Chapitre 4 - Purée

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Flocon m'a expliqué que j'ai déjà fait la traversée dans l'autre côté pendant la nuit, et que tout ce qui ce passe n'est pas réel. Enfin, pour le moment. Il m'a raconté que si je ne veux pas que ce soit vraiment réel, il me reste 3 jours pour arranger tout ça. J'étais choquée d'apprendre tout ça, et qu'en plus ça pourrait vraiment devenir réel. Au début je ne croyais pas tellement dans les paroles du petit chat, mais il est vrai que mes habitudes me manquent terriblement.

Je ne savais pas par qui commencer des trois:
- Mme. Catherine, malade et blessée
- M. Robert, à l'interieur de la maison, devant la télé
- et Jacob, je ne sais même pas où il est.
Alors, j'ai décidée de commencer par le plus facil, M. Robert.
Je devais faire en sorte qu'il reprenne son journal dans les mains, et qu'il aille les lire dehors.

J'ai réuni tout nos journaux, qu'on gardait sur la table du salon, et je suis allée sonner chez lui. Il m'a ouvert la porte d'un visage acceuillant, et je lui est répondu par un sourir jusqu'aux oreilles. M. Robert m'a fait signe de rentrer. Je me suis installée sur le petit canapé en cuir qui se trouvait en plein millieu du salon, et j'ai déposée le tas de journaux sur la petite table en verre. Je me suis lancée:
- Alors M. Robert, que faites vous en cette belle journée ensoleillée?
- Pourquoi cette question petite?
- Je me demandais juste, pourquoi n'êtes vous pas dehors sur votre banc un journal à la main.
- Je me fais vieux, et il fait assez chaud tu comprends?
- Oui mais M. Robert, sivous pensez que vous n'avez plus beaucouo de temps à vivre alors allez profiter du beau temps, des fleurs, etde tout ce qui vous entoure.
- On t'as déjà dit que tu étais une sage enfant? D'ailleurs, comment t'appeles tu?
- Elena monsieur.
- Aaah... Elena... C'était le prénom de ma bien aimée, mais ses parents ne voulaient pas qu'on se voit. Tu sais petite Elena, le monde est grand et vaste, mais il est en même temps petit et chaleureux.
- C'était très beau M. Robert. Et si vous alliez lire dehors?
- Oui ma petite Elena, tu as raison. Merci de m'avoir remis les idées en place.
- C'est avec mon plus grand plaisir monsieur.

D'un pas fier, j'ai enjambée le seuil de la porte pour reprendre chemin vers ma maison. Surle retour j'ai croisée Flocon, et je lui ai racontée ce que je venais de faire.
- Je n'aurai jamais crue que ce serait plus facile.
- Je peut l'addmettre que sur ce coup tu as été douée chère Elena.
- Merci compagnon Flocon!
Il a grimpé sur mon cou, et on a fait le chemin du retour.
Je suis vite montée, et je me suis enfermée dans ma chambre.
- Hé Flocon?
- Oui Mlle?
- Tu penses que c'est avec qui que je devrais continuer?
- Je n'ai pas le droit de décider à ta place. Ceci est une mise à l'épreuve pour combattre l'amour que tu ressens pour les gens autour de toi.
- En gros tu ne peux pas m'aider?
- Non.
- Bon alors j'imagine que si j'ai un compagnon qui ne me sert à rien, je vais devoir me debrouilker toute seule.
Sur ce, Flocon a roulé des yeux et s'est trouvé une place sur mon lit.
Peu de temps après, je me suis allongée à côté de Flocon, et je me suis endormie.
                              *     
Le lendemain matin, jeme suis décidée. La prochaine personne sera Mme. Catherine. Le matin même je suis allée voir Anne qui était cette fois aussi elle était dans son jardin. Elle m'a vue, et elle m'a dit:
Bonjour Elena! Quel bon vent t'ammène?
- Hmm... Rien du tout... Je voulais juste savoir comment va Mme. C.
- Quelle gentille fille tu es! Viens entre, elle va un peu mieux grâce aux medicaments qu'elle prend.
- Et sa jambe? Elle peut marcher?
- Non pas encore. Mais je pense que ça lui ferait très plaisir une petite visite.
J'ai dit à Anne que je vais aller faire quelques petits gâteaux, et que je reviendrais un peu plus tard.

J'ai couru chez moi pour faire des petits gâteaux à la fraise. Je les ai mis dans une boite, et je suis repartie voir Anne. Je lui ai donnée la petite boite contenant les délicieux muffins à la fraise. Et je suis entrée dans la chambre de Mme. C. Elle était couchée sur son lit, la jambe en l'air.
Elle était très pâle, et elle avait la jambe dans le plâtre jusqu'au genou. Je voulais aller lui parler, mais je me suis dégonflée au dernier moment. Je me suis dit que je ne pourrais rien pour elle à part ma présence. Si je ne peux plus rien faire, mais ma misson me dit qu'il faut absolument que je fasse quelque chose, jene vais plus jamais ressortir de ce monde.

Je suis allée voir Anne, et je lui ai dit que je reviendrais demain avec de la soupe, et quelques fleurs. Je l'ai saluée, et je suis rentrée chez moi, la mine triste.
Je suis vite montée dans ma chambre, j'ai fermée la porte à clefs, et je me suis enroulée la tête dans mon oreiller. Je ne savais pas quoi faire pour Jacob, donc je me suis juste endormie...

J'espère que ça vous plait, et n'hésitez pas si il y a des fautes d'orthographe. :)

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 15, 2022 ⏰

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