j'étais toujours sur les réseaux sociaux quand votre pote entre dans la chambre
lui : cc
moi : cv (sec)
lui : comment tu te sens
moi : ça ne te regarde pas
lui : pourquoi tu ne veux pas la paix toi
moi : la paix c'est quand on ferme la guerre
lui : bordel de merde , tu vois pas j'essaye d'enterrer les haches de guerre mais je vois que ce n'est pas ce que tu veux mais je vais te rejoindre dans ton jeu ne t'enfais pas , putain tu menerve de ouf
moi : le vent le vent ( en sortant de la chambre )
je vais au salon je trouve ma belle mère et dija assisent entrain de discuter elles regardaient une emission en wolof jr viens prens la commande et change de chaine
les deux : c'est quoi ça
je ne les réponds pas
elles criés sur moi je ne les écoutait mm pas quand elles ont fini je remets leurs émission
moi : je ne vois pas pourquoi vous vous acharner comme ça je regarder seulement si la villa des coeur brisée est fini ou pas
pile au moment ou je termine ma phrase mon beau père entre dans la maison il crié mon nom et celui de doudou je marche lentement comme si ça ne me fais ni chaud mais au fond jai peur
lui : C'EST QUOI CETTE PHOTO QUI A PUBLIER
doudou : MAIS POURQUOI TU CRIS JE SAIS BIEN LE FAIRE AUSSI
lui : REPONDS MON QUESTION D'ABORD
doudou : et si je te disais que je m'en fous
puis bimm! ensuite bim! puis ! enfin bimm!
il se sont giflés tour à tour je ne comprends plus Comment peut il frapper sont propre père
mon beau père : et toi fatima cest toi ou bien
moi : et pourquoi tu te fache pour un simple photo publié , décidement cette famille est vraiment bizarre
Après mes mots je monte me coucher quelques temps après je sens doudou se glisser lentement sous la couverture il n'a pas froid au yeux lui je voulais lui crier dessus mais je me sentais bien comme ça
Le lendemain je me reveil le matin à 6 h je me lve me maquille et m'habille comme ça
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j'ai fais le mm coiffure je suis déscendi j'ai pris mon petit déjeuner et je suis rester au salon jusqu'à 10h Quelques minute après doudou est déscendu habillé d'un patalon jean avec
lui : salut
moi : salut
lui : cv
moi : bien et toi
lui : cool
il se dirige vers le table à manger et commence à faire son café
lui : t'es de bonne humeur hein
moi : je le suis toujours mais dés fois je n'arrive pas à comprendre votre famille surtout toi
lui : là je suis d'accords avec toi
moi : t'as pas de boulot today
lui : si si mais ce soir
moi : ok en passant y'a une amie elle dit qu'elle vient passer la journée chez nous aujourd'hui
lui : mounas
moi : non je l'ai rencontré le jour ma ,,,,,,,,,
lui : ok et tu dis qu'elle est ton amie
moi: oui y'a un blème
lui : genre mm pas un an tu fais facilement confiance au gens toi sauf à moi bien sur à ce que je vois
moi : pufff tu ne merite pas maconfiance tu sais
lui : tu puff qui la
moi : toi qu'est ce que tu peux y faire hein
lui : tu verra bien
il se mit debout devant moi il s'approcher grave de moi si je vous dit que je respirais je ment il m'attrapa par la taille et me serre contre lui et deviner quoi les cristaux (fer ) bijoux sénégalaise mariées que les femme mettent autours de leurs taille sous leurs habits bougeairent (c'est aicha qui m'a dit que je devais toujours les porter) il emet un petit sourire pervert il dessiner les contours de mon visage avec son index je fermer instectivement mes yeux me laissant aller
: vous n'avez pas honte de vous donner un tel spectacle
on se detacha rapidement avant de voir ta penda avec sa satanné de fille entré dans la demaure dicidemment elles viennent rendre visite sans prévenir . je me remis à ma place et prends ma tasse de café doudou lui préféra d'aller les saluer il s'assit et moi aussi je les rejoint . la fille je ne connais toujours pas son nom . je m'assis à coté de doudou . quelques instant après aminata venir avec son enfant . je me suis levée pour les acceuillir mais quand ses yeux se sont croisés avec ceux de doudou ....................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
