Tu m'as tailladé de ta lame
Le sang coule devant mes yeux
Mais mon corps sauf est silencieux
Car ce qui saigne, c'est mon âmeTu as touché ou ça fait mal
Du bout de ta langue fourchue
Mon être, comme une statue
Immobile de tes mots salesJe ne devrais pas me laisser
Atteindre comme je le suis
Mais mon cœur est déjà languiCette boucle va se boucler
Mon mal-être devient migraine
Je ne veux plus cet oxygène
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Ivresse
PoetryL'ivresse que la poésie nous procure Par sa beauté délectable. >Recueil de poésie divers et varié<