Tata

Blessing

Les Potter ont toujours été une famille plutôt heureuse, Elisabeth Potter, une femme à l'allure de grande dame, avait été heureuse d'accueillir son premier enfant, James Charles Potter, le 27 Mars 1960, même si c'était vraiment tardivement, elle avait espérer en avoir plus tôt mais ça n'avait pas pu ce faire. Elle fut vraiment heureuse quand sont mari, Charles Potter, brillant sorcier avec un haut rang, l'avait choisit elle parmi toutes les autres prétendante que cet homme extraordinaire pouvait avoir à ses pieds. Il lui fallait un héritier, alors à la naissance de James ce fut l'allégresse dans toutes les terres des Potter. Les petites gens vivant sur les terres du couple avait fêter cette naissance tardive comme un cadeau et un signe des dieux, voir de la magie elle même.

Quinze jours et seize nuits furent fêter pour cette naissance. Alors quand, peu de temps après, la maîtresse des terres annoncer une seconde grossesse. Ce fut avec acclamation et grand bruit que fut accueilli la nouvelle, autant par la population que part monsieur Potter.
La grossesse fut plutôt calme, James semblant vouloir vite voir le bébé, malgré son jeune âge.

Quand le bébé vint au monde, James avait fêter son deuxième anniversaire depuis deux mois. Le bébé naissait le 13 Mai 1962, un bébé aux joues rose, aux grand yeux bleu, au très fin cheveux châtain commençant déjà à montré leur appartenance à la famille Potter de par leurs volonté propre de n'en faire qu'à leurs tête.
James était tout fier devant les adultes, de porter ce petit bébé si mignon, de faire comme les grand. Le bébé avait été prénommé Eléonore Elisabeth Potter, une petite fille que beaucoup souhaitaient déjà voir en fiançailles avec leur propre famille. Un petit bébé comme beaucoup en seraient fier.

James était vraiment très fier d'être un grand-frère, il savait que ses parents étaient plus vieux que les autres, la preuve, il n'avait pas beaucoup d'ami de son âge durant les réceptions. Mais c'était pas grave, il faisait le grand à côté de ce petit bébé gazouillant tranquillement au petit papillon qu'avait invoqué un invité après s'être penché sur le berceau. Ses parents avaient été félicité pour les beaux enfants qu'ils avaient eux, et lui avait été félicité pour être aussi sage à côté de sa petite sœur.

Comme ces jours étaient heureux dans le grand manoir Potter.