Je remarque bien que cette gosse n'a pas peur de moi, mais bon fallait que je la fasse fuir, ce n'est pas bon qu'elle traine dans le coin.
Quand j'avais posé ma main sur son épaule, elle avait l'air terrorisée et en même temps impressionnée, il me semble qu'elle ne me connaissait pas. C'est étrange car je trainais souvent dans les couloirs du bâtiment, entrain de réparer les petites lumières qui clignotent sur les plafonds blancs tout cassés.
Je sais qu'elle reviendra, elle doit sûrement être entrain de faire des recherches sur moi en ce moment même, ça ne m'étonne pas, elle a l'air d'une vrai scientifique avec ses drôles de lunettes rondes. Je la vois des fois, qu'elle passe devant le bâtiment et puis jette un coup d'œil de loin à travers la fenêtre du bureau.
J'ai quand même dut lui faire peur, la pauvre, je m'en veux.. Il ne faut pas qu'elle parle de moi et de ce qu'il lui ai arrivé à la police, sinon je suis mal. Mais non, elle ne le fera pas, elle est intelligente. J'ai beaucoup entendu parler d'elle, Hortence Cerusa. Faudrait-il que je lui parle ? Ou que je lui dise mon nom, pour qu'elle sache que je ne suis rien d'autre qu'un électricien qui a été embroché pour travailler au lycée ? Mais il faudrai déjà qu'elle n'ait pas pas peur de m'approcher après ce que je lui ait montré, elle doit sûrement penser que du mal de moi.
Les petits grésillements qui l'a fait venir jusqu'à moi est simplement ma musique qui avait du mal à fonctionner, sur ma petite radio Marshall. Je me réfugiais dans le bureau de Monsieur Michel car j'ai perdue ma maison dans un incendie, suite à la mort de Spirite mon petit saint-Bernard. J'ai balancé le petit bout de papier qui allume brusquement ma cheminée, puis il était tombé sur mon parquet en bois, ce qui a enflammé mon petit chalet en bois cramé. Un trucs tout con, je sais.
Pendant que j'étais dans mes pensées à écouter ma musique, Smells like Teen Spirit de Nirvana, c'est d'ailleurs de la que j'avais appelé mon saint- Bernard, j'aimais beaucoup cette musique, quelqu'un toquait à ma porte du bureau. C'était elle, Hortence, elle me fixait, puis ce répétait à voix basse « je n'ai pas peur », puis au bout de cinq ou six fois répétée elle me disait :
-Bonjour, je m'appelle Hortence Cerusa, et je n'ai pas peur de vous !
Je lui répondis que je savais en souriant. Je voyais dans la lueur de ses yeux qu'elle avait peur, mais elle savait la vaincre. Elle avançait d'un pas vers l'avant puis me demandais « Qui êtes vous vraiment ? »
Je devais tout lui dire ? Ou alors simplement lui dire "un électricien"?
-Je suis Marc Lalles.
Puis elle ajoute qu'elle me connaissait, c'est impossible je suis qu'un simple électricien, rien de plus.
-Vous êtes le jeune homme dont tout le mon de parlent au lycée, mais personne affirme vous avoirs déjà croisé, dit-elle.
-Je suis juste une personne qui répare les loupiotes qui ne fonctionne plus.
-Pourquoi je vous ai donc jamais croisé.
Franchement j'en avait aucune idée, et pourquoi les gamins parleraient de moi, il ne me connaissent pas. Après tout il y'a sûrement un gosse qui a entendu Michel parler de moi, puis il a inventé un trucs sur moi, qui c'est répandue dans la tête de chaque ado ou une histoire comme ça ...
-Et que dise t'il sur moi exactement ?
-Je n'en est ai aucune idée, chacun a son histoire..
J'en étais sur c'est encore des sales môme qui disent des connerie sur moi. Mais il fallait c'en douter, je suis quand même logé au lycée. Puis elle ajoute qu'il y a des élèves qui raconte des choses bien pire que de simple petit ragots.
-C'est à dire ?
-Il y en a qui dises que vous êtes venu d'une autres planètes pour tuer des gens de la terre !
-C'est quoi c'est conneries, je m'attendais à bien pire !
La fille me regarde dans air dessus que je me foute de ses histoires..
-Mais pourquoi je ne devais point rentrer dans cette pièce ?
Elle se fiche de moi, c'est la ou j'habite et elle, elle voulais rentrer par effraction. Puis je la fixai et elle avait compris.} Mais je ne pouvais pas lui en dire plus, sinon elle allait ce douter de quelque chose. Il ne faut pas qu'elle sache un trucs, sinon elle va le dire à la police et je vais me mettre en danger...
-Et maintenant puis-je entrer pour voir votre demeure, me dit elle d'un tons moqueurs.
Je ne voulais pas sinon j'allais prendre cher, Michel vas me tuer, il ne veut pas que d'autre personne rentre que lui et moi. Il faut que je fasse gaffe, car comme je disais, si elle le dit aux flics, je suis dans le mal.
-Non, je suis désolé.
Je voyais dans ses yeux qu'elle voulais absolument rentrer, elle faisait ses yeux de chien battu, ça ne marche jamais avec moi.
-Je ne peut pas te dire pourquoi c'est dangereux pour moi !
Elle partait lentement puis se retournait en face de moi, puis courrait le plus vite possible et fonçait dans le bureau elle était entrée, je vais faire comment...
-Il n'y a rien, qu'y a-t-il, Marc ? Pourquoi êtes-vous dans cette état ?
J'étais à la limite des larmes, je ne veut pas me refaire tabassée avec cette batte.. -J'ai une proposition à te faire !
Que vas elle encore me sortir, en tout cas il faut vite qu'elle se casse avant que Michel remarque sa présence.
-J'habite à un kilomètre d'ici, c'est juste à côté tu vois. J'ai un grand jardin avec une jolie cabane, une énorme grange et un grenier de cinq mètres carré ! Je te propose, si tu as envie, de logé dans un de ses trois endroit, tu aura la possibilité d'inviter qui tu veut quand tu veut.
Je ne sais pas trop ce qu'il ce passerait après ça, Michel me ferait quoi, je n'aurais plus de métier que je ne voudrais plus le croiser.
-Et pour ton boulot, on a un bar, tu pourras y travailler le temps de te trouver un vrai boulot.
C'est plutôt une bonne proposition mais il faudrai qu'elle reste avec moi le temps que je prépare mes affaires, Michel n'oserait pas me faire du mal devant Hortence.
-Mais toi ça ne te dérange pas, et ça ne dérange pas tes parents ?
-Non, évidemment que non. J'ai parlé de toi à mes parents et ils affirment te connaître, de vue en tout cas.
-Peux tu rester avec moi le temps de préparer mes affaires ?
Elle me répondu d'un simple « oui » mais elle doit penser que je ne suis pas capable de me débrouiller.
-Fin non fait comme tu veut après tout.
Il fallait bien que je lui fasse comprendre que j'en ai rien à faire qu'elle soit là ou non.
-Si tu veut te rendre utile reste à la fenêtre, depuis l'extérieur, et si tu vois Monsieur Michel faire quelque chose de mal, tu appelle les flics, c'est compris ?
-Que ce passes-t il Marc ? Te fait il du mal ?
Peut importe, je lui répondais « non » d'un tons sec, puis je la poussa en dehors du bureau.Je préparais au plus vite ma valise puis parti, arrivé en bas des escaliers, une main avec de longs ongles était accroché à mon bras, c'était lui, Michel, et merde la p'tite ne peut pas nous voir depuis la.. Il remarqua ma valise marron avec mes petit autocollant que j'ai chopé en vacances, puis il plantait c'est ongle horrible dans ma peau. Puis on passait devant le bureau et je remarquais en passant, Hortence entrain d'appeler les flics, sûrement. Elle est trop forte cette gamine.
Michel me tiras par le bras puis on allait dans la salle toujours fermé à double tours, mon angoisse pris le dessus. Arrivé dans la salle il l'a refermait à double tours. Et si je n'étais pas le seul à être tabassé ?
Ça toquait à la porte après un coup de batte, c'était les flics avec Hortence. Mais Michel ignorait puis me donnait un coup de plus, ça retoquait, mais il ignorait encore. Les flics avaient cassés la porte, Hortence était la, à le regarder, très effrayé, en même c'était son principal.
Les flics ont pris Michel, l'avaient menotté, puis ils l'avaient fait monté dans la voiture, tout le quartier avait entendu l'alarme de la voiture de flics sonné.Ils me questionnaient :
-Quel est votre nom et prénom ?
-Marc Lalles
Puis ils marquaient mon nom dans leur petit cahier vierge.
-Avez-vous de la famille, qui pourrait venir vous chercher ?
A vrai dire, j'ai qu'une cousine, mais je la vois jamais, donc je ne vais pas la déranger, d'ailleurs il faudrait que j'aille le rendre visite depuis le temps
-Non, je n'ai pas de famille.
-Ou bien des amis ?
J'ai que Hortence comme amie, je ne vais pas le dire, ou peut être bien que si.
-Hortence Cerusa.
Hortence fesait une tête joyeuse et triste en même temps, je n'arrive pas trop à décrire.
-Qui est cette Hortence ?
Le chérif parlait à un de ses collègues:
-C'est pas la gamine qui nous a appelé ?
-Si il me semble.
Ils regardaient Hortence, puis elle hochait lentement la tête de haut en bas.
Ils comprenaient que je n'avais pas d'amis.
-Ou habitait vous ?
Je pris Hortence a l'écart
-Est-ce je doit...
Elle me coupait la parole !
-Pourquoi as tu dis que j'étais ton amie, me demandait elle en souriant ?
-Car c'est la vérité.
Non, en réalité je ne voulais juste pas assumer que je n'ai pas d'amis. C'est juste une gamine de 15 ans, j'ai 19 ans.
-Et oui tu peut dire que tu habites chez moi ne t'inquiète pas.
Elle est sympa, mais quand ses parents vont me voir, je me demande quel sera la tête qu'ils vont faire, en voyant leur gamine ramener un gars de 20 ans chez eux. On retournait voir les flics.
-J'habite chez elle, chez Hortence.
-Ok, l'adresse s'il vous plaît.
-58 chemin du tournesol 40718 Greenwood, répondait Hortence.
-Merci Aurevoir.
Puis ils partaient, Michel menotté dans la bagnole, puis le lycée fermé. Je n'y retournerai plus jamais, beaucoup trop de mauvais moment passé là bas.-Tu n'as pas de famille, Me demandais Hortence un peu gêné ?
-Si une simple cousine, mais je lui parle rarement car elle passe sa vie dans son van, elle n'en sort plus.
-Elle s'appelle comment ?
-Rachelle,Rachelle Misinlake...
-On peut aller lui rendre visite si tu veut ?
-J'aimerais bien lui rendre visite, mais elle n'accepte personne, on toque à sa porte elle ne répond pas. Même le facteur ne lui donne plus ses lettre car elles dépasse de sa porte, elle ne les lis pas.
-Pourquoi reste elle enfermé ?
-Je n'en ai aucune idée.
Je vais aller la voir et lui demander, et puis ça lui ferait de la visite, c'est une bonne attention. Je prépare les clés, je démarre ma coccinelle, puis j'en barque dans la voiture avec Hortence, direction Rachelle.
« Arrivé à la porte de son van turquoise et blanc, je toqua, et comme d'habitude, elle ne répondait pas, elle n'avait vraiment pas changer. Hortence, inquiété, comme d'habitude, me demandais « comme allons nous faire ? ».
J'en sais rien.
Du coup nous sommes rentrés en effraction par la fenêtre. Je criai « Rachelle » deux ou trois fois, elle n'était pas sur son canapé, c'est étrange. Hortence m'aidait à chercher partout, peut être c'était elle cachée ? C'est impossible qu'elle soit partie, ou peut être 10 min pour voir l'extérieur, mais pas plus.
-Est-ce qu'on devrait appeler la police pour qu'il enquête, demandait Hortence ?
-J'ai un ami, Martin il pourrait sûrement nous aider, il est flic. Mais j'ai pas de téléphone.
-Ce n'est pas grave on ira dans une cabine téléphonique, ça ne fait rien.
Je ne me souviens pas très bien de son numéro mais je pourrais l'écrire si il faudrait vraiment.
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Hollowood
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