les compte de Roinn an talamh

chapitre 2 - naissance

Une terre Vampiriser de champignons
Un air froid et épais
Un soleil cacher par les brouillard d'une terre fumante

C'est se qu'on peut voir et constaté
Et non pas sentir !
Pour cet homme en tout cas .

Peut importe la n'est pas l'importance
On le vie sans détacher,

juste après marcher et
S'accroupir vers une fausse blanche qui descendit avant de remonter.

Éblouie par la lumière de la sortie, c'est la main devant les yeux qu'il avança .
Se n'est quand sortant qu'il compris le bruit, ou plutôt le son.

Devant son être le métal cria au bruit des coups, ceux de l'homme affaibli et d'un monstre sans pouls.
Se disputant par des élans inconnu.
L'échange dura une poussière de temps.
Ce n'est qu 'a la fin de l'échange,

Entre la mort et la vie, que la griffe de l'un dans la gorge de l'autre se Logea,

la mort satisfaite daigna à partir laissant sont adversaire sur le sol pourrir.

Notre nouveau née se rapprocha de lui.
Prennant ses gardes pour sauvegarder sa vie .

L'homme mourant tint de ses dernières forces
La main du curieux et ouvrie ça bouche comme pour aboyé, ça gorge saignante et sont corps diminué.

- toi, toi que j'ai défendu je suis beaucoup trop mort pour conter mon vécu tu ne sais encore rien. Prend mon corps.
Et quand tu connaîtras la vérité ton esprit se fondra au mien.

Le nouveau mort lacha l'homme de Pierre blanche avant de retourner au sol la gorge béante.

Que de confusion dans cette esprit que devait t'il faire et comment ?
Il se résoud à suivre les paroles du défenseur et toucha d'une main franche la tête de ce dernier.  Aspirè par la même dans ce corps mutilè
Tout lui est retirer.
Tout lui est dérobés de son propre esprit .

Avant de s'introduire au sein du corps abîmé , et soudains tout lui reviens
Tout ce qui faisait son être mais aussi tout se que le corps de son hôte lui offrit , tout ce qu'il n'avait pas lui est ainsi donner
Il toussa de stupéfaction il découvris un corps et un esprit qui n'est pas le sien

Pour découvrir une peau un toucher des poumons, il compris que l'ensemble de son nouvelle être n'étais plus tout jeune
Il la comparais en puisant dans c'est nouvelle connaissance,

à un draps jaunis par l'usure
Sans doute étais ce une comparaison assez légere mais peux importe, celle ci lui plus.