Mon nouveau jouet

Le kidnapping

19 MAI 2021

Assis dans ma voiture, J'attends le bon moment pour entrer chez elle. Il est 00 h 30 et elle ne dort toujours pas. Franchement Maïra, tu devrais dormir au lieu de regarder tes mangas. Mais bon te connaissant, tu risques de ne pas éteindre avant un bon moment et tes parents vont rentrer dans pas longtemps. Bon pas le choix par grave si tu ne dors pas, j'arrive. Alors que je m'apprêter à sortir, mon téléphone se met à sonner. Je décroche en voyant le nom de Liam, mon frère s'afficher

- Allô ?

- Tu es où ? Tu n'es pas chez toi.

- Pourquoi tu veux savoir ? le n'ai pas de compte à te rendre.

- Ne me dis pas que t'es chez elle ?

- Bah si.

- Donc tu vas vraiment le faire...tu vas vraiment l'enlever ! Dit-il plus qu'énerver

- Je n'ai pas le choix faut que je la protège.

- Et tu crois que c'est la meilleure façon de le faire ! Il soupire, on dirait papa...

- Ne me compare pas à ce connard !

- Et pourtant, tu fais la même connerie que lui ! Tu crois qu'el-

- Ferme là ! Hurle-je en raccrochant

Je respire bruyamment en essayant de me calmer. Il n'a Fucking pas le droit de dire que je lui ressemble, ce n'est pas vrai ! Allez mec calme toi... Ce n'est pas le moment de t'énerver faut allez chercher Maïra. Je sors de la voiture et me dirige vers la porte d'entrer, mais avant ça, j'enfile mes gants et prends mon sac.
Je sors le double de ses clés que je me suis faites et entre. Je ferme doucement la porte pour ne pas lui signaler ma présence. La pièce est dans le noir complet, mais ce n'est pas un problème, je connais cette maison par cœur. Et merde ! Je n'avais pas vu qu'il y avait un vase sur ce meuble ! Caline, mais depuis quand y en a un là ! J'espère qu'elle ne l'a pas entendu...

- Maman, papa vous êtes rentré ? C'était quoi, ce bruit ? Crie-t-elle de l'étage, Bon bah, elle a entendu... Quoique ce n'est pas plus mal qu'elle est entendue, j'avais un petit peu la flemme de monter. Enfin bref, je me mets dans le salon et attends qu'elle apparaisse enfin. J'entends ses petits pas descendre les escaliers. Elle finit par passer devant moi s'en me voir. Pas mal ta petite tenue Maïra. Elle est seulement vêtue juste d'un soutien-gorge blanc accompagner d'un legging qui moule parfaitement son cul rebondis. Je ne m'en lasse jamais de regarder.

- Maman ? Рара ?

Elle s'arrête en voyant le vase brisé au sol. C'est le moment ou jamais ! Je m'avance vers elle et pose mes mains sur sa taille tout en enfouissant ma tête dans son cou. Hum..., elle sent si bon... Mais malheureusement, ma petite Maïra décide de mettre fin à ce moment magique en s'éloignant le plus possible. Maïra pourquoi me regarde tu effrayées ?

- Q-Qui est vous ?! Qu'est-ce que vous faites chez moi ?! Dit-elle en panique. Répondez ou j'appelle la police !

J'éclate de rire devant sa pseudo-menace. Elle se dirige en courant vers sa cuisine et sort un couteau de cuisine.

- Paaaa-Partez ! Ou...Ou je vous plante !

- Me planter ? J'explose de rire. Allons, tu n'as pas le courage pour faire ça, tu es bien trop gentille, je reprends mon sérieux, par contre pose ce couteau, tu vas te blesser, Maïra.

Elle arrête de bouger et me regarde de plus en plus choquer.

-C-Cooo.Comment connaissez-vous mon nom ? Dit-elle la voix tremblante

- Maïra, j'avance vers elle, je connais énormément de chose sur toi, je suis maintenant qu'a quelques centimètres d'elle le couteau touche ma poitrine, en fait je connais tout de toi.

J'attrape le manche du couteau et le balance a l'autre bout de la pièce. Puis je passe mes bras autour d'elle et la soulève. Maïra se met à se débattre et a hurlé. Je pose immédiatement ma main sur sa bouche pour étouffer ses cris.

- Maïra arrête ! Tu vas alerter tout le quartier avec tes cris !

Non sans mal je réussis à la balancer sur le canapé. Je m'assois à califourchon sur elle tout en gardant ma main sur sa bouche et de mon autre main maintiens ses deux poignets au-dessus de sa tête. Je m'arrête de bouger en voyant des larmes coulées de ses joues.

-Osti... Maira pourquoi tu pleures ?! Lui demande-je paniqué tout en enlevant ma main de sa bouche.

- Piiii-Pitié... Ne me faites pas de mal ! Hurle-t-elle en pleure

- Maira, je soupire, je ne vais pas te faire de mal, je te le promets. Je vais juste t'endormir et t'emmener dans ta nouvelle maison.

- Non ! S'il vous plaît !

Je prends mon sac qui se trouve juste à coter du canapé, j'ai bien fait de le poser là finalement. Pendant que Maïra me supplie de la relâcher, je prends un mouchoir et du chloroforme. Je pose le mouchoir sur son ventre et renverse du chloroforme sur celui-ci.

- Comme je sais que tu détestes les piqûres j'ai pris du chloroforme, ça te va ?

- Non ! Caliss Laissez-moi, je vous en prie ! Si vous voulez de l'argents, prenez-en, mais s'il vous plaît lâchez moi !

Je prends le mouchoir et le mets sur son nez et sa bouche. Elle se débat instantanément en bougeant sa tête et son bassin. Je ne la lâcherais pas ! Jamais !

- Non Maïra je m'en fiche de l'argent tout ce que je veux, je m'approche de son oreille et lui murmure, c'est toi...

Elle s'arrête de se débattre et ses yeux commencent à se fermer, mais elle essaye de lutter.

- Ça ne sert à rien de lutter, Maïra. Ferme les yeux. Voilà, c'est bien, je passe ma main dans ses cheveux, je vais bien prendre soin de toi, tu vas voir.

- Ça y est, elle s'est enfin endormie. J'enlève le mouchoir et le jette par terre puis ie reprends mon sac est sort des cordes et un ruban adhésif.

- Désoler Mon Cœur, mais va falloir que je t'attache.

Je prends une des cordes et attache ses chevilles entre elles puis je la retourne doucement pour ne pas lui faire mal et cette fois-ci, j'attache ses poignets dans son dos. Je la retourne et prend le ruban adhésif.
J'en coupe un bout que je colle sur sa bouche. Bon il est temps de passé à la dernière étape et après je pourrais partir avec ce qui m'appartient. Je prends de nouveau quelque chose de mon sac et me dirige vers un mur. J'enlève tous les cadres photo ainsi qu'un tableau et les balance par terre. J'ouvre le Tupperware que l'ai pris de mon sac quelques minutes plus tôt. Je trempe mes deux doigts ganter dans le liquide rouge. Du sang. Mais pas n'importe lequel... Celui du connard qui lui avait demander son numéro. Je me rappelle encore de ses hurlements de douleur quand j'enfonçais ma lame dans sa peau.
Un vrai plaisir pour les oreilles. Enfin bref pas le temps de divaguer faut que je me dépêche, il est déjà 1 h
15. Je promène mes doigts sur le mur pour former des lettres et ainsi former des mots. Au bout de 10 minutes, le mur était entièrement recouvert d'écriture qui forment les mots "mienne", " a moi" et bien évidemment " Maïra ". Ces parents comprendront enfin qu'elle est à moi et pas à eux.

-Bon, il est maintenant l'heure de partir ! Dis-je enjoué à Maïra même si je savais qu'elle ne m'entend pas.

Je range mes affaires tout en laissant bien évidemment le tupperware encore avec du sang. Je prends mon sac et part vers Maïra. Je passe mon bras sous ces genoux et de mon autre bras, je le passe sous son dos pour la porter. Je sors de son ancienne maison puisque maintenait elle n'y retournera plus et me dirige vers ma voiture. J'ouvre la portière arrière puis je la mets sur la banquette. Évidemment, je prends soin de l'attacher même si elle est allongée je ne voudrais pas qu'elle se fasse mal si je freine d'un coup.
Après l'avoir attaché, je referme la portière et me met devant le volant. Je tourne ma tête pour la regarder et lui dis.

- Direction ta nouvelle maison, Maïra.