Plaisir Intense

Besoin de Changement

Comme tous les matins mon réveil sonne à 6 heures, je grimace étant encore épuisée de la veille puis je dirige ma main pour tenter de l'éteindre et le fais tomber. Je souffle un coup et allume la lumière, ce grand lit semble triste et vide, malgré tout j'allume mon téléphone pour regarder mes derniers mails et me dépêche de me lever. Je me rends à la salle de bain et après m'être lavée et habillée, je me maquille en me regardant. Je suis une française plutôt banal vivant à Paris, une peau blanche, un jolie sourire, un visage avec des traits fin, un corps mince et classique. Mes cheveux son brun, lisse et assez long bruns avec quelque mèches blondes, ce qui doit sûrement être la seul choses extravagante, pour vous dire à qu'elle point tout est banal chez moi. Je suis donc "jolie", en fin c'est comme ça que la société me définit. Après ça, je ne prends qu'une tasse de thé au petit déjeuner parce qu'évidemment je dois surveiller ma ligne. Puis direction le métro à 6h50, comme souvent, je me fais draguer par les mecs lourd du métro. Puis après avoir esquivée les sdf qui mendies, les harceleurs, les trottinettes électriques et les chauffards, j'arrive en fin au travail ! Je suis serveuse dans un petit restaurant à Paris. A peine arrivée que le patron me regarde de travers.

-T'es encore en retard Clara ! Ça sera déduit de ton salaire.

J'ai un retard de 2 minutes, je souffle et attache mes cheveux.

-Désolé monsieur...

Ensuite je commence à dresser les tables, laver la vaisselle, couper le pain et aider la cuisine. Après quelques heures le service commence.
La majorité des clients sont sympathique mais y'a toujours un grand nombre d'imbéciles qui me stresse. Entre ceux qui s'énervent pour rien, ceux qui demandent toujours une petite modification dans leurs plats, ceux qui arrivent pas à ce décider, qui n'arrivent pas à éduquer leurs enfants et les gros dragueur qui prenne que un café pour essayer de me parler. Bref beaucoup de stress. En parlant de dragueur il y a ce garçon, environ 30 ans, plus âgé que mes 22 ans. Cheveux noir en bataille, veste en cuir, jean bleu, un homme assez banal avec un certain charme, qui passe son temps à venir ici pour essayer de m'avoir. Je suis bien obligée de m'approcher de lui.

-Bonjour monsieur, que désiriez-vous ?

-Mmm une assiette de pâte au pesto et un café ensuite.

-Très bien c'est noté.

-Par hasard vous terminer quand votre service ?

-Je suis désolé une autre table m'appelle.

Je lui souris et m'apprête à partir mais juste avant, il m'attrape le bras et glisse une carte dans ma main en me fessant un petit sourire confiant.

-Contacter-moi si jamais ça vous intéresse.

Je retire sa main et continue mon service mais à un moment, je regarde rapidement la carte qu'il m'a donné. C'est une carte noire et rouge sur laquelle il y'a marquer "Domination-Bdsm". Je fronce les sourcils en me demandant ce que c'est. Au-dessus du numéro de téléphone il y'a marqué Maxime Berry, je suppose que c'est son prénom. Je peux aussi lire "le plaisir à travers la douleur" et en plein milieu de cette carte, il y'a un dessin, une sorte de symbole représentant deux silhouette. Un homme tenant une femme en laisse, une femme probablement nue et à 4 pattes. A première vue cette image me choque et me répugne, comment peut-on accepter d'être humiliée, rabaissée comme ça, cette homme doit vraiment avoir des soucis mentaux. Mais... après une rapide réflexion, je ressent une étrange sensation parcourant mon corps et je m'imagine à la place de cette femme, exhibant mon corps nue à cet inconnus. Cet homme à qui j'aurai confiée ma dignité entre ces mains et le contrôle total de mon corps, étant réduite au rang de simple animal, oubliant les frontières du raisonnable. Mais je chasse vite ces pensées de mon esprit et rapidement un sentiment de honte m'envahit, je ne doit pas avoir des pensées aussi sales, c'est pas moi. Je reprend le service et après 3 heures intense, je nettoie le sol en appréhendent la soirée. Ce soir, je suis invitée à manger chez mes parents avec leurs amies que je déteste. Les faux sourires, la fausse modestie, la dictatures de la bonne conscience et les discours politique prêt enregistrer m'exaspère. Après ma journée de travaille, je rentre prendre une douche chez moi, ce soir je ne suis pas de service. J'ai pour habitude de mettre de la musique pendant ma douche, j'écoute de la pop qui passe à la radio, du piano, des sons classiques. Mais si pour une fois je changer un peu et que j'explorai plus mon désirs musicale, peut être que je découvrirai un goût pour un autre style de musique. Je commence donc en mettant une playlist de rap au hasard. Pendant que la musique passe je me déshabille dans ma salle de bain. Une fois totalement dénudée, je me regarde dans le grand miroir et là me prend une envie que je n'avais jamais eu au par avant. Je me tourne légèrement et regarde mes fesses, je les caresses et passe ma main entre mes cuisses avant de la remonter sur mes seins. J'observe chaque centimètre de mon corp, mes parents m'on tellement instaurés de tabous et de valeurs pudique, que même moi je n'ose pas me regarder à traver un œil plus sexuelle. Mais si j'essayer d'être plus sexy, de me mettre un peu plus en valeur. Je regarde rapidement mon téléphone et une étrange pensée me traverse l'esprit. Si je me prener nue en photo, et que j'envoyai ça à quelqu'un qui après sans me le dire partagerai cette photo sur internet. Des tas de gens m'afficherai, me contemplerai, peut être même des gens que je connais. Puis certains hommes ce masturberai sûrement à la simple vue de mes fesses, cette pensée me fait instinctivement sourire. Mais comme d'habitude le sentiment de honte et de remord me fait vite oubliée ça. Je sais pas ce qu'il m'arrive, ces derniers temps j'ai de plus en plus de pensée de ce genre. Je ne doit pas les laissez emerger de mon esprit. Je rentre sous ma douche en écoutant la musique passer, juste avant de rentrer j'ai changée la playlist pour du rock. Une musique de Nirvana passe, j'aime vraiment ça. Mes parents m'ont toujours dit que c'était une musique de sauvage, sans paroles ni mélodie mais je trouve au contraire ça très beau. Une sorte de mélodie du chaos, le son des incompris. Ce sont des sonorités auquel je suis peu habituée mais qui me plaisent. Après ma douche je m'habille avec une petite robe noire et des talons de la même couleur, un léger maquillage et un lissage puis c'est partit. Je sors et me rend rapidement au domicile de mes parents. Un appartement ce trouvant dans un quartier un peu aisé de Paris. Je toque à la porte en remettant un peu ma robe. A ma grande surprise c'est Arthur qui ouvre la porte, Arthur est le fils d'un couple d'amis de mes parents. Je ne savais pas qu'il était là. C'est un passionné de peinture et d'art en général, c'est aussi le seul copain que j'ai eu. Nous étions ensemble quand j'avais 17 ans, cela n'a durer que 1 mois mais je le trouve toujours charmant, il a des cheveux brun, porte souvent des chemises à carreau et à un visage avec des traits fin et mignon. Je lui sourie amicalement.

-Arthur ? Je savais pas que t'étais la. Ça va ?

Il me renvoi aussi un sourir.

-Ça va merci et toi ?

-Bah ça va merci.

Je lui fait la bise et juste après mon père arrive.

-Clara ! Tu as du retard, tu va me couvrir de honte devant les invités ! Et qu'est ce que c'est que cette robe ! T'aurai du mettre quelque chose de plus court encors.

Rapidement mon sourir s'efface et mon père me tire par le bras pour m'amener à la table ou ce trouvent 3 couples entre 50 et 60 ans et 2 enfants dont Arthur et un autre garçon d'environ 30 ans. La mon père retrouve un petit sourire mesquin.

-Clara est la. Veuiller l'excuser de son retard.

Je baisse la tête et la relève en arborant un faux sourir.

-Bonsoir, excusez moi.

Je m'assois après avoir saluée un par un les invités. Je n'écoute pas vraiment les conversation et regarde dans le vide. Je déteste cette maison. Entre ma mère et ces bonnes manières à longueur de temp, constamment passive au attaque de mon père. Et mon père aigri, qui critique tout, déteste tout, me méprise tout le temp et qui n'a d'intérêt que pour son vin et ses faux amis de la petite bourgeoisie parisienne. En fin bref le repas ce passe et les invités partent. Ma mère me regarde de façon méprisante.

-Tu as vu tous ce que tu as mangée ? Tu veus devenir grosse et moche c'est ça ?

Je baisse la tête en encaissant ses remarques. Alors que je n'es presque rien mangée. Puis mon père enchaîne.

-Tu n'as pas dit un mot espèce d'ingrate ! C'est comme ça que je t'es élevé ! A passer pour une conne face au invités !

Puis il me met une claque fesant volé mes cheveux sur mon visage. Je ne dit rien et me dirige vers la porte en retenant mes larmes.

-C'était un plaisir papa, maman. Bonne soirée.

Je sors et claque la porte. Je m'attendais ni plus ni moin à se résultat. Je me sens tellement vide dans ces moments là, comme si j'étais réelement seul dans ce monde. Une fois chez moi, je retire ma robe et m'allonge dans mon lit en soutif et culotte noir. Je prend mon téléphone et regarde quelque vidéos. Puis me viens une idée. Je sors la carte que l'homme m'avait donné au restaurant. Je me demande ce que ça peur être cette pratique, alors je tape bdsm en barre de recherche. Et là je tombe sur un nouveau monde. Je n'avais jamais regardée de film X. Je regarde des tas de vidéo et je suis à la fois dégoutée et émerveillée par ce que je vois. Des gens sans pudeur, sans limite, sans frontières. Des femmes qui ce moque du regard et des avis que les gens auront sur elles. Certaine sont fouettées, frappées, pénétrer, ce font insulter, cracher au visage, elles ont l'air de souffrir mais pourtant dans leurs regard on peu lire du plaisir et du désir vis à vis de l'homme qui les domines. Plus rien ne compte pour elles, toute la vie extérieur à l'air d'être effacé à ce moment. Je vois pour la première fois des pénétrations, des gorges profondes, des levrettes, tout un tas de choses qui on l'air douloureuses, humiliantes mais qui apporte des gémissement de plaisir. J'éteins mon téléphone et m'endors la tête pleine d'idées en sachant que demain va être un jour spécial, un changement pour moi.