Phase 6.

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Tu es dans ta chambre, la porte vérouillée. Assis sur ton lit, tu regardes ton coffre à crayons sur ton bureau.

Étant petit, tu ne comprenais pas pourquoi les gens se faisaient du mal physiquement, mais maintenant, tu ne tarderas pas à le comprendre.

Tu ouvres donc ton coffre à crayons, y sort le taille crayon et essaie tant bien que mal d'y extraire la lame. Tu n'aurais jamais cru en arriver jusque là.

La lame entre tes doigt, versant des larmes sur ton visage dû à ta douleur mentale et à ton horrible journée, tu la glisses doucement sur ton avant bras.

Du rouge apparaît. Mais tu ne t'en soucie pas. Tu es immédiatement soulagé. Tu recommences. Ça chauffe un peu, mais au moins ça abrége tes souffrances. Du moins, c'est ce que tu penses.

Et puis, ça en devient une drogue. Impossible de s'arrêter. Chaque soirs, tu sors de ça cachette le petit objet métallique et éguisée. Tu remarques vite que sur l'avant bras, ça peut se voir facilement, alors, tu décide d'opter pour les cuisses.

C'est comme une compétition à savoir qui se coupera le plus et surtout le plus profond. Un moment, tu y va trop fort et au lieu d'y voir du rouge, tu y vois du blanc.

À se moment, tu es très proche du plus bas. Ce qui nous amène à la dernière phase. La phase 7.

Bonjour, c'est moi, la dépressionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant