Quant Magie Magistra s'en mêle!

Chapitre 36: Arrestation de Dumbledore

La sixième année du Quinquet de Serpentard débuta et ils furent surpris de voir que Severus était devenu professeur de Défense Contre les Forces du Mal. Ils découvrirent donc Horace Slughorn, leur nouveau professeur de Potion. Ils ne savaient pas trop quoi en penser mais vu le calme de leurs parents, le bonhomme devait donc être réglo.

Ils furent quand même déçut des cours, dans le sens où il y avait un vrai favoritisme de la part de Slughorn pour les élèves. Severus favorisait les Serpentards car ils étaient laissés de côté par le reste de l'école mais il était juste avec ses élèves. Quand à Horace, il favorisait le Quinquet qui détestait ça et ils en firent part à Severus. Ce dernier grimaça et leur annonça que lui ne pourrait rien faire. Ça c'était clair pour eux, il fallait voir les femmes du clan. Et Cassiopée en particulier qui était encore bourré d'hormones.

- Maman, on a un problème.

- Laisse-moi deviner. Slug ?

- Oui... Il nous favorise et on n'apprend pas de nos erreurs, continua Harry. Papa ne peut rien faire.

- Je vais essayais de faire quelque chose pour calmer Slug.

- Merci maman.

- De rien mon chéri.

- Tu veux un coup de main avec Iris ?

- Harry...

Le brun, ria et quitta le bureau de sa mère, Iris y dormant dans un berceau. Il fallut attendre une semaine pour voir Slughorn arrêter son favoritisme. Le Quinquet ne sut jamais ce qu'avait fait Cassiopée. Mais ils étaient ravis car au moins, ils voyaient enfin les erreurs qu'ils faisaient et ils n'allaient pas embêter Severus pour qu'il les corrige après chacun de leur cours.

En fait, Cassiopée avait envoyé un petit message à Slughorn en lui disant que s'il continuait son favoritisme et qu'il n'apprenait pas correctement aux élèves, elle allait lui mettre le CIMS au cul. Après une semaine et un petit message de menace de la part du CIMS et hop, il était devenu un « bon » prof.

L'année continua calmement, comme dans l'histoire originelle. Rien ne troubla l'année jusqu'à ce que la Gazette du Sorcier n'arrive un matin de février.

Les fugitifs américains ont tous été retrouvés et ils accusent Albus Dumbledore.

Tous les visages s'étaient tournés vers le directeur de l'école qui était livide. Même le clan était surpris. Enfin tous sauf Keller puisque c'est elle qui avait fait l'article. Quand Minerva demanda à Albus de quoi ça parlait, le directeur avoua qu'il ne savait pas. A peine les mots prononcés que tout le monde se rua pour lire l'article.

En novembre 1995, plusieurs convois de prisonnier ont été attaqués et les cinq suspects dans une affaire de kidnapping et de faute médicale en ont profité pour s'échapper. Les cinq hommes étaient des médecins spécialisés en pédiatrie, gynécologie et en néonatologie. Ils ont aussi eu l'aide d'une potionniste mais cette dernière ne l'a pas fait de bon cœur et ils insistent bien sur ce point. D'ailleurs, ils insinuent même que la potionniste qui les a aidé, a été tué par Dumbledore et que si elle était toujours en vie, il la garderait en captivité. Vérité ou mensonge ? Personne ne le sais et les Aurors Américains se garde bien de dévoilé quoi que soit à la presse. Quand nous aurons plus d'informations sur ce fait nous vous tiendrons informé.

Après des heures d'interrogatoires, les cinq hommes ont finis par avouer. Mais d'après nos sources, le directeur de Poudlard n'est toujours pas mis en examen. Le ministère oserai-t-il se mettre en travers d'une enquête du CIMS ou ont-ils peur d'un simple directeur d'école ? En tout cas, d'après nos cinq suspects, le directeur de Poudlard leur aurait demandé de mettre au monde un enfant et de faire croire à sa mère que ce dernier était mort-né. Sans oublier qu'ils ont aussi fait croire à la mère qu'elle ne pourrait plus avoir d'enfant biologiquement. Heureusement pour la maman, elle a retrouvé son fils et elle a pu avoir d'autres enfants. Et nous ne vous parlons même pas des complications médicales qui ont suivis après l'accouchement. Sans l'intervention d'un médecin compétant, la maman aurait pu mourir. Ce dernier nous as dit qu'il avait été effaré du travail de boucher fait par ses « collègues » et qu'il avait bien fait d'écouter son instinct quand il avait appris que la maman était sorti du bloc. Sans ses soins post opératoire, elle aurait pu décéder.