La soirée commençait déjà mal. Lucie et son amie Justine (qui est aussi une de mes amie) arrive avec 1 heure de retard.
Après leurs arriver, on s'est poser à une table et beaucoup discuter en attendant la musique. Personne ne dansait, mais après quelques chansons, tout le monde c'est rassembler à on danser tous ensemble.
Lors de certaines chansons, on étaient un peu à l'écart avec mes amis. Et Axel avait décider de porter sa copine sur son dos. Et la catastrophe arriva : Lucie tombe.
Rien de grave à part des égratignures sur les genoux à cause de la robe qu'elle portait.
"es-ce que ça va ? " je l'aide à se relever.
"je t'emmène au toilettes, il faut qu'on désinfecte."
Au départ, elle ne voulait pas, disant qu'elle allait très bien. Mais quand Lucie a vue une grosse gouttes de sang couler de son genoux, elle a pris peur et voulait absolument que je désinfecte ses plaies.
Heureusement, Lola avait des pansements dans son sac. J'emmène Lucie dans les toilettes et la fait s'assoir sur les lavabos. Je mouille un mouchoir, m'agenouille et commence à tapoter ses plaies.
"ça pique"dit-elle en faisant une grimasse.
"ne t'inquiète pas, lui répondis-je. je vais faire doucement."
Je finis de désinfecter ses blessures et lui met un pansement que Lola m'a donnée. Je me relève et Lucie me regarde droit dans les yeux. Elle approche doucement son visage du mien, mais au dernier moment, je l'arrête.
"Tu es sûre de vouloir faire ça ? et si jamais Axel l'apprends ?"
"Ne t'inquiète pas, il n'en sauvait jamais rien."
Et Lucie fini par poser ses lèvres sur les miennes.
Son baiser était si doux, mais si intense à la fois et ses lèvres étaient si douces. Je me sépare à contre coeur de ses lèvres.
"Lucie, pourquoi as-tu fais ça ?"
"Je ne sais pas, je pense que je préfère tes lèvres à celle de Axel."
Nous sortons des toilettes et pendant tout le reste de la soirée, je n'ai penser qu'à ses lèvres, au baiser qu'on a échanger dans les toilettes.
Mais mon rêves s'est noirci lorsque Axel et Lucie ont été élus roi et reine du bal, et qu'ils se sont embrasser devant tout le monde.
Je ne vais pas te mentir Lucie, à se moment là, je ne savais pas si tu jouais avec moi, ou si tu étais vraiment sincère.
Mais tu t'es rattrapée, pendant tu as passée tout le reste de la soirée à danser avec moi.
Et il y a ces moments donc je me souviendrai pendant longtemps.
En premier, il y avait cette chanson de Gilbert Montagné qui passais : On va s'aimer.
Lors du refrain, tu as pris mes mains et tu t'es mises à sauter dans tous les sens. Je sautais aussi dans tous les sens, à ce moment, je devais vraiment sourire comme une imbécile. Et tu criais ces paroles...
On va s'aimer, sur une étoile ou sur un oreiller, au fond d'entrain ou dans u vieux grenier. Je veux découvrir ton visage..."
Moi aussi Lucie, je veux découvrir ton visage.
Et l'autre chanson, toujours de Gilbert Montagné : Les sunlight des tropiques.
Lorsque tu as entendus la chanson, tu m'as regardée et tu as repris mes mains, et tu t'es remise a sauter dans tous les sens. Tu bougeais ton corps d'une façon... je ne serai même pas commenté décrire.
La façon donc ton corps bougeais, comment ta robe épousait parfaitement tes anches. Je ne cessais de te regarder. Et tu criai...
"Viens danser, sous les sunlights des tropiques, l'amour se raconte en musique, on a toute la vie pour s'aimer."
Viens la fin de la soirée. L'heure des derniers au revoir. Je me souviens avoir vu tout le monde pleurer se soir là. Même les garçons de ma classe, et les personnes qui ne pleurent jamais pleuraient. J'ai même fait un câlin à mon ex en lui disant "Merci".
On pleurait toutes les deux. J'ai commencé à pleurer la première et tu es venue me faire un câlin. Mon dieu que j'aimes tes câlin Lucie. Ils sont si doux, aussi doux que tes baisers. Et puis tu t'es mise à pleurer, et j'ai du te consoler à mon tour. Et je ne sais pas ce qu'il ma pris, mais je t'ai fait un bisou sur la joue. Peut-être pur te calmer, rassurer en te disant qu'on va se revoir...
VOUS LISEZ
lucie.
Romanceun livre sur ma relation ambiguë avec ma meilleure amie /!\ CECI EST UNE HISTOIRE VRAI QUI EST LA MIENNE !