Monsieur Parfait | 𝐓𝐞𝐧𝐲𝐚 𝐈𝐢𝐝𝐚

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20 novembre, 15h15 :

Uraraka : Tu vas pas me dire qu'il n'y a rien ?

Tenya : Que veux-tu dire par là ? Je ne mens pas.

Asui : Ce qu'elle veut dire c'est que vous êtes vraiment proches kero. Tu n'es même pas autant proche de nous que tu l'es d'elle.

Tenya : Je suis pareil avec tous mes amis ! Je ne fais aucune différence.

Todoroki : Alors si tu agis différemment avec elle, c'est peut-être parce que ce n'est pas qu'une simple amie.

Tenya : Arrêtez de penser à des choses absurdes ! Ce n'est qu'une amie.

Midoriya : Pense ce que tu veux !

Uraraka : Je suis sûre qu'elle ne pense pas la même chose ! Je vais aller lui demander !

Tenya avait levé la tête de son livre et avait attrapé la brune par le bras pour la faire s'asseoir, il s'était excusé immédiatement après et il avait repris sa lecture. Il avait remarqué qu'il était un peu différent avec elle, juste un peu plus flexible et il voulait toujours qu'elle se sente à l'aise et comprise. Il avait désobéi à plusieurs règles qu'il s'était imposé à lui-même, il savait que ce n'était pas normal. Il n'osait juste pas vraiment lui en parler, ils s'entendaient bien en tant qu'amis alors pourquoi tout gâcher ?

Tenya : Elle aime être seule pendant les pauses, laissez la tranquille et arrêtez de vous faire des idées.

Asui : Avoue que tu aimerais bien qu'il se passe quelque chose kero ! Ça se voit, tu la regardes comme si elle était la personne la plus précieuse du monde !

Midoriya : Je ne veux pas t'énerver, mais je suis plutôt d'accord. Et tu as l'air de la calmer, elle nous paraît plus joyeuse et gentille.

Uraraka : La première fois que je l'ai vu sourire naturellement, et pas ironiquement, était quand elle t'emmenait dans sa chambre pour étudier.

Tenya avait essayé d'ignorer les remarques de ses amis les plus proches en se replongeant dans le livre. Il avait réussi à le faire jusqu'au moment où, Todoroki, curieux, avait posé une question.

Tenya : Oh ? Ce livre ? C'est Kyra qui me l'a prêté, c'est le sien.

Uraraka et Asui avaient levé les yeux au ciel.