Désordre,
Sol articulé,
Seule à remettre en ordre,
Mes pensées.
Bouche coupé,
Le ciel dégouline sur mes mains,
Maintenant,
Ça n'a pas de cense.
Voix entrecoupé,
D'idée,
J'ai du mal à intercepté ses mots,
C'est notes,
Qui ressemble à des partitions qui part à la dérive,
Suis-je trop pensive,J'aimerais me dire,
Qu'il suffirait de suivre,
Cette musique en plein délire,
Fermé les yeux,
Laisser les cieux se vider,
De sont sang bleue,
Puis se réveiller,
Et voir le ciel sans couleur,
La vie n'a pas de saveur,
Quel jolie douleur,Dansons accroché à nos masques,
Loin de nos ravages,
Dansons le sourire vide,
Qui se propage,
Porté sur nos mensonges idylliques,
Il n'est pas merveilleux paradis,
Que c'est hêtres odieux et pathétique,
Pleurer seul la nuit.Veut tu fuir,
Pour rester ici,
A joué dans le vide.
Avec se faux sourire,
Tout est possible,
Pour ne pas finir,
Les yeux humides la nuit.
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Errance étoilée
PoetryJe traînait dans la nuit sans fin, Des insomnies sans lendemain, Cherchant mon chemin, Dans l'obscurité de mon errance étoilée.