Hochelaga

26 0 0
                                    

Je marche dans les rues d'Hochelaga à la recherche de mon nouveau jouet qui je l'espère sera plus résistant. L'autre cave n'a pas survécu pourtant, je ne lui avais seulement coupé une jambe. Mais en même temps qu'elle idée j'ai eu de prendre une femme comme jouet ! Elles sont tellement faibles, je n'ai même pas pris de plaisir à la torturer !

Je m'adosse à un mur et regarde les passant passer en espérant tomber sur le gars qui pourrait être plus résistant que la salope d'hier. Au loin, un homme attire mon attention. Il est musclé ce qui veut dire qu'il est résistant. Un sourire né sur mes lèvres en imaginant toute les tortures que je vais lui faire.
Mmh... Je pourrais commencer à lui couper les doigts puis j'enchaînerais avec de violents cous d'électricité pendant que lui hurle de douleur.Je presse le pas pour essayer de le rattraper tout en touchant ma seringue où il y a du tranquillisant. Cela doit faire 10 bonnes minutes que je le suis discrètement. Il finit par passer dans une ruelle où il n'y a personne. C'est le meilleur moment de le choper. Je fais un pas en avant, mais suis stopper par quelqu'un qui tient la manche de mon pull. Je regarde mon jouet partir avec déception. J'aurais pu tellement m'amuser avec...

Je me retourne et vois une sublime créature. Elle est magnifique. Elle a de longs cheveux blonds s'arrêtent au creux de ses reins, ses yeux sont d'un vert hypnotisant qui laisse transparaître toutes ses émotions, de jolies lèvres légèrement pulpeuses et un nez en trompette, Calîne qu'elle est belle en maudit. Par contre elle a une poitrine casi inexistante mais bizarrement je trouve ça mignon sur elle. Elle a de belle hanche bien marquée. Même si je ne peux pas le voir je me doute qu'elle doit avoir un cul bien bombé.

-Je suis désolé de vous avoir dérangé, mais je me demandais si vous pouvez m'indiquer où se trouve le Restaurant Miami Déli, s'il vous plait ?

Me dit-elle mais Putain sa voix ! Elle a une voix tellement douce et apaisante. Tabarnak ! Faut que je me calme sinon je vais avoir la gaule et j'la baiserais là tout de suite. Mais je me retiens, pas par le fait que je me retrouve à poil non, mais bizarrement, je veux être le seul à la regarder, à la voir nue. Osti de crisse mec qu'est qui t'arrive ? On dirait un ado en manque de testostérone !

-Ouais, tu prends à droite et après, c'est tout droit. Lui dis-je en la regardant droit dans les yeux.

-Merci.

Elle m'adresse un sourire qui fait ressortir ces magnifiques fossettes puis elle prend le chemin que je lui ai indiqué. Je baisse mon regard. Oh, j'avais raison, elle a un de ces cul bien bombé. Dès qu'elle est un peu plus éloignée de moi, je me mets à la suivre tout en regardant ces moindres faits et geste.

Arrivée au resto, elle se dirige vers une fille de son âge. Elles se font un câlin et s'installe à la table de son amie. Je m'assois à une table. De là où je suis, je peux entendre leur conversation sans qu'elle me voie

-Tu t'étais perdue, Maïra?

Maïra ? Tu t'appelles donc Maïra... Très joli prénom Maïra tout comme toi.

-Ouais... répond-elle gênée-

Je suis désolée Maïra j'avais oublié que tu étais arrivé ici il y a 1 semaine. J'aurais dû au moins venir te chercher.

Certainement pas ! Si elle était venue la chercher je n'aurais pas pu la rencontrer ! Et d'ailleurs éloigne toi d'elle, tu es crissément trop proche à mon gout !

- Non ce n'était pas la peine Julie. La preuve, je suis là !

Un serveur leur apporte leur chocolat chaud qu'elles avaient commandées un peu plus tôt puis elles commencent, à parler de tout et de rien. Moi, je suis toujours là à la regarder. Elle est vraiment jolie. Je prends mon téléphone et appuie sur la touche appareille photo pour en prendre une d'elle. Magnifique.

C'est au bout de 1 heure qu'elles se disent au revoir pour rentrer chez elles. Bien évidemment, je prends le même chemin que Maïra. Je veux savoir où elle habite, si elle vie avec ses parents ou au contraire si elle vie seule. J'ai soif de tout ce qui la concerne.

30 minutes plus tard, nous arrivons dans un quartier riche. Je vois que tu as les moyens ma petite Maïra. Elle s'arrète devant un grand Condo. Deux personnes qui doivent avoir la quarantaine sortent du Condo qu'elle regarde.

- Papa maman, vous allez où ?

- Oh ma chérie, on est vraiment désolé, mais ton père et moi avons une réunion importante. On rentrera tard ce soir alors ne nous attend pas pour souper. Réponds sa mère en plaquant un bisou sur le haut de son crâne. Je t'aime.

L'homme que je juge être son père passe devant elle sans lui adresser un regard ou même un mot. Le regard de ma Maïra se voile de tristesse. Sa mère dû voir son regard puisqu'elle pose une main compatissante tout en lui adressant un sourire désolé.

- le lui parlerai dans la voiture ma chérie.

Elle hoche la tête. Je vois, elle ne s'entend pas avec son père, à mon avis, c'est le genre de type qui ne s'intéresse qu'à l'argent et pas à sa famille, le gros cave. Sa mère dépose un dernier baiser sur sa joue et part rejoindre son mari. Emma regarde la voiture de ces parents avant d'entrer chez elle. Sans plus attendre, je pars sur le coter de son condo là où se trouve des baies vitrées. Je regarde à l'intérieur pour voir si elle n'est pas là par chance elle n'ait pas au re de chaussée. Je pousse la baie vitrée et entre dans sa maison.

Je peux entendre de l'eau coulée venant de l'étage alors sans faire de bruit, je monte les escaliers. Une légère musique vient s'ajouter avec le bruit de l'eau. Plus je m'approche d'une porte plus les bruits se font de plus en plus fort. Une porte entrouverte se trouve sur ma gauche, je m'approche et regarde de plus près et... Oh my Fucking God, elle est bonne ! J'ai une vue sur le miroir qui donne sur le corps nue de ma Maïra en train de se doucher. L'eau coule le long de son corps ce qui la rend encore plus sexy qu'elle est déjà. Ces mains glissent sur son corps pour étaler son gel douche. My God Maïra ! J'ai tellement envie de toi ! Je prends un mouchoir que j'ai dans ma poche puis je glisse ma main dans mes culottes pour attraper mon membre et je commence à faire des vas et viens rapide sans lâcher des yeux le spectacle que m'offre Maïra. J'emmène mon poing à ma bouche et le mordre pour ne pas qu'elle entende mes râles de plaisir. Je finis par éjaculer dans le mouchoir. Je le mets dans ma poche et continue de regard Maïra qui est sur le point de sortir de la douche. C'est le moment que je choisis pour m'éclipser. Je pars en direction de sa chambre sans faire de bruit bien évidemment. Je finis par trouver sa chambre, j'entre. Sa chambre est simple du parquer au sol, les murs sont blancs, un lit deux place se trouve également, sur la gauche se trouve une grande bibliothèque, juste à coter il y a un bureau où est posé un ordinateur et un cahier, près d'une armoire faite de bois. J'entends des pas venir par ici alors je me précipite vers la baie vitrée pour me glisser sur le balcon pour pas que Maïra me voit. Je me mets contre le mur tout en jetant un regard dans sa chambre. Maïra est dans sa chambre seulement vêtue d'une serviette. Elle prend des vêtements de son placard et les enfile. Malheureusement, je n'ai pas pu revoir son petit cul rebondis puisque qu'elle s'est habillée en gardant sa serviette pour cacher son corps. Je dois donc en conclure que tu es de nature pudique.

Elle prend son sac qui doit être celui de cour puis elle s'assoie à son bureau tout en sortant ses affaires. Elle s'attache les cheveux en un chignions désordonner et commence à faire ces devoirs.

Au bout de 1 h 00, je la vois mettre la tête dans ces bras et ses épaules bougées d'un rythme calme et régulier. S'est-elle endormie ? Je décide d'attendre 10 minutes pour être sûr qu'elle dort. Quand la dernière seconde s'écoule, j'ouvre la baie vitrée et entre dans sa chambre. Je m'approche doucement d'elle pour ne pas la réveiller. Arrivé à sa hauteur je me mets à genoux et observe attentivement chaque parcelle de son doux visage. Je me relève puis passe un bras sous son dos et passe mon autre bras sous ses genoux. Je la porte pour la déposer sur son lit. Assis sur son lit à côté d'elle je caresse sa joue avec une délicatesse que je ne me connaissais pas. T'es vraiment belle Maïra.Je sors mon téléphone pour immortaliser ce moment. Putain ! Je la veux ! Je veux la posséder ! Je veux être le seul à la regarder ! Je veux être le seul à qui elle pense ! Je ne la veux rien que pour moi !

Mon nouveau jouetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant