chapitre 2

7.4K 54 3
                                    

Nathan dormait donc au dessus de moi. Étant en bas, j'étais au plus proche des chaussures de Nathan la nuit.

J'avais parfois du mal à résister à l'envie de sentir ses chaussures.
J'ai même une fois nettoyer ses semelles avec ma langue.

Le soir, avant qu'il ne monte dans son lit, je faisais attention de m'allonger, avec la visage juste sous l'échelle.
De cette façon, j'avais tout le loisir d'observer sa plante de pied, de très près.
Parfois même, il déposait son pied sur mon visage en montant ou en descendant, très certainement sans le faire exprès.

En plus, la plupart du temps, il portait des chaussettes pour dormir.
Du coup, un soir en montant l'échelle de son lit, il a poser un pied sur mon visage, puis s'est arrêté de bouger, je suis pratiquement sûr qu'il regardait son téléphone, mais j'étais juste en dessous, immobile, avec une très légère sensation de sueur sur mon visage.

Un matin, il ne voyait plus ses chaussures, que j'avais déplacé sous le lit pendant la nuit.

Lorsqu'il m'a demandé si je savais où elles étaient, je me suis agenouillé devant lui, pour les attrapés et les déposer devant lui.

Nathan : super, ça c'est utile si tu t'occupes de trouver mes chaussures le matin

Depuis, j'ai pris l'habitude de lui apporter ses chaussures tout les matins à ses pieds.

Un jour, nous discutions, lui assis sur son lit, laissant pendre ses jambes le long de l'échelle, et moi allongé dans mon lit entrain de profiter de la vue des pieds des Nathan.

Comme il ne me voyait pas, il m'a demandé si je pouvais m'asseoir sur la chaise du bureau.

J'ai donc pris la chaise et je l'ai approchée du lit.

Dans cette position, j'étais littéralement sous les pieds de Nathan, et comme je levais la tête pour lui parler, j'avais mon champ de vision presque rempli de la plante de ses pieds.

Il s'en amuser d'ailleurs, en changeant la position de ses pieds, pour me forcer à bouger la tête pour continuer à le voir.

D'ailleurs, lorsqu'il faisait son sport, ses chaussettes laissaient des traces de sueurs sur le sol, c'était magnifique à regarder.

Souvent il me demandait mon aide, déjà à la fin de sa séance, il voulait que je nettoie le sol, de sa sueur, pendant qu'il prenait sa douche.
J'étais bien sur très obéissant.

Mais aussi parfois, il me demandait de l'aider dans sa séance.
La plupart du temps, je servais de sac de frappe humain.
Ce n'était pas trop violent, mais il s'entraînait aux coups de poings et de pieds sur moi.
Une fois, il a même fini sa séance avec un coups de pied assez violent dans mes parties.

Il s'est mit à rire tout en s'excusant à moitié.

Mais bien sûr, j'étais incapable de lui en vouloir, et j'ai accepté la fois d'après où il m'a demandé ma participation.

Le coups de pied dans les parties est très rare, je ne m'en plains donc jamais.




Colocataire d'internat Où les histoires vivent. Découvrez maintenant