Les jours heureux ne sont plus loin
Quelques nuages étouffent mon cœur
Empoisonné comme prémices de ma faim
L'homme parfait est une belle erreur
Dans les entrailles de mes intentions
J'ai pu y noyer parfois mon attentions
Et trop souvent toutes mes ambitions
Face au firmament de ces lésions
Rien ne coule d'en haut
Un parfait équilibre qui me brûle
Peut-être que tout cela est faux
Un déni vaut bien l'excuse pour que je hurle
Des torrents colorer de vide
Porteur de songes sans noms
Combien ne seront jamais livrés
Et ne resterons qu'un mutique non
J'arrache aux journées leurs promesses
Pour mieux éclairer mes aises
Arpenter les forêts de bétons
D'ou viennent ces si terribles tons
D'autres chantent pour quelques pièces
Il y' a une beauté qui lacère
Dans les paroles auquel j'acquiesce
Elles m' agrippent quand elles doivent se taire
Qui sont les courageux qui crieront
Personne dans la foule
Seul les fous savent pourquoi ils pleureront
Quand le monde s'engouffre dans son moule
Oh oui la symbolique
Ne doit pas mourir ici
Pas au pieds de leurs musiques
La même qui du monde le ni
