la légende des dragons élémentaires [Terminer]

La réalité

Lorsqu'Amalia réussi a rouvrir ses yeux, elle sentit quelle était allonger sur une table en bois, les mains attachées par des chaînes à chaque extrémité de la table. Elle essaya de parler mais aucun son n'en sortit. Elle tourna la tête et elle vit que les créatures armées jusqu'au dent la regardait. La plus petite des trois partit et quelques instants plus tard, le roi arriva.

- Ça alors, dit-il. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit une humaine comme toi qui aurait put avoir un œuf de dragon. Dommage que ça ne te saura servi à rien.

- Vous ne me connaissez pas, riposta Amalia en colère. Vous pensez connaître qui je suis, vous vous tromper.

- C'est ce que tu croit, je sais que la plupart des dragonniers sont des elfes, il y a peu d'humain. Et je sais que tu es comme toute ta famille des elfes sauf ta mère.

- Vous ne savez rien sur nous, vous ne nous connaissez pas. Vous n'êtes pas digne d'être notre roi, hurla Amalia.

- Et qui t'a dit ça. Vos dragonnes ne disent pas toujours la vérité comme tu ne dit pas toujours la vérité à ta mère.

- Vos ne nous connaissez moins que vous le penser.

- C'est ce que tu croit, je sais que c'était toi et ta soeur qui étaient dans la forêt le jour où vous avez trouvez vos œufs. Mes gardes que vous avez vu vous ont suivit jusqu'à chez vous et ils sont repartit pour me le dire.

- Alors c'est à cause de vous, si notre maison à été brûler. Ma soeur Gia était gravement blesser à cause de vous. Vous allez le regretter, hurla Amalia hors d'elle.

- Comment veux tu réussir à te venger si tu es sur cette table attaché par des chaînes.

- Ma soeur va venir pour me sauver.

- Je sais.

Amalia regarda les créature et le roi compris qu'elle ne savait pas qu'est ce que c'était comme animal.

- Ce sont des démons. Ils sont nés pour traquer une proie. Dès qu'il en ont une, ils la suivent, pour ensuite la manger mais eux, me doivent obéissance. Donc ils n'ont pas le droit de tuer un humain ou un elfe pour ton cas à toi. Et rassure toi, tu vas revoir ta mère et tes frères.

- Vous voulez dire qu'ils sont ici.

- Oui, mais tes deux frères sont dans une cellule comme toi mais pas ici, dans mon donjon, dans mon palais où mon dragon veille sur eux.

- Je sais que je me répète mais vous allez regretter pour tous ça.

- Cause toujours, elfe, dit un des démons.

Le roi partit avec ses démons. Amalia pensa à son père qu'elle aurait pu connaître mais elle remarqua qu'il était trop tard. Elle ferma ses yeux, versa une larme qui tomba sur la table et elle s'endormit.

Pendant ce temps, Audrey n'en finissait plus de tourner en rond. Winko en eut asser alors il démara la conversation:

- Ce n'est pas de ta faute. On ne savais pas qu'elle allait disparaître sans laisser de trace.
- Selon vous, elle est où. Situé à quel endroit, demanda Audrey.

- Je croit que je sais où elle est en ce moment, avoua Moly.

- Où ça, demanda Audrey.

- À la prison du dragon noir dans la montagne au nord d'ici, continu Moly.

- C'est la prison la plus bien garder. Pour y pénétrer, il va nous falloir de l'aide et même beaucoup.

- Vous pensez à ce que je pense, avoua Audrey. Alors allons-y. Viens Gia.

- Je te suis, grande soeur, dit Gia. Je veux sauvez Amalia. Elle m'a protéger, une fois et je veux lui rendre la pareille.

- Montons sur les chevaux, Audrey tu iras sur ton cheval avec Gia, Moly tu prendras la jument d'Amalia et j'irais sur mon cheval. Audrey dit à ta dragonne de nous guider du ciel mais que dès qu'elle voit de la fumée noire dans le ciel quelle vienne nous le dire et on sera arriver au village elfe, dit Winko.

- On devait se reposer, justifia Audrey.

- Oui je sais mais si tu veux sauver ta soeur nous devons y aller tous de suite. Si tu reste ici, les créatures vont te capturer comme ils ont fait pour ta soeur, poursuiva Winko.

- D'accord mais il faudra se dépêcher, dit Gia.

- C'est encore loin, ce village elfes, demanda Audrey.

- Une journée à cheval mais si on galope par pendant la nuit on sera très vite arriver. Alors suivez moi, finit par dire Winko.

Le groupe grimpèrent sur les chevaux, Audrey dit en regardant les deux dragonnes :

- Sois patiente Amalia, on vient te sauver. Envolez vous pour nous guider. Vener nous dire lorsqu'on sera proche du village.

- D'accord, dit Zinia.

Les deux dragonnes s'envolèrent et Audrey donna un coup de pied pour faire avancer son cheval.

De l'autre côté de la montagne, Amalia se fesait escorter vers les salles de travaille par les démons du roi. Les deux démons qui la suivait devaient être très attentif. Ils passèrent dans le coin des cellules. Amalia vit des centaines de prisionners elfes. Dès qu'il fut arriver, elle remarqua sa mère et ses deux frères de l'autre côté de la pièce. Dès qu'elle les vit elle sut que le roi lui avait mentit. Les deux gardes lui donnèrent un coup dans le dos pour qu'elle avance. Une fois de l'autre côté de l'endroit, un des deux gardes attacha les chaines de Amalia à une autre chaîne mais celle-ci était plus longue et fesait le tour de la pièce. Amalia se mit à genou, et les deux gardes partirent. Amalia s'approcha de son frère Mathieu. Mathieu qui la vit, lui sauta dans les bras même les mains attaché. Il devait être très rassurer de la revoir. C'était la même chose pour sa mère et son autre frère.

- Je me suis inquiéter pour toi et pour Audrey, chuchota Mathieu.

La mère d'Amalia arriva et lui posa:

- On se demandait si vous alliez survivre toute seule. Il faut croire que non.

Amalia chuchota, tout en lâchant Mathieu:

- Nous avons pu survivre grâce à une personne que je connais dans notre village. Et ne recommence pas à faire ta protectrice.

- Qui est-ce?, demanda la mère d'Amalia.

- Il s'agit de Winko, avoua Amalia. Mais, pourquoi tu nous a pas dit que notre père était un elfe de la forêt.

- Vous n'êtes pas des elfes, répondit l'a mère de la jeune fille.

- Alors, comment expliques-tu ça.

- Qui vous a dit ça, je ne suis pas sur mais je croit que Winko vous a mentit.

- Nous sommes elfes. Pourquoi tu refuse de l'admettre. N'essaie pas de me mentir encore une fois. Je veux savoir la vérité. La vrai vérité.

Amalia lui montra ses oreilles. Ça mère prit une respiration et commanda son discour qui allait être très ennuyant et plate: