Vichy

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Alors que la jeune fille appelait Ashtray espérant le trouver je me relevais brusquement de sur lui. Un sentiment de haine envers le garçon me parcourait et me mangeait de l'intérieur. Je me demandais comment avais-je pu être si aveugle à son égard et cela depuis le début. Mon regard haineux face à ses yeux qui laissait voir toute la fierté qu'il avait eu lors que mon geste.

Mon téléphone vibra et mon cœur s'arrêtât quelques secondes. Ma main se porta à mes lèvres qui elles étaient grandes ouverte. Son regard victorieux changeait en regard interrogateur.

Mes mains tremblais mon corps me lâchait au fur et à mesure. Les larmes montaient et en quelques secondes formaient une longue rivière sur mes joues. Ne pouvant plus me retenir face à cette situation je déglutit et rentra mon téléphone d'un geste brusque dans ma poche arrière.

Ma bouche refermé et mes larmes arrête je commençai à ranger mes affaires rapidement. Mais mes geste étaient brusque et irréfléchi je faisais n'importe quoi et je m'en rendais compte et lui aussi.

Des pas se faisait entendre derrière moi et je me figeais sur place t'elle une statue. Le regard de Ash était comme perturbé de la situation il ne savait pas se qu'il m'arrivait soudainement. Ashtray devait se demander pourquoi un simple coup de file me mettait dans cette état aussi rapidement.

Les pas se rapprochait et mon rythme cardiaque augmentait de plus en plus. Quand une main se posa sur mon épaule je recule rapidement portant mes mains à mon visage pour le protéger.

Mon corps tremblent venait de réaliser mon geste de protection. Ash l'avait vue je pouvais le voir sur son visage.

Je venais de me trahir moi même faisant resurgir les démons du passé.

Mon père

Jacob

Agressé de deux manières différentes mais pourtant tout autant traumatisante l'une que l'autre. Douleur physique face à douleur mentale. Se sentir sale et souyer.

Ash avait la bouche entrouverte et me regardait fixement. Sa mains se rapprochait de moi et mes tremblements redoublaient.

Il m'avait menacé et d'un soudain appel m'avait bouleversé faisant tout remonter à la surface. Tout ses souvenirs que je me suis efforcé de faire couler telle le Titanic avait remonté en quelques secondes. Tant de travail à essayer d'oublier mais si facile de se le rappeler.

Ash: tu...tu as peur de moi
Ella: vas te faire foutre.

C'était les seuls mots qui avait accepté de sortir de mes lèvres pulpeuses sur le moment. J'attrapais mes affaires et claqua la porte de chez Fez. Je me précipitais vers ma voiture fermais là portière et parti rapidement de chez lui.

Mon téléphone sonna une deuxième fois et c'était cette même personne qui m'appelais.

Allez courage

Ella: qu'est-ce que tu me veux
Jacob: Ella chéri tu m'en veux toujours je pensais que 3 ans suffisait pour tourner la page.
Ella: connard
Jacob: me dit pas que tu aimes toujours Ash
Ella: je l'aime plus mais tu sais se que j'aime pas aussi...les violeurs!
Jacob: je savais que tu allais comprendre un jour
Ella: espèce de-
Jacob: oh oh chérie oh moins j'assume
Ella: c'est sa ton excuse
Jacob: en quelques sorte. Je t'appelle pour te prévenir que je suis de retour

Je lui raccroche au nez ne voulant pas en entendre plus. Les mains sur mon volant étaient tremblantes et moites. J'étais pâle et avait du mal à respirer. Mon stress augmente quand mon téléphone sonne une seconde fois.

Je tournais légèrement le regard sur le fauteuil du passager à mes côtés et souffle de soulagement. Je n'avais même pas remarqué que j'avais retenu mon souffle sûrement faute de l'angoisse.

Mes doigts affaiblis saisis mon téléphone et je répondais à Flinn un homme de James

Ella: Bueno ?
Flinn: vient vite à la maison
Ella: d'accord

Je raccroche et accélère à vive allure. Si il m'appelle c'est que s'est une urgence.

Arrivé devant la maison je vois des balles en argent sur le sol. Mon souffle se coupa quand je sentais quelques choses de froid à l'arrière de mon crâne. Un petit bruit se fît entendre et je sais pertinemment se que c'est. Je me fige instantanément sur place devant la porte.

Mon souffle coupé et mon cœur qui bondit dans ma poitrine je ne parlais pas.

?: tu vas rentrer dans la maison sans geste brusque.

Ma main se pose sur la poignée de la porte qui s'ouvrait lentement tout comme chacun de mes geste.

J'avançais lentement dans la pièce et fût surprise de voir James a terre une balle dans la jambe. Carlos lui avais plus son air enfantin et ses blagues drôles, il était froid et avait un regard de tueur me laissant deviner que ce n'était plus tonton Carlos, mais Carlos le psychopathe qui tue.

Son regard était noir et ferme, ses yeux poser sur son frère qui lui perdait beaucoup de sang. La mâchoire serré tout comme Marc et Herman à ces côtés.

Les trois hommes alignés avec les mains attachés dans le dos il n'avait pas peur on pouvait le lire sur leur visage seul à haine était présente. Leurs regard se posaient sur moi et une légère vague de peur s'installât dans la rivière froide qu'était leur yeux.

?: AH! C'est donc ça. Elle est votre petite protéger.

Il ricanait légèrement et sa main attrapa mon cou violemment et avec force. Son visage se rapprochait de mon oreille et il me chuchota que j'étais morte.

Chaleureux

?: bon on vas s'amuser. Je me présente à toi petite brune. Je suis Vichy et ton très cher oncle a volé beaucoup mais beaucoup trop de mes clients. Mais pas les jeunes tu sais s'est petit con qui croit être des rebelles alors qu'il prenne un truc aussi fort que du Doliprane. Non. Les vieux riches qui ne savent pas où dépenser leur frique. Le plus beau et gros client qu'on puisse avoir.

Il prie une chaise de sa main droite alors que sont autres mains me pointait une arme en pleine gueule.

Vichy: assis petite !

Je ne l'écoutai pas. Si il pensait pouvoir me donner un ordre il peut se le foutre dans le cul

Vichy: ne me fait pas perdre patiences.

Je ne l'écoutais toujours pas.

James: Ella assis toi! MAINTENANT!

Je l'écoutais seulement parce que c'était James. Je savais que si il disait ça c'était pour éviter ma potentielle mort.

Vichy: bien! Je vois que tu n'obéis que à ton chère oncle. Impressionnant. Mais mortel.

Et merde...tome IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant