chapitre 2

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On entra dans le cartier de riche de mes grands-parents. Il y avait une cloture avec des garde où il fallait faire scanner notre carte d'identité pour pouvoir entrer. Ce cartier était isolé de la partie pauvre du Mexique, il n'y avait que des immigrants qui pouvaient habiter ici. Ça c'est la partie que je n'aime pas, ici, il n'y a pas de gens de classe moyenne, soit que tu es riche, soit que tu es pauvre et les pauvres ne vivent pas dans des conditions comme nous.
Le taxi stationna devant le "palais", qui est à partir d'aujourd'hui ma maison aussi. Il n'y a pas eu grandes discusions lors du chemin jusqu'ici, que quelques dialogues de bases comme qu'est ce que je voudrais pour souper. J'ai repondu que cela m'était égale en autant que ce n'était pas des fruits de mer. Mon grand-père avait sourit à cette remarque, il sait que je n'ai jamais aimé ceux-ci, mais ma mère me forçait toujours à en manger parce que c'était bon pour la santé, "il y a de l'Omega-3 dedans!". J'avais senti les larmes me monter aux yeux, mais je les avais retenues.
Je sorti de l'auto et la femme de ménage m'ouvrit la porte avant que j'aie le temps de l'ouvrir moi même.

Moi: Allo Doroté!
Doroté: Boujours mademoiselle McCartney.

Je lui ait donné un calin et une bise, elle est une douce femme et je sais que je peux lui faire confience n'importe quand. J'ai amenné moi même mes valisses en haut dans ma chambre. À ma grande surprise elle était différente de ma dernière visite. Il y avait un lit king au milieu et les mûres étaient de couleur bleu pâle, j'avais une télévision en face du lit, à gauche de celui-ci il y avait une immense garde-robe et à droit un balcon d'où on pouvait voir l'océan.
Les gens dormaient encore à cette heure, il n'était que 6:00AM, mais je ne veux pas être en compagnie avec personne pour le moment, alors c'est parfait pour une marche sur la plage. Je me mis en short, mais je garde ma camisole. Je suis allée rejoindre Doroté pour lui dire que je vais aller me promenner sur la plage. Doroté me regarda d'un air triste comme si elle me questionnait si tout allait bien. Je lui fit un hochement de tête et un sourire faible en guise de réponse et je sorti.
Le soleil est toujours entraint de se lever et au bord de la plage c'était encore plus beau et paisible. Je voulais me vider les pensées, mais c'était impossible, je n'ai que 16ans et mes parents sont déjà, non, je ne veux pas y penser. Je retiens mes larmes encore une fois et continuais à marcher en me conscentrant sur les bruits des vagues. C'est à ce moment là que je vis un surfeur sur les vagues. Waouh il est bon, j'aimerai être autant bonne. La dernière fois que j'ai fait du surf j'avais autour de 13ans, j'ai sûrement oublié comment en faire. Je m'approche du surfeur pour mieu le voir. Il commença à s'approcher du bord de la plage, j'ai soudainement arrêté de le regarder pour pas qu'il pense que je suis une "stalkeuse" et j'allai continuer de marcher quand j'entendi:

...: Hey!

Je me suis retournée, un peu génée. Oh mon dieu qu'il était beau, il a baissé son wetsuit jusqu'à ses hanches et avec son surf sous son bras droit il s'approcha plus vers moi. Il avait le corps parfait, un 6 pacs, un V-line tout le kit au complet! Ses cheveux bruns étaient en batail, ses yeux bleus étaient beau comme le fond de l'océan, il avait la peau faiblement bronzer et je n'oublierai pas de mentionner ses bras musculaires.

Moi: Salut.
...: Que fais-tu autant de bonheur sur la plage? Tout le monde dort à cette heure.
Moi: Je voulais me promenner toute seule pour penser. Et toi?
...: Habituellement c'est autant de bonne heure qu'il y a les meilleures vagues. Je peux t'accompagner dans ta promennade? J'habite dans la direction par ou que tu t'en vas.
Moi: Desoler, mais je... je dois retourner

Je lui fit un sourire et je changea de direction pour retourner à la maison de mes grands-parents. J'ai peut-être fait une grosse erreur et peut-être que je ne le reverai plus, mais je n'étais pas encore prête de faire une nouvelle connaissance, j'aurai peut-être commencée à pleurer sans aucune raison et j'aurai parue être une folle.

ma nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant