Chapitre 7 : 16/09/11

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(POV extérieur)

Un homme est assis à son bureau et il est en train de consulter ses dossiers. Il est de petite taille mais il est tout de même imposant et intimidant malgré cela.

Il met ses lunettes et il projette les informations de son ordinateur sur le mur qui est en face de lui. On peut y apercevoir une carte du monde en noir avec de très nombreux points rouges dessus.

Chaque point correspond à un visage féminin sans expression. Il se concentre sur une information précise d'une des jeunes apparemment situer à New York aux États Unis.

Après cette très brève lecture, il sort une tablette numérique de son tiroir et il convoque cette fameuse jeune femme dans son bureau en appuyant sur plusieurs boutons en même temps. Son expression est devenu plus fermée et énervée que tout à l'heure.

Environ 5 minutes plus tard, la jeune femme rentre dans son bureau. Elle est plus grande que lui, de corpulence assez fine, des cheveux blonds, les yeux verres et elle porte une combinaison entièrement noire.

En rentrant dans le bureau, son visage ne montre aucune expression à part un air sérieux face à cet homme qui a l'air d'être son patron ou juste son supérieur.

Elle se met debout face à lui et une conversation entre les deux personnes commence :

- Est-elle morte ? demande l'homme sans même regarder la jeune femme et en gardant ses yeux rivés sur sa tablette,

- Non monsieur ! dit-elle d'un ton ferme et sans émotion,

- Et je peux savoir comment c'est possible ? demande-t-il avec un ton qui deviens assez menaçant,

- Une personne était devant elle au moment de l'impact, on... je n'ai pas pris ça en compte, avoua la jeune femme qui à l'air de couvrir ses camarades,

- Donc tu as échoué ? lui demande-t-il toujours sans la regarder,

- Oui monsieur... dit-elle en baissant sa tête,

- Donc tu veux me dire que je te demande une simple chose, une chose pour laquelle je t'entraine depuis des années et tu n'y arrives même pas ?! mais qu'ai-je rater dans ton éducation pour que tu te rates à ce point ! dit-il tout en se levant et en se mettant de l'autre cote du bureau pour être debout face à elle,

La jeune femme n'a pas le temps de répondre quoi que ce soit que l'homme met un coup de poing en plein visage de la jeune femme ce qui la fait tomber au sol :

- Prends ceci comme un avertissement, la prochaine fois que je te convoque et que tu rentres dans mon bureau que veux que Natasha Romanoff soit six pieds sous terre ! est-ce que je me suis bien fait comprendre ?! dit-il tout en menaçant la blonde et en la pointant du doigt,

- Très bien monsieur... dit-elle en se relevant avec difficulté,

La jeune femme quitte la pièce après avoir salué son patron. Dans son regard, on peut apercevoir de la haine, de la peur mais aussi de la détermination à tuer cette femme qu'elle ne connais probablement pas.

(POV Elie)

17/09/98

Nous sommes le lendemain de la grosse explosion au siège de l'ONU qui nous a un peu touche chamboulé.

Aujourd'hui, je suis de garde seulement pour la nuit donc j'ai encore un bon nombre d'heures avant de prendre mon poste.

Je décide donc de mettre mes affaires de sport et d'aller courir dans le parc à côté de chez moi avec Archie. Rien que la faite d'avoir sortie sa laisse, il est surexcité et ça me fait beaucoup rire comme à chaque fois.

Je lui mets sa laisse le temps que l'on soit encore en ville. Dès que nous arrivons dans le parc, je la lui retire et je lui demande de rester assis à côté de moi, le temps que je range ça dans mon sac et que je le lance ma montre de sport.

Enfin, je suis prête, alors je commence à courir et Archie se met à courir lui aussi tout en restant à ma vitesse et plus ou moins à côté de moi.

On reste à courir ensemble au moins une bonne heure et je me marre beaucoup. Lorsque je décide d'arrêter de courir. On croise une famille avec deux enfants. Ils commencent à jouer avec Archie et les pauvres, ils ne savent ce qui les attendent.

Archie adore jouer avec des enfants et quand il commence à jouer avec eux, il ne peut plus s'arrêter. Il faut que je le force à chaque fois pour qu'il se calme. Les enfants se prennent des léchouilles dans tous les sens ce qui nous font beaucoup rire avec les parents des deux jeunes enfants.

Après tout ça, je remets la laisse au cou de mon fidèle compagnon et nous rentrons tous deux à la maison histoire que je prenne une douche.

Le reste de la journée se passe tranquillement. Je décide de rester chez moi pour me reposer un peu avant ma garde. Les gardes de nuits sont plus éprouvantes que celle de jour car la fatigue est bien plus présente.

Je fais donc une sieste durant une petite heure. Puis, vers 17 heures, je prépare toutes les affaires qu'il me faut pour ma garde. Je fais un bisou à Archie et je ferme la porte avant de monter dans ma voiture pour aller prendre mon poste pour la nuit.

L'incendieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant