Je suis dans mon lit, il est à peu près trois heures du matin, dans la maison, pas un bruit, mes parents, mes frères et mon chat dorment, à côté de moi, rien, la place est vide, hors je me souviens m'être endormie avec mon copain dans mon lit, je tâte le lit de la main en espérant le toucher, mais rien.
Je décide donc de me lever et d'aller voir dans le salon s'il ne s'y trouve pas, toujours rien, je fouille toute la maison dans l'espoir de le trouver mais il n'y est pas du tout. Une fois arriver dans la cuisine, je remarque une faible lumière dans le jardin, une lumière qui pourrais être celle d'un téléphone. Je m'en pars du mien et je me précipite pour appeler mon copain. " allez, Seb, répond, allez" dit-je à haute voix tandis que de l'autre coter du fil cela sonnait encore. La sonnerie s'arrête, je fini par tomber sur le répondeur. Je commence à m'inquiéter.
Au bout de quelques essais sans réponse je décide d'aller voir dans le jardin pour vérifier si c'était Sébastien dehors, je vérifie une dernière fois par la fenêtre pour plus ou moins située la personne, mais je ne la vois plus. Jouvre alors avec hâte la porte de derrière celle qui mène au jardin, je me mets à courir et à crier " SEBASTIEN" "MON CHERI", soudain la sonnerie de mon téléphone perce le silence de la nuit.
C'était Seb qui me disait qu'il ne fallait pas que je m'inquiète qu'il fût parti faire un tour dans la ville qu'il sera de retour dans une trentaine de minute.
Mais en y réfléchissant, si ce n'était pas mon copain dans le jardin, qui était-ce? prise de panique je me met à courir pour rentrer dans la maison, mais lorsque j'ai réussi à atteindre la porte, celle-ci était verrouillée de l'intérieur hors je le rappel, personne n'est réveiller dans la maison. Jessaye donc d'appeler mon frère, mais aucun réseau n'est disponible, ce qui est à peine croyable puisque je suis en pleine ville.
En essayant de trouver une solution pour entrer, je me retourne parce qu'un bruit se fait entendre derrière moi, et enfin, je revois la lumière de tout à l'heure, elle est devant une porte métallique, pas très loin de la fin du jardin, je rejoins donc la lumière pour voir qui trifouille dans les jardins des gens à trois heures du matin. Arrivée près de la porte, plus rien, pas un bruit. Juste cette porte qui était fermée avant mon arrivée qui est maintenant ouverte "impossible!" pensais-je! je regarde une dernière fois autour de moi pour m'assurer que rien ni personne ne se trouvait derrière moi. Rien, je passe donc la porte métallique, une fois la porte passer je regarde autour de moi et je suis dans la cour d'un hôpital, lorsque je jette un il à la plaque.
"hôpital psychiatrique spécialisé".
Comme si l'ambiance n'était pas assez flippante, l'hôpital est bien évidement abandonner.
Je ne compte pas m'attarder ici, je retourne donc vers la porte pour prendre la fuite parce que l'ambiance me fait vachement flipper. Quand je reviens d'où je viens la porte a disparu, il n'y a plus du tout de porte, évidement je commence à pleurer et à paniquer, je tape contre le mur en criant espérant que quelqu'un mentende mais rien, même pas une mouche ne se fait entendre. À l'instant même où je me laisse glisser sur le mur pour m'assoir à terre, j'entends un cri venant du toit de l'hôpital, mais je ne vois rien, le cri est celui d'une femme, j'essaye donc de communiquer avec elle, mais elle ne me répond pas.
En panique totale j'essaye quand même de trouver une entrée pour aller sur le toit, la seule entrée ouverte est l'entrée principale. Une fois entrée dans le bâtiment j'entends comme des murmures, ce qui me fait encire plus panique et évidement l'entrée par laquelle je suis arrivée est verrouillée, plus moyen de l'ouvrir ce qui me laisse donc que la solution de monter.
Au premier j'entends des gens parler dans une salle, lorsque je m'approche je reconnais la voie de Sébastien.
- mon cur, c'est toi?
- mon amour, oui, je ne suis pas seul, Sarah est ici aussi.
- comment c'est possible, qu'est-ce que vous faite la?
- je ne sais pas, moi je dormais dans mon lit puis j'ai eu un peu froid et quand je me suis réveillée j'étais coucher sur le sol dans cette pièce. Et Seb était déjà là.
- moi je me baladais quand quelqu'un m'a frappé, quand je me suis réveillé j'étais dans la pièce avec Sarah. On a aussi essayé d'ouvrir la porte mais on dirait qu'elle est coincée et il ny a rien dans la pièce avec nous, essaye de trouver un truc pour casser la poignée.
- ok, heu je ne sais pas, heu j'arrive, je fais vite
Dans le couloir il y a une dizaine de porte, mais laccueil nest pas loin, je vais donc dans l'entrée, je fouille tous les moindres recoins mais rien, les armoires, les tiroirs, rien mais il y a une porte je décide d'y entrer et de tout fouiller, au bout de quelques minutes de recherche j'ai trouvé un extincteur, je le prends et fonce vers la porte.
- reculez j'ai trouvé de quoi casser la porte
- ok, vas-y c'est bon on est à l'abris! dit Seb d'un ton assurer.
Après quelques essais j'ai enfin réussi à ouvrir la porte, Seb me prend dans ses bras comme si ça faisait une semaine qu'on ne s'était pas vu. Sarah me prend aussi dans ses bras.
Une fois les retrouvailles faites, on décide de monter sur le toit pour savoir qui criait tout à l'heure. Mais au deuxième étage tout tremble, de la poussière tombe du toit, des fissures se forme sur les murs, et toujours se murmure qui se fait entendre dans tout l'étage.
- qu'est-ce que c'était? me demande Sarah.
- je n'en ai aucune idée, je l'ai entendue quand je suis rentrée mais je ne sais pas ce que c'est! dit-je un peu paniquée.
-hey regardez, les filles il y a des griffes sur les murs. Vous pensez que c'est quoi?
- j'en ai aucune idée mais je pense surtout qu'on ne devrait pas rester ici! ça tremble beaucoup, faut qu'on se dépêche! criait-je.
Au moment où on décide de courir vers les escaliers, une poutrelle tombe du plafond, lorsque je me retourne je ne vois ni Sarah ni Seb, je reviens donc sur mes pas et me dirige vers la poutre. Elle est en train d'écraser Seb au niveau du ventre!
- ho non, mon chéri non, non, s'il te plait, non!
- je ... j'ai mal aux jambes, s'il te plait mon amour, j'ai mal aux jambes, aide-moi. Me dit-il plein de larme.
- Mon cur, je je suis désolée je ne peux rien faire je nai pas assez de force pour soulever la poutre et j'ai perdu Sarah, je suis désolée. dit-je toute larmoyante.
Le dernier souffle de Seb se fait entendre, mais le bâtiment tremble à nouveau, je me mets à courir vers le troisième étage, mais une fois en haut j'entends à nouveau le murmure mais cette fois mon prénom resonnais dans tout l'étage.
En cherchant d'où vient le bruit j'aperçois des cheveux dépasser d'un mur, je cour à l'opposé pour me cacher, juste après avoir trouvé ma cachette une très longue main s'agrippe au mur, on entend les ongles grincés sur le mur comme une craie sur un tableau.
Pendant quelques minutes plus rien, donc je sors de ma cachette, et je me remets à courir pour enfin arriver au toit, mais le bâtiment tremble à nouveau, et un énorme fragment de poutre me tombe dessus, ma jambe est coincée.
La voix résonne encore, elle parait de plus en plus proche, j'essaye de regarder autour de moi pour voir ou est la personne qui m'appelle, lorsque je tourne ma tête vers la gauche, je me retrouve nez à nez avec une dame au long cheveux noir et vêtue dune longue robe noire. Sa main ressemble à des branches d'arbre toute bleue et toute sale. Je me mets à hurler, je sens ses doigts rentrer dans ma peau comme dans du beurre. Au moment où je commençais à croire que j'allais mourir Sarah lui à écraser un fragment de poutre sur la tête, ce qui lui fait perdre connaissance, elle soulève ensuite la poutre qui me coince la jambe.
Dès que je suis libérée, on entend à nouveau un cri sur le toit. Lorsquon arrive enfin sur le toit, il n'y a personne, lorsqu'on regarde autour de l'hôpital, tout est normal, l'hôpital est redevenu l'école qu'elle était et rien de tout ce que j'ai vu ou entendu n'était réel parce que je me suis réveillée dans mon lit, à coter de mon copain et Sarah n'avais jamais été présente ce jour-là.
***Ce cauchemar a été l'un des pires que je pouvais faire, toutes les sensations, les douleurs, les émotions, pour moi tout était vrai, jusqu'à mon réveil.***
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DANS MES RÊVES,DANS MES CAUCHEMARS
Short StoryChaque nuit ont fait des centaine de rêves , parfois on ne s'en souvient pas, et d'autres fois on s'en souvient comme ci nous l'avions vécu, comme ci c'était réel. je les trouve particulièrement assez intéressants pour en faire un ouvrage, peut-être...