Os BAKUDEKU ET KIRIKAMI
- Maintenant vous vous démerdez tous seuls. Voilà votre punition.
- Mais M. Aizawa ! Tenta Denki.Leur prof leva une main en l'air, en gage d'au revoir, avant de sortir de leur internat. Les laissant seuls et sans aides face à trois enfants âgés d'à peine deux ans.
-Tch... Qu'il crève en enfer. Je ne m'occupe pas de ces trois-là et encore moins avec toi. Dit Bakugo en prenant le même exemple que son aîné plus tôt. Mais quand il tenta d'ouvrir la porte, celle-ci resta fermement collée à sa jumelle. Il tenta une nouvelle fois, tirant de toutes ses forces, les deux pieds sur la seule sortie, mais en vain. Il se tourna vers son ami à l'alter d'électricité et souffla de résignation quand il vit un petit garçon aux cheveux verts courir vers lui tout sourire.
Maudit Nerd et son sourire d'ange, pensa le garçon.
-On fait comment du coup ? Demanda Kaminari. Je n'ai pas de petit frère et je me vois mal endosser ce rôle pour eux et encore moins pour Kirishima. Dit-il tout bas en pointant Eijiro, assis par terre en train de taper dans ses mains alors que Shoto s'accrocha difficilement à la table basse pour tenir debout.
-Appelle ta vieille, elle saura sûrement comment faire, elle. Tenta Bakugo alors que Izuku tenait sa jambe fermement, tel un petit koala, de peur que son ami le laisse seul.
Tch, on est dans une merde noire !Le blond regarda son « ami » téléphoner à sa mère pour lui demander des conseils sur comment prendre soin des petits bambins. Pendant ce temps, un petit garçon tomba lourdement sur les fesses mais ne se découragea pas pour tenter sa monté sur le canapé. Alors qu'il retomba à nouveau, son ami aux cheveux rouge vif lui sourit et se mit à quatre pattes près du meuble pour servir de marchepied. Le bicolore agrandi ses yeux et regarda rapidement les deux « adultes » avant de poser son genou droit sur le dos d'Eijiro, puis ensuite le deuxième pour enfin se mettre debout et d'enjamber le canapé.
-AHHH ! Non ! Todoroki, ne monte pas sur Kirishima, tu pourrais lui faire mal... Mais putain Bakugo tu ne peux pas les surveiller deux secondes !
-TA GUEULE ! JE NE SUIS PAS UNE PUTAIN DE BABY-SITTER ! Cri alors Bakugo alors qu'il marchait quand même vers Eijiro pour vérifier qu'il n'avait rien, sans bien que mal étant donné que Deku se trouve toujours sur sa jambe. RAPPEL-MOI POURQUOI ON EST DANS CETTE PUTAIN DE SITUATION ? -CAR TOI ET MIDORIYA, VOUS ÊTES DES TÊTES DE MULES QUI N'ECOUTENT ABSOLUMENT PAS CE QU'ON LEUR DEMANDE ! Cria à son tour Kaminari, déjà fatigué de la situation.Mais sous les cris, Izuku eut peur et se mit à pleurer en lâchant enfin son ami.
-PUTAIN TU L'AS FAIT CHIALER ! COMME SI ON AVAIT BESOIN DE ÇA !
-Arrête de crier, peut-être que ça aidera, dit Denki tout bas, attendant que sa mère le rappelle pour plus d'infos.Il reçut un regard noir de la part de Bakugo, qui avait bien évidemment entendu, alors que ce dernier tenta une approche auprès d'Izuku, pour le moins tendre. Enfin c'est ce qu'il croyait.
-Bon, Deku. Arrête de chialer. Ok. Regarde... il chercha quelque chose dans les environs et tomba sur la télécommande. Tu veux la télécommande ? Je te laisse toucher à tous les boutons si tu arrêtes de chialer, dit-il tout en lui tendant l'objet.
Izuku le regarda un instant, avec ses grands yeux verts pleins de larmes avant de se lever et de se jeter dans les bras de son Katchan, voulant un câlin comme signe de réconfort. Bakugo resta interdit, les bras en l'air ne sachant pas quoi faire et regarda paniquer les deux autres morveux qui les observaient attentivement, assis confortablement sur le canapé.
-Sinanimé ! Dit Kirishima en pointant le téléviseur alors que Bakugo était toujours accroupis au sol, les bras en l'air de peur de toucher le jeune Izuku, comme s'il était quelque chose de mauvais pour lui.
-Comment t'es monté, toi d'abord ? Demanda-t-il au gamin rouquin en se reprenant enfin et de poser une main qui se voulait réconfortante sur la tête de Deku. Double face, c'est toi qui l'as aidé ?
VOUS LISEZ
A NOUVEAU ENFANT
FanfictionEt si nos héros avaient, encore une fois, été au mauvais endroit au mauvais moment. Mais que leurs consciences leur avaient crié, une fois encore, de désobéir aux consignes données par leur professeur. Et si, une nouvelle fois, tout leur péta à la...