Cette sentation

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pov Lucas:

Je m'était enfin dit que ça allais aller mieux. Pour la première journée depuis des mois et des mois j'avais participer a une soirée. Ça fait si longtemps que j'attend de me sentir mieux, sans succès. Pourtant y'a rien. Je me sens toujours aussi vide putain. Il me manques encore se petit quelques chose qui pourrait illuminer mes journée, qui pourrait enfin me sortir de se calvaire. Je l'attend, depuis bien trop longtemps déja. 

Je croyait enfin l'avoir trouver, ma lueur d'espoir. Mais j'avais tord, j'ai toujours eu tord. Baptiste ne voulais pas m'aider a sortir de mon enfer, il voulait simplement vivre ça vie d'adulte de bientôt 32 ans. Il voulait tout arrêter, il voulait que mon monde s'effondre et arrête de tourner. 

Je regarda l'heure, 14h30. Putain, ça fait une semaine depuis la soirée que je me suis enfermer sans sortir de chez moi. Natsu me fessais chier depuis une demi heure au moins pour que je le sorte. Je décida donc d'y aller. Je me prépara, enfila un coton avec mes écouteurs dans les oreilles, prépara Natsu et parti dehors. Par le plus grand des hasard, malgré le soleil tapant et le merveilleux temps de cette journée, peu de personne avaient choisi de sortir. En temps que telle, on va bien se l'avouer, j'était bien content qu'il y est personne. Je ne voulait pas me faire reconnaitre. 

Je sais bien que je suis "chanceux" d'avoir autant d'abonnés et que c'est une "chance" unique mais bon, ça ma ruiner la vie. La célébrité m'a complètement détruit. Ma famille m'a rejeter, mes amis m'ont critiquer, les gens que je rencontres me veulent que pour mon argent ou ma célébrité. J'en ai marre. Je ne peu même pas me plaindre car j'ai de la chance. Ouais, de la chance. 

J'ai marcher une heure puis est rentrer chez moi. C'est a se moment que je reçu un appel, pas de n'importe qui, non, de lui. Je ne rêvais pas, locklear m'appelais. 

L: Ouais y'a quoi?

B: Euh bah je voulais prendre des nouvelles de toi. Ça va pas? Ta pas l'air bien.

L: Bah non bien sur que nan ça va pas. PUTAIN TU FAIS CHIER.

J'avais envie d'hurler, hurler si fort. Mais je n'y fit rien. Je ne pouvais pas lui dire que j'avais développer des sentiments pour lui. Il ne m'aime pas. 

B: On doit parler. J'arrive chez toi, attend moi.

Il me raccrocha au nez avant que je ne puisse le contredire. Putain, je n'ai pas l'envie de le voir. De voir personne enfaite. 15 minutes plus tard, j'entendis sonner. Non, il c'est vraiment pointer chez moi. 

pov Baptiste:

Je cogna chez lui. Quelques secondes plus tard, il m'ouvrit. Se que je vit me choqua. Je découvrit un autre Lucas la devant moi, pas celui que je connais, non, loin de la. Il avait les yeux rouge, si rouge qu'on aurait dit qu'ils allaient exploser. Il tenait un joint de ses doigts, de ses doigts si abimer qu'on aurait dit qu'il était tout rouiller. La devant moi, se trouvais quelqu'un qui, malheureusement, m'était complètement inconnu. 

L: Vas tu continuer a me mater longtemps?

B: Nan nan c'est bon.

Je le suivis jusqu'à son salon ou il me proposa, a moi aussi, un joint. Je ne sais pas pourquoi, surement pour essayer de le comprendre, mais j'accepta. J'en pris un coup et m'étouffa comme un vrai débutant. S'en était presque ridicule. Il me regarda et explosa de rire. Au moins j'ai réussi a le faire sourire. 

L: Bon tu voulais me parler de quoi?

Ma gorge se serra. 

B: Bah tu sais la, je voulais parler de se qui c'est passer a la soirée. 

Ma gorge devenait de plus en plus sèche. Je ne savais pas comment m'exprimer.

B: Enfaite j-

L: Écoute, je te coupe tout de suite. Je sais que tu veux tout arrêter, c'est ton choix mais sache que moi, moi et bah je veux pas.

Wow. Je suis bouche ber. Je ne sais pas quoi dire. Tout mes idées qui étaient claire jusqu'à présent se sont mélanger dans mon esprit, tout comme mes sentiments. Que voulais je honnêtement? Je n'en sais rien. 

Il me regarda, d'un regard si doux, si désirant, si sexy. Son regard si intense brulais le mien. Il me transperçait littéralement. 

B: J- je crois qu-

Je me fit couper par une nouvelle sensation. Une sensation a la fois douce et sauvage, a la fois magnifique et toxique. 

pov Lucas:

J'en avais besoin, de cette chaleur. C'est sa qu'il me fallait depuis toujours. Cette sensation pouvait me sauver. Elle pouvais reconstruire mon monde. Cette sensation me donnait envie de tout faire pour Baptiste. Je serais près a me lever tout les matin, a sortir, a travailler, a tout faire pour cette sensation de bien être. Il retira enfin ses lèvres de miens. Les milliers de papillons qui s'étaient loger dans le creux de mon ventre se sont envoler au même moment. C'était magique. Tout avec lui l'était. 

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J'espère que se chapitre vous a plus, désoler, il est un peu court. J'essayerais décrire un peu plus la prochaine fois.

 Encore merci pour tout vos retour positif ça me touche vraiment. 

855 mots


You and Me... LockzieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant