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Moi : Je vous ai posé une question...qui êtes vous ?

Elle semble assez effrayé

Elle : Je... je..su... , bafouille t'elle

Moi : Vous...vous ? répétais-je d'un air moqueur. Si ça continue comme ça on va y passer la journée. Je vous ai simplement demandé votre identité.

Elle inspire un moment

Elle : Je suis votre nouvelle assistante ! m'informe t'elle simplement

Moi : Comment ça nouvelle assistante ? Où est Mélodie ? demandais-je surpris

Elle : Mélodie ?! Ça fait maintenant deux semaines qu'elle est en congé maladifs. Ça fait une semaine que je la remplace.

Moi : D'accord... maintenant nous allons mettre deux ou trois petites choses au point. dis-je en m'installant dans mon fauteuil.

Elle me regarde pétrifié. Ce qui me fait sourire. Si elle est nouvelle les ‹‹ on dit ›› on dû lui parler de moi. Lire la peur dans ces yeux me procure un plaisir intense.

Moi : Tout aborde expliqué moi pourquoi il a un autre bureau dans cette salle.

Elle : Je l'ignore monsieur...

Moi : Vous l'ignorer, intéressant... vous allez aussi me dire que vous ignorez qui partage le même bureau moi.

Elle : Je...

Elle allait parler mais je lui coupe la parole

Moi : Je n'ai pas fini. J'exige de MES EMPLOYÉS d'être compétant. D'être mes yeux et mes oreilles dans cette entreprise.

Elle : Je suis désolée monsieur cela ne se reproduira plus. me dire t'elle sur d'elle

Moi : Vous aviez raison cela ne se reproduira plus.

Elle : Monsieur je ne vous suis plus.

Moi : Ne vous inquiéter pas vous allez mieux faire que me suivre... vous allez me devancé. Dis-je avec un sourire narquois

Elle me regarde avec un air anxieuse

Moi : Dites-moi quelle est votre nom ?

Elle : Déborah !

Moi : Eh bien Déborah rendez vous au ressources humaines pour prendre vos indemnités

Elle : Cela veux dire que je...

Moi : Vous êtes viré ! crachais-je sèchement

Elle éclate en sanglots

Elle : Smiff... Monsieur vous pouvez...

Moi : Si je peux... Allé vous devez garder vos larmes pour les funérailles d'un parents. Et puis vous devez même me remercier je vous épargne des nuits d'insomnie et des crises d'angoisse...et avant de partir dite leurs de m'appeler Mélodie et de lui dire que ses petits congés son terminé. Je suis sûr qu'à l'annonce de mon retour elle se sentira très vite mieux

Déborah : Ce que... j'essaie de vous dire c'est que vous ne pouvez pas me renvoyer

Je reste perplexe face à cette aveu, comment ça je peux pas la virée

Moi : Et pourquoi cela ?

... Pour la simple raison qu'elle n'est pas votre employé.

À suivre...

😱😱😱😱😱 Je viens de me rendre compte que ce chapitre est très court. Je suis vraiment désolée je me rattraperai dans les prochaines chapitre ☺️☺️☺️☺️

Tchuss 😘😘😘

L'ironie : Quand La Roue TourneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant