Le tic-tac de l'horloge aller finir par me tuer. Je savais ce qu'il allait se passer, je savais se qu'il aller faire. Comme tous les soirs, il allait renter fatigué de sa journée, énervé par son patron qui lui donnait une somme de travaille considérable. Le repas n'était pas préparé, la table pas mise, le ménage abandonné et son portefeuille qu'il chercher se matin; dans mes mains. Il serait en colère, trés en colère. Je savais pourtant qu'il pourrait arriver d'une minute à l'autre mais je restais là, ma valise faite à mes pieds et mon manteau sur le dos. J'avais peur. Que ferais une femme seul dehors? Je pourrais abandonner, enlever mes chaussures, ranger mon manteau, vider mon bagage et lui dire que j'ai trouvée son portefeuille, qu'il était simplement sous notre lit. Mais je risquerais qu'il se met en colère deux fois plus fort et qu'il me fasse regretter d'avoir manquer à mes devoirs. Bien réfléchis, je me leva, saisie ma valise, enfonça l'espèces du portefeuille en peau de veau dans ma poche et pris mes jambes à mon cou. Je dévala les marches du porche à toute vitesse! Si mon mari me voyait fuir de la sorte, si il voyait cela je pourrais dire adieux au peu de liberté qu'il me donne. Arriver dans la rue, je saisie un taxi et lui indica la gare des autobus. Le trajet me parue duré des heures! La gare se trouvait à présent devant ma vitre . Je pris le premier bus en direction de la Nouvelle-Orleans. Une de mes amie m'avait affirmé qu'il y avait de nombreux refuges pour femmes là-bas et que la fêtes ne s'arrêtait gère! Mais en montant dans mon car la peur m'envahissait de plus belle. Et si je fessais une bêtise? Et si il me retrouvai ? Serai-je suspect? Apres tout une femme seul dans un bus le soir était bien étrange. Et si les autres voyageur appelaient la police? Mon mari, Alfredo serait fou de rage! Après tout ne serait-il pas plus sage de rentrée, si je lui présente mes excuses peut-être serait-il plus clément? Quelque chose me coupa dans mes tirailles; le bus avait démarré! Si cela n'était pas un signe de Dieu, alors je ne me nomme plus Eglantine!
La nuit se passa de façon correct malgré l'effroyable peur qui me traversait mélanger à l'enthousiasme de ma fuite et la désagréable odeur de se véhicule! Nous arrivons au première arrêt avec succès! J'avais eu la sagesse de prendre plusieurs autobus afin de brouiller les pistes! J'était tous bonnement épuisés par toutes ces émotions, alors je pris la décision de trouver un motel pour y passer la nuit. Mais en attendant la nuit tombée je pourrais déposer mes affaires dans la chambre et visiter cette charmante petite ville, après tout c'était une nouvelle vie qui commençais pour moi! Je pris donc le chemins du centre où je pourrais avoir des renseignements .Je trouvas un ravissant petit magasin détenue par deux veuves absolument adorable. Elles m'indiquèrent le motel le plus proche ainsi que le plus nécessiteux. Je pris alors le chemin de celui-ci. Mais arrivé dans la baptise lugubre, une effrayante impression me vint. Mais je n'u pas le choix, c'était le seul endroit où je pouvais passer la nuit. Je me présenta au comptoir et fit teinter la sonnette. Une très veille femme boitant et borgne fit son entrée derrière le comptoir. Elle me procurais des frissons de peurs. Je lui demanda sa chambre la moins chère pour la nuit et l'ancienne me donna la clé de celle-ci.Je monta à l'étage, les escaliers craquait sous mon poids et la rambarde me collait au doigt, l'entièreté du bâtiment était poussiéreux que dis-je crasseux! Je n'arrivais pas à croire qu'il y ait des chambres plus chère que la mienne dans un motel pareil! Je me trouvais enfin devant la porte de ma chambre et l'ouvrit. Cette chambre n'était pas fameuse mais c'était mieux que de dormir sous les ponts ou même d'être chez moi au près de Alfredo. Je posa mes affaires sans même prendre la peine de défaire ma valise et quitta, tout en verrouillant la porte, la piece puis le couloir et enfin l'affreux bâtiment.
La visite de la ville m'avait donner une réelle sensation de liberté, cela n'avait pas de prix! Mais malheureusement la nuit commençais à tomber, signe qu'il était pour moi temps de rentré là où je logeais simplement pour une nuit. Une fois retourner dans ma chambre, j'ôta mes vêtements afin de me changer hélas je vis le reflet de mon corp dénudée dans le miroir, cela me raviva de mauvais souvenirs. Mon corp était couvert d'hématomes et de cicatrices, mais je ne voulais plus y penser maintenant j'étais libre! Je me fis sortir de mes pensées par quelqu'un qui toquait à ma porte, je finis de me vêtir , ouvris la porte et tombas en face de la vielle femme de l'accueille. Elle m'affirma qu'une femme était au téléphone à la réception pour moi. S'était sûrement mon amie qui avait appris la nouvelle de ma disparition. Folle de joie je descendis l'étage et saisie le téléphone, j'étais sur qu'elle ne m'avait pas trahis, j'avais tellement confiance en elle, elle m'avait aidée à tout planifier, elle était mon amie la plus chère. Mais mon aillant de joie fut brutalement couper par ses pleurs à l'autre bout du fil. Elle marmonnait des excuses, m'expliquant qu'elle n'avait pas eu le choix et également qu'elle n'avait pas pu me prévenir plus tôt. Elle n'u pas besoins d'en dire plus, j'avais compris, Alfredo allait arriver d'une minutes à l'autre. Je me laissa tomber à genoux sur le carrelage de la reception du motel piteux dans lequel je séjournait. J'étais effondrait par cette nouvelle, je m'avais donner tant de mal. Comment était-it possible que Dieu me déteste tant. Mais peut être avais-je encore le temps! Je remonta dans ma chambre me préparer à se que je devait faire.
Un homme de grand taille arriva dans le petit motel miteux ,d'une petite ville tout-à-fait charmante, dont deux gentilles veuves lui avait indiquer le chemin. L'homme à la carrure impressionnante c'était addréser à la veuille femme borne qui se trouvait au comptoir de la reception du motel. Lui demandant de façon autoritaire si une jeune femme ,d'environ 28 ans, les cheveux bruns et les yeux vert émeraudes, séjournait dans l'une des chambres et si c'était le cas, quel était le numéro de sa chambre? La veuille ne voulant s'attirer les foudres de l'homme, lui donna les réponses à ses questions. L'homme monta alors en direction de la chambre et une fois arriver devant la porte, frappa violemment celle-ci, tout en hurlant des atrocité à celle qui était sa femme. Après plusieurs minutes de violences extrême, tant dans les paroles que les gestes, la porte finit par faiblir et s'ouvrit, offrant à l'homme une vision nette de sa femme balançant de gauche à droite, pendu par un drap blanc.
Dorénavant, Eglantine était libre.