Chapitre 8

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Heyy cv?

je vous poste un assez long chapitre ce soir car demain jai mon brevet blanc donc je posterais pas avant lngtemps
je sais que je m'adresse pas souvent a vous mais vraiment merci a toutes celles qui lisent ma fiction. (j'ai du mal a imaginer des mecs sur wattpad...😂)

en tout cas dsl s'il y en a, c'était pa pr vous blesser, promis😁
sinon un vote, un commentaire sa fais tjrs plaisir!
encore mercii a tous<3
aller je ferme ma gueule pour que vous puissiez lire le Chap.

Bonne lecture!

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Encore gagné. Ces foutus jeux au dos de la boite des céréales sont trop facile. Il faut être vraiment con pour pas savoir arrivé jusqu'a la carotte du lapin à travers le labyrinthe.

Ces céréales sont dégueulasses. Mais c'est les préférés de papa donc j'en ramène toujours.
Au moment où j'étais assise sur le comptoir de la cuisine, cette boîte merdique dans la main, on sonna a la porte.

Bizarre. Qui ça pourrait être? Un dimanche en plus.

Je suis donc aller ouvrir la porte. Et quel ne fut ma surprise de découvrir un énorme, que dis je, un gigantesque bouquet de rose rouges enroulé dans du papier kraft.
Je fut un instant éblouit par tant de fleurs. Même si les roses ne sont pas mes fleurs préférés, il faut avouer qu'elles étaient magnifiques. Tout comme celui qui les portaient.

Grand, brun, musclé, polo gris à manche longue, col en V et Ray-Ban noir. Lucas avait beau être le plus grand des connards il fallait l'avouer; il était divinement sexy.

Je le fixa encore quelques secondes. Mais à quoi il joue lui. Pour qui il se prend? Débarquer comme ça a l'improviste chez les gens, ça ne se fait pas.
Non mais il est vraiment malade. Il me reluque de la tête aux pieds en plus.

"Ok. J'ai deux questions pour toi l'idiot; un: pourquoi t'es là? Deux: qu'est ce que t'as me dévisager comme ça?" Dis je le plus calmement possible, même si au font je bouillais littéralement.

Cet imbécile est la dernière personne sur terre que j'ai envi de voir. Après le coup d'hier, je souhaitait secrètement qu'il m'oublie et m'ignore pour de bon. Malheureusement cette option - alléchante quoique non disponible- n'est manifestement pas au programme de la journée.

"Ok de un: je suis là pour m'excuser. Et de deux: je ne te dévisage pas, j'apprécie juste la taille de ton short et la profondeur de ton décolleté." Répondit il , un rictus moqueur scotché au visage.

Je ne me sentis pas spécialement gêné par sa remarque, c'est mon pyjamas quoi. Je ne pris même pas la peine de répondre a cet abrutis, a quoi bon? Je voulu lui claqué la porte au nez sauf qu'il me stoppa dans mon élan en bloquant la porte avec son pied.

"Mais qu'est ce que tu fais? Dégage! Personne t'as jamais appris les bonnes manières?!? Mais vas t'en! Tu comprends pas que j'ai pas ta patience?!" Hurlais je réellement hors de moi.

"Les bonnes manières? Nan, connais pas." Dit il en entrant.

Il traversa l'entrée calmement, comme s'il y avait été inviter puis disparu derrière la bai vitrée.
Encore sous le choc d'un tel culot, je resta planter prés de la porte.

Je me rendis ensuite a l'extérieur, là où il devait probablement être. En effet, celui ci étais confortablement installé sur un des nombreux fauteuil de la terrasse. Le bouquet, quand a lui était posé sur la table basse.

Ne sachant pas vraiment comment réagir, je le fixa simplement. Il appuyait sa tête contre dossier du siège, sa tête lever vers le ciel. Un peu comme s'il bronzait.

''Tu ne compte pas t'assoire?'' me demanda t-il tout naturellement.

''Si, si bien sûre. J'attendais juste que tu me le propose étant donné qu'on est chez toi. Ah mais non! On est chez MOI! Assis sur MA terrasse dans MON jardin alors que tu n'y a même pas été inviter.'' dis-je méchamment en levant un peu la voix. Ok en levant beaucoup la voix.

Mais quoi? il le mérite de toute facons. Même pas une semaine qu'il est la lui et il fous déjà le bordel partout.
Il ne me répondis que par un hochement de tête, l'air de dire 'ouais vas-y parle, d'toute façon m'en fous j'bouge pas d'la' sans même prendre la peine de tourner la tête vers moi.

Je me surpris moi même en m'asseyant sur un fauteuil. Bordel. Je devrais être entrains de le jeter dehors, mais à la place, je suis assise en face d'un parfait inconnue, dans mon jardin, a regarder le ciel, comme il le fais.

"Où est Lili?''

Au centre. Elle a un scanner important aujourd'hui. Je suis sensé la voir cet aprèm. C'est fou comme son quotidien est devenu le mien aussi. Tout ce que je fais les weekend, aux fêtes , pendants les vacances dépend presque entièrement de Lili et de sa condition. On avaient prévu de sortir voir un film ce soir mais malheureusement ça ne pourra pas se faire.

Je ne répondis pas.

''Visiblement pas la. J'aurais pourtant parier que vous étiez soeur vu la façon dont tu la traite.''

Je vais l'ignorer. Il finira bien par se lasser et s'en aller. Non? Pitié faites que oui.

''Tu lis quoi en ce moment?'' reprit il.

Mon Dieu n'allait il pas s'arrêter de parler.

''Et sinon bravo pour hier.''

Je me mis a sourire, sans toutefois lever la tête.

''Non vraiment, chapeau. Les mecs on surement vider leur glandes salivaires à force de baver.''

''Et toi, tu as bavé?''

C'est sortie tout seule. Aussitôt que ces mots franchirent le seuil de ma bouche, je me mis a les regretter amèrement.
Merde. J'aurais du la boucler. Encore une de ces fois où je parle sans reflechir. Je n'ai vraiment pas fais attention. Merde, il va croire que je me préoccupe de ce qu'il pense.

"Enfin! Tu as parler. Toi, la fille la plus froide, la plus enuyeuse, et la plus bornée qui soit, tu as parler!''

" Je t'interdit de me juger, tu ne me connais même pas! Si je suis aussi ennuyeuse que tu le pretend, pourquoi est ce que tu es chez moi en ce moment?'' crachais je, piquer au vif par ses insinuations.

Il me repondit, sans pour autant abandonner son sourire en coin ou sons stupide ton amusé;
" Je te l'ai déjà dit. Je suis la pour m'excuser a propos d'hier, on m'a dis que tu avait su pour le petit parie et pour les conneries que j'ai raconter sur toi."

Je ne répondis pas. Je m'en foutais de ses excuses. Et pas qu'un peu. De toutes façons j'ai implicitement démenti ce qu'il a inventer en me joignant a la fête d'hier. Et pour moi c'est tout ce qui comptait.
Ses insultes ne m'on pas du tout touché. Je suis plus que belle et j'ai tout les atouts qu'il faut. N'importe quelle fille m'envie, et j'en suis consciente. Ce n'est pas lui qui va me faire douter de ça.
De toute façon, je possède un ego si surdimensionnée que je ne pense même pas qu'il y est une personne sur terre capable de me faire douter de moi.
Toi et la modestie, chérie. Une longue histoire d'amour.

''Oh, et en passant.'' reprit il. ''Oui. Je bavais grave sur toi, princesse.''

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⏰ Dernière mise à jour : May 03, 2015 ⏰

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