Anissa - Vais-je être heureuse un jour ?

Partie 52.

Anissa

Raïssen - mais va demander à Dinh il sais mieux que moi !

Amira - mais il est occupé j'te dis ! Stp Raïssen aide moi.

Raïssen - il souffle je suis occupé moi aussi, va voir ailleurs.

Amira - mais t'es trop méchant ! Tu fais rien du tout en plus t'es juste poser sur ton tel !!

Raïssen - oh j'vais lui faire bouffer le sol !

Amira - t'es trop vulgaire je te déteste !

Raïssen - ouais ok, merci.

Elle monte à l'étage, sûrement pour aller voir Dinh. Je regarde Raïssen et le dévisage.

Raïssen - me regarde pas comme ça toi.

Moi - la ferme.

Raïssen - non j'me la ferme pas.

Moi - tes qu'un gros connard hein, elle te demande juste de l'aide et toi tu fais l'énerver !

Raïssen - j'ai pas envie !! J'avais pas envie de l'aider tu croit tu va me forcer ?!

Moi - ouais bah t'es qu'un gros connard c'est bien ce que je disais !

Raïssen - eh bah j'en ai rien à faire tu comprend !

Moi - espèce de bouffon !

Je monte à l'étage et ne l'écoute plus râler je traverse le couloir pour aller dans ma chambre et la porte du bureau de Dinh était ouverte je jette un coup d'œil et je le vois aider Amira.

Il était tellement concentrer je pouvais pas m'empêcher de sourire. Et avec son petit chignon en arrière il était vraiment trop beau.

Il lève ses yeux vers moi et je cours dans ma chambre je ferme la porte derrière moi et pose ma main sur ma poitrine. Nan mais Anissa ça va pas ?!

Je souffle et m'allonge en étoile sur mon lit. J'arrivais à entendre leur discussion de la où j'étais.

Dinh - vasy lis bien ça je reviens, assis toi sur ma chaise si tu veux.

Amira - merci Dinh !!

Sa porte s'ouvre puis se referme j'entends des pas s'approcher et puis sa toc. Alors la panique total ! Je me suis enroulé sous ma couette et j'ai cacher mon visage. Puis la porte s'ouvre lentement.

Dinh - tu va me faire croire que tu dors la ?

Moi - non..

Dinh - pourquoi tu te cache ?

Moi - je me cache pas, je veux dormir.

Il s'assoie sur mon lit et me regarde alors je le regarde aussi et..on se lache plus des yeux. Je me sentait pas bien la, pas du tout du tout.

Dinh - ça va, j'ai de beau yeux ?

Moi - non.

Dinh - pourquoi tu mens.