❅ 𝑷𝒂𝒓𝒊𝒔 𝟖𝟓𝟎_ [eren x oc] Tome 1

S1E3: Faire ses choix

Normandie 847
Printemps
Dans la maison abandonnée puis au centre ville

Freyja regarda cet homme pendant un court instant, se perdant dans ses pensées. Elle se demanda en quoi il pouvait être utile, peut-être que son père avait une raison. Elle enroula une de ses mèches autour de son doigt, puis regarda le jeune homme en face d'elle et s'approcha de lui. Il tendit ses bras devant lui évitant qu'elle lui fasse quelque chose.

ᅳ C'est bon, je vais pas te manger, puis elle sourit en coin, pas encore du moins.

La façon dont elle parlait le rendait perplexe, elle avait une aura qu'il n'avait jamais connu. Il se perd entre la réalité et l'imaginaire quand il lui sort sans aucun contrôle

ᅳ Peut être que j'en ai envie.

Elle ouvrit grand les yeux, avant de coller cet homme contre le mur, la pointe de son arme juste devant son cou

ᅳ Répète? Tu as dit quoi là? S'exclama celle ci un peu perturbée par ce qu'il venait de dire

ᅳ Euh... pardon rien!

Tout semblait silencieux dans l'habitacle, aucun bruit ne sortait, aucun sons, seulement leur respiration chaude. Le visage de la rousse s'approcha alors du jeune homme, elle fronça les sourcils, observant chacun de ses traits. Pour un octogone, elle le trouvait affreusement séduisant. Elle soupire avant de le lâcher.

ᅳ T'es qui la fillette? Dit elle en le taquinant sur sa façon de battre

Eren sourit, ce qui perturba la jeune femme qui n'avait pas l'habitude de voir un sourire si charmant sur le visage d'un homme.

ᅳ Eren Jager, je suis un soldat du roi.

Le regard de la jeune femme changea, elle semblait bien curieuse.

ᅳ Je pense que mon père va t'apprécier.

ᅳ Puis je savoir ton nom maintenant?

ᅳ Hum... non.

Elle lui prend le bras si fermement qu'il se demanda si elle allait pas le briser en miette, pour une femme elle avait une sacrée force. Ils sortent finalement de la maison et se dirigent alors vers le centre ville. Eren remarqua tout ce bain de sang et plus aucun soldat de sa division qui était debout. Un frisson le parcourt en se disant qu'il avait une chance. Mais une chance pour quoi?

Il vit une autre femme s'approchait de la rousse, elle était elle aussi charismatique malgré tout ce sang sur elle. Elle semblait tout aussi sauvage. Il ne comprenait pas ce qu'elles disaient mais il était sûr qu'elles parlaient de lui vu leur regard insistant sur lui.

Il arrive devant une belle armée d'hommes et de femmes du nord tous aussi sauvages, puissants, différents de ceux de la Francia. Il ne pouvait pas penser a autre chose qu'à leur image.