Over Again

Chapitre cinq

POV d'Amy

(Ellipse de quatre jours)

Ma tournée était officiellement finie et je remontai sur la capitale après avoir passé deux jours chez mes parents avec mon frère Tate et Harry, qui avait insisté pour venir. Voir ma famille a était une bouffé d'air frais, les chamailleries avec mon grand frère m'avait manqué. Les discussions sans queue ni tête avec mes parents m'avait maqué. Et voir Harry rigoler avec mes parents, et faire des concours de plus en plus débile avec mon grand frère était juste à mourir de rire. Tate m'avait promis qu'il passerait me voir à Londres de temps en temps puis mes parents m'ont dit qu'au moindre problème ils débarqueraient pour venir me voir. Ce sont juste des paroles mais elles représentent tout l'amour que mes proches me portent et c'est assez bon de se sentir aimer.

Dormir m'avait manquée aussi, en quatre jours j'ai pu rattraper au moins quatre mois de sommeil, et ça c'est juste le pied. Pas de réveil aux aurores, pas d'interview qui finisse à pas d'heure, pas de Gala ennuyant et interminable, juste mon lit et moi.

Maintenant c'est l'heure du retour à la réalité. Certes moins douloureuse que celle des tournées mais douloureuse un peu quand même.

-Encore deux tours Mademoiselle Roth, Cria Meyers.

-Pourquoi je cours au faite et arrêtez de m'appeler Mademoiselle Roth, râlais-je.

Il faisait vingt-cinq degrés au moins et j'étais sur un stade de Basketball dehors dans une partie assez excentré de la ville. J'en étais à mon sixième tour et je ne voyais toujours pas l'intérêt de courir autant.

-Au début de votre carrière vous m'avez demandé de vous faire faire du sport au moins une fois par semaine et vous avez précisé du basket si possible, commença Meyers, puis vous avez dit que si vous me demandiez d'arrêter je devais refuser, donc courrez et c'est tout.

-Vous savez, dis-je essoufflé en finissant mon dernier tour. Je disais beaucoup de bêtise avant, on est pas obligé de faire tous ce que je dis...Puis courir c'est pas du basket.

-Tenez, hurla-t-il en me lançant un ballon, maintenant vous me faîtes dix lancés franc, si vous en rater un, vous courrez.

- Qu'est-ce que vous êtes dur !

Je soufflai un bon coup et commença mes lancés francs, un puis deux puis trois. Mon frère Tate passait son temps à jouer au basket avec moi dans le jardin de mes parents, donc je me débrouillais assez bien. Mais un rayon de soleil mal placé et je ratai mon septième lancé.

-Courrez, hurla Meyers.

-Je vous propose autre chose.

-Je vous écoute, me dit-il avec un petit sourire.

-On fait un 'Un contre un' en dix points, si je gagne je ne cours pas, si vous gagnez je cours le double de ce que vous aviez prévu.

Meyers leva un sourcil, étonné par ma requête sans doute. Puis il me lança un petit 'D'accord' et la partie commença. Meyers se défendait bien, même très bien mais j'arrivais à tenir la distance. Les points étaient serrés, à ce stade de la partie on ne pouvait pas dire qui allait gagner. Au moment où nous jouons le point décisif, Je vis une silhouette approchait au loin. Une silhouette assurée, qui en fait était suivi par une autre silhouette, une féminine.

Meyers profita de mon moment d'inattention pour me prendre le ballon est pour aller mettre un dunk venue de nulle part.

-J'ai gagné ! Hurla-t-il.

C'est la première fois que j'entendais Meyers hurler de joie, c'est assez surprenant et marrant à la fois. Le couple était maintenant au bord du terrain, c'était Zayn accompagné de sa copine, Perrie je suppose.