute la journée en fait.
Mes journées n'avaient rien d'exceptionnel, j'avais encore gradé et j'avais désormais un grade élevé dans l'armée. Mais quelque chose me manquait. La soirée aux côtés de Clarke me revenait constamment en tête, elle m'obsédait. Je ne pouvais m'empêcher de regretter ce que j'avais fait. Mais en même temps elle était mariée, il fallait que je m'y fasse.
Un jour sans que je m'y attende quelqu'un m'amena une lettre. Je la regardais avec émerveillement et en même temps j'avais un goût amer. Cet lettre était écrite par « elle » je le sais. Je reconnaîtrai son écriture entre mille.
Malgré que j'avais envie de l'ouvrir immédiatement pour voir ce qu'elle m'avait écrit. Je me retint jusqu'au soir.