Ce chapitre est très important pour la compréhension de cette histoire, si vous voyez des fautes d'orthographe durant votre lecture dites le moi, bonne lecture.
Maintenant des années que je travaille dans ce foutu laboratoire, a regarder des enfants faire ce que j'ai fait avant eux, j'ai été comme un test la toute première et pourtant je m'appelle 100 il y en a donc beaucoup plus avant moi mais je ne les connais pas.
Maman, qui est la directrice nous a dit qu'ils avaient peris dans un énorme accident, je ne sais pas, je ne le sent pas. Je ne me rapproche pas des enfants déjà parce que je n'en ai pas le droit et de plus car je n'en ai pas envie, la solitude m'a aidé pendant 10 ans de ma vie, et ça n'a toujours pas changer, si je fais une bêtise maman me punis, je préfère pas vous dire ce qu'elle nous fait endurer.
La seule chose qui me rend heureuse aujourd'hui est le fait que mes cheveux ont enfin poussé, ah vous ne le saviez pas ? Ils nous rasent le crâne, mais depuis que je ne suis plus élève, ils m'ont autorisé à les laisser pousser. D'ailleurs je vous ai dit que je suis 100 mais enfaite, pas vraiment, avant qu'on m'assigne cet horrible chiffre, je m'appelais Maddie. On m'a fait oublié mon nom de famille je ne sais pas comment mais je ne m'en rappelle pas, ni de mes parents biologique, je n'ai absolument aucuns souvenirs, maman dit qu'ils sont mort mais aux enfants elle a dit que leurs père était mort et qu'elle était leur mère, elle ne dit pas toujours la vérité, elle ment beaucoup, les enfants l'ignorent.
Elles les maltraitent quand eux aussi font des bêtises, avec une genre de ceinture qu'elle leur met au bassin qui donne des coups de jus parfois très puissants, j'y est eu droit il y a des années, mais malgré ça les enfants s'en fiches comme si ce n'était pas grave, ils sont parfois deux doigts d'y passer et nous devons rien faire, juste les regarder où les ignorer. J'ai eu une fois le malheur d'en aider un, je me suis faite punis, elle m'a laissé dans une énorme piscine fermé où il n'y avait pas fait pendant quelques minutes, j'ai faillit y passer, elle est impitoyable.
Il est midi, on peut le savoir grâce à l'horloge mise au dessus de la porte de la salle arc en ciel. Les enfants sont en ligne pour aller manger et maman vient les chercher. Nous on les surveille on a le pire métier mais je sais très bien que je suis là seule comme ces autres enfants, aucuns des autres agents n'ont de tatouage.
Les enfants sont vraiment angoissé quand ils viennent nous parler. Ils ne nous nommes pas, ils n'ont pas le droit de savoir nos "noms" pour ma part, ils n'ont pas le droit de savoir que je suis comme eux.
On les regarde manger puis 13 heure sonne, certains enfants méritants peuvent aller jouer dans la salle arc en ciel où ils seront surveiller par d'autres personnes, moi et deux autres personnes prenons notre pause pour aller manger, nous avons une salle a nous a 3 étages plus bas, les enfants on l'accès à deux étage, le premier et le deuxièmes, les autres le leur sont interdit, il y a au premier les salles d'exercices ou maman et d'autres employé les "exerces"avec la salle arc en ciel et leurs chambres puis le deuxième avec la cafétéria, les salles de cours et la salle avec la piscine, (ouais bah je connais pas le nom, vous savez la salle avec l'eau et le sel la pour aller dans l'esprit des gens)
Nous sommes au troisième nous, où nous avons nos chambres et nos salles de bains et bien évidement notre propre cafétéria. La nourriture est dégueux, en tout cas pour nous pas pour les enfants, je n'ai jamais vu la couleur du ciel depuis 5 ans, oui 5 parce que j'ai pu sortir une fois avec l'autorisation de maman, évidemment j'étais surveillé, mais ça m'a fait du bien, ce bon vieux temps.
(Désolée si le personnage parle pas assez ça va venir)
L'heure du cours avec maman a sonné je me rend en avance devant la salle où les enfants rentrent dans l'ordre croissant de leur nombres respectifs. Maman est devant une dizaine d'enfants.
Maman : qui veut commencer en premier ?
L'exercice est simple, il suffit de faire éjecté une petite balle en mousse dans un panier en face, c'est pour les débutants, je n'ai eu a le faire qu'une fois, étant donné que j'ai survécue seule pendant 10 ans j'ai du m'aider de mes pouvoirs, j'avais de l'avance à l'âge de ces enfants.
Le plus petit de taille 127 lève la main, il est bien courageux.
Maman : bien, viens la, Elle me fait signe de la tête de m'approcher pour lui attacher le bandeau. Concentre toi bien sûr la balle.
L'enfant force comme il peut ça ce voit des gouttes de sueurs coulent sur sa joue. Mais il n'y arrive pas, pourtant il saigne du nez, il a encore de l'entraînement a faire.
Les élèves passent chacune et certaines y arrivent mieux que d'autres, mais dans l'ensemble aucuns n'a la même compétence que moi a leur âge, ça me rend fier j'avoue.
Une fois l'activité terminé, tous les élèves partent et le personnel aussi. Il ne reste que moi et maman.
Maman : 100 tu ramasseras les balles et tu les metteras dans le sac la bas. Ensuite tu iras dans ta chambre te reposer, je suis désolée que tu ai du tant travaillé cette semaine, une personne du personnel est tombé gravement malade.
100 : très bien merci.
Maman est la seule qui m'appelle ainsi, enfaite la seule qui m'appelle, je ne me rapproche pas des autres adultes ici. Par flemme je décide d'utiliser mes pouvoirs pour ranger les ballons après avoir fait "buguer" la lumière pour que la caméra ne puisse me voir.
Je ressors donc de la salle et essuies le sang mais par malheur il tâche mon uniforme blanc.
100 : ah putain... Je fais comment moi maintenant...
Dans le couloir jusqu'à l'ascenseur je croise deux agents, et je fais de mon mieux pour cacher ma manche, ce qui fait que ma démarche est vraiment louche, même moi en voyant ça je me poserais des questions.
J'arrive dans la chambre et m'allonge dans mon lit, comme l'a dit maman la semaine a été éprouvante, mes yeux sont si lourds qu'ils tombent tout seuls et je m'endors dans les bras de Morphée.
Coucouuuu alors voici le premier épisode, j'espère qu'il vous a plus, je vais essayer de sortir un épisode par jour si j'en ai le temps.
