"Mademoiselle, Mademoiselle, on es arrivé"
J'avais été secoué, et je m'étais directement relevée pour ouvrir les yeux.
L'avion d'air France était totalement vide, j'avais vraiment du partir loin dans mes pensées ou je m'étais endormi carrément.
" Oh mon dieu excusez-moi, je suis fatiguée, j'ai du m'endormir profondément"
Je m'étais excusée auprès de l'hôtesse de l'air avant de me lever de prendre mon sac et de sortir de l'avion.
Dans l'histoire, j'avais même pas eu le droit de parler à Barbara et elle va me manquer pendant deux semaines, j'avais vu un message d'elle, qui n'avait pas besoin de réponse disant qu'elle était au courant et que c'était vraiment chaud.
J'avais baillé en voyant arrivé ma valise sur le tapis des bagages, j'avais faim et j'étais épuisée.
J'allais prendre le premier taxi pour la maison et tant pis si sa me coûte 150 balles, j'avais pas la force de prendre le bus ou autre.
J'avais attrapé ma valise à bout de bras, et tête baissé je m'étais dirigé vers la sortie
Quand les portes automatiques s'étaient ouvertes, j'avais relevé la tête, ça me fessait toujours aussi rire, le regard des personnes qui croyait que leurs proches allaient être derrière cette porte, ceux qui avaient prévu une surprise, ceux qui cachaient leurs émotions des retrouvailles, toute ses personnes qui...
J'avais reconnu une tête familière, mais je vais la tuer. Sincèrement.
" Mais qu'es que vous faites ici ?"
J'avais lâché ma valise pour serré dans mes bras celle qui était venu me chercher.
" Charles et ta maman m'ont appelé, ils étaient inquiets pour toi alors je suis venue te chercher"
J'avais pas hésité deux secondes et j'avais fait un câlin de nouveau à mon héroïne, honnêtement ça me fessait un bien fou
"Je vais pas dire qu'il ne fallait pas parce que ça me fait un bien fou"
J'avais fait traîner ma valise dans l'aéroport , quittons cette endroit et rentrons a la maison.
"Est ce que Charles a parlé de ce qui s'était passé ? "
J'avais balancé ma valise dans le coffre de l'alfa Roméo.
" Il m'a raconté"
Je m'étais installée a la place passager et ouais, attaché.
"Vous devez avoir honte d'avoir une belle fille comme moi, je suis désolé Pascale, je sais que je suis pas la fille idéale pour votre..." -
" Hum hum tu te tais"
Ok, je m'étais tout de suite tue, alors que Pascale avait démarré la voiture.
"On fait tous des erreurs ma puce, si on peut appeler ça une erreur, ta bien fait de le remettre a sa place, c'est comme ça qu'on s'impose, d'après Charles tu as rien fait de mal, et je crois mon fils"
J'avais sourit à Pascale, cette femme est un amour, ça fessait pas 10 minutes que j'étais avec elle et elle m'avait déjà rassuré
" On m'a toujours dit de... Enfin Tonio m'a toujours dit qu'il fallait pas hésiter pour se protéger ou protéger quelqu'un, tant que on es en accord avec soit même, et je suis en accord avec moi même"
Pascale s'était engagé sur l'autoroute, elle m'avait souri, j'aime tellement mama Leclerc.
"Oh, vous voulez que je vous invite au restaurant, il est un peu tard, mais on peut trouver quelque chose, oh vous avez peut être déjà mangé "
C'était presque 22h, j'avais faim et c'était presque naturellement que j'avais proposé à Pascale de l'inviter au resto.
" J'ai pas mangé, mais, j'ai préparé le repas alors "
